Silo, tome 1

Je viens de passer trois jours sur ce livre, et je suis bien content de l'avoir enfin terminer !

Je ne vais pas résumer l'histoire, ni le synopsis, mais c'est ce qui m'as attiré dans ce roman. Sauf que la sauce n'as pris a aucun moment. Pourtant le livre avait très bien démarré, avec les 50 premières pages, qui donnait vraiment envie de tout savoir sur ce monde, cette société.

Mais une fois les 50 premières pages terminées, on se retrouve avec d'autres personnages sans charisme, sans aucune profondeur. Fade a souhait. Des descriptions a n'en plus finir, et un périple pour parcourir les cents et quelques étages du silo sont juste imbuvable.

Le manque d'explications est aussi très mal organiser. On nous plonge dans cette société qui a ses propres règles, mais on est censé tout connaitre, les explications tardent trop à venir a tel point qu'au final on s'en fiche. Beaucoup d'incohérences également, on en comprends pas certaines situations, notamment comment on peu mettre autant de jours pour parcourir 144 étages dans un escalier en colimaçon ! (2-3 jours pour descendre et 4 jours pour remonter ! ) Vous imaginez ce temps-là pour monter en haut de l'Empire State-Building ?

Donc après une telle déception, je me suis renseigné, pour voir d'ou venait le problème. Et j'ai trouvé ! Une auto-édition et une nouvelle qui a été rallongé !! A la base, le monsieur n'est pas écrivain (et ça se voit) il a écrit une petite nouvelle sur internet qui a bien marchée et a décidé de s'auto-publié.

Le résultat est sans appel, l'idée de base aurait pu être géniale, mais le style, la forme, les personnages, la lenteur du récit et l'inexistence d'envie de connaître la suite en font un livre plus que moyen. Je mets une étoile pour les 50 premières pages, qui elles, étaient vraiment de qualité. A trop vouloir étirer la sauce, on fini par tout gâcher.

J'ai été contaminé par l'enthousiasme débordant de la communauté qui régnait autour de « Silo ». Je me l'étais acheté il y a de cela plusieurs mois, le repoussant dans ma PAL. Ce beau pavé m'effrayait par son épaisseur. Après avoir épuré ma PAL, ma main s'est arrêté sur ce livre.

Je nage souvent à contre-courant sur les avis partagés pour les soi-disant “chefs d'oeuvres“. La liste est longue pour que les énumère. Après avoir calé autour des 300 pages, je peux rajouter ce livre à ces phénomènes que je ne comprendrais pas.

Pourtant… pourtant tout avait si bien commencé. Ayant un passé dans l'abri 101 – petit clin d'oeil pour ceux qui connaissent –, de me retrouver dans le silo ne m'a pas dérangé, même la sortie à l'extérieur m'a rappelé quelques souvenirs. Bien voilà. le soufflet retombe bien trop vite et la mayonnaise tourne au vinaigre. La promise excursion dans un monde dévasté se transforme en un huis clos claustrophobique bancal.

Oh que j'ai essayé de m'y intéresser. le pâle casting et cette écriture soporifique m'ont achevé. En fait, je n'ai jamais réussi à m'immerger dans ce lieu gigantesque. Ce silo est immense et dispose d'une centaine d'étages constellés par des milliers, des millions, des milliards de marches, des escaliers en collimation, où il faut des jours pour descendre ou remonter ces paliers. Bref, Hugh Howey nous a fait du remplissage inutile.
Le pire, c'est que je n'ai rien compris à l'histoire. Il paraît qu'à l'extérieur, l'air y est tellement vicié que seul le chaos domine la Terre. À l'intérieur, le Shérif et le Maire ont des problèmes pour gérer la populace – dont on connaît l'existence, mais qui demeure invisible. Ainsi, on a le droit à un vol de provision, des baisses d'électricités.
Comme pour mieux gonflé son récit, l'auteur s'amuse à rajouter des chapitres traitant le passé.

Comme je n'ai pas de temps à perdre – “Je ne suis pas là pour souffrir, Okay“ –, je préfère retourner dans les ruines de DC, et de passer sur un autre livre.

La 4e couverture était vraiment alléchante et c'est avec beaucoup d'envie que j'ai ouvert ce livre.
Mais le soufflet est bien vite retombé. L'histoire est tellement délayée, que j'ai eu l'impression de me retrouver face aux descriptions De Balzac (mais avec la beauté de la langue en moins) qui ne sont là que pour faire du remplissage. L'histoire n'avance pas et moi non plus.
Du coup, je referme le livre et je ne lirai pas la suite.

Long, très long. Voilà le premier mot qui me vient à l'esprit quand je pense à ce roman. Et au final pour pas grand chose. le livre qui fait environ 750 pages aurait très largement put en faire 500 voir moins.
Je dois admettre que le quatrième de couverture m'a vraiment donné envie mais la sauce n'a pas pris. J'ai attendu que "ça parte" et arrivé à 500 pages, j'ai abdiqué. J'ai comme même fini le roman histoire de ne pas avoir lu tout le début pour rien mais quel ennuie. Les personnages sont fade, on en apprend très peu au final sur l'univers.

J'avoue avoir du mal à comprendre l'engouement autour de Silo. Vu que je n'aime pas trop descendre les livres/auteurs, je vais m'arrêter la. Déçu.
Lien : http://le-bazar-de-devi.blog..

Long, très long, interminable comme les allers retours des persos de cette histoire dans les escaliers. Et vas-y que je monte, et vas-y que je redescends... On aurait dit une des scènes des 12 travaux d'Astérix. Des passages chiants à mourir, des repetitions en veux-tu en voilà (les sorties à l'air libres notamment), l'impossibilité de s'attacher à certains personnages aux destinés étranges (comment peut-on choisir Juliette comme sherif et pas un autre?), une menace exterieure presque inexistante... Pourtant, le potentiel du bouquin est assez enorme et les 80 premières pages sont intéressantes. Mais 300 pages plus loin, j'abandonne, impossible de continuer, j'ai les jambes coupées et plus envie de perdre mon temps; je prends l'ascenseur et je remonte à la surface. Et tant pis si je dois y rester...

pffff, hé bien moi ce roman ne m'a plutot déçu contrairement a beaucoup de lecteurs!
ce roman manque de rythme d'après moi... ça traine en longueur quoi!
les personnages manquent de profondeur... manque de rebondissements dans les étages... on s'ennuie

page 110... la mayo ne prend pas :allez j'arrête, j'ai d'autres bouquins alléchants sur ma pile à lire

j'estime qu'un bon roman doit vous emballer au moins dans les cents premières pages ! pas de temps a prendre, allez zou, a la trappe, sans rancune hugh! ;)

voyez mes lectures, y a du bon!

Abandonné à la moitié du livre. Que dire ? Les premiers chapitres sont trépidants ! La découverte du Silo, de son fonctionnement et puis pouf. L'ennui total ! Que c'est dommage. Ça n'avance pas, je ne comprends pas l'intérêt de l'histoire. Un personnage qui change de classe pour devenir Shérif suite à la mort du précédent c'est ça ? Et finalement paf y'a un meurtre, enfin... Je crois ? Rien n'est clair. Des descriptions sans fins, on s'ennuie et s'endort même. Dommage j'avais tant envie de me plonger dans ce Silo !

Ouf!!!!
Le supplice s'achève enfin. Après des débuts prometteurs, le récit devient rapidement poussif. Où nous mène l'auteur? le sujet n'est pas exploré, les personnages peu travaillés, les détails descriptifs superflus.
L'histoire s'achève sur une pirouette bien pensante, franchement pesante.
Je ne recommande pas.

J'en profite, car la série apparemment vient de sortir ... certains n'ont pas honte . Ce livre Silo est un plagia mais alors énorme du livre de Philip K.Dick "la vérité avant dernière". Sauf que PKD raconte l'histoire en mois de 300 pages et que Hugh HoWEY, il s'étend sur plus de 800 ... une pale copie ennuyeuse du roman de PKD.

Résumé de la vérité avant dernière de Philip K.Dick ( 1964 288 pages)
"Depuis quinze ans ils attendent. Dans leurs abris souterrains. Prisonniers mais aussi protégés des gaz mortels et des radiations qui ont envahi la planète en guerre. Et pour cette guerre, ils fabriquent des soldats-robots, à la chaîne.
Rituellement, sur leurs écrans de télévision, apparaît le Grand Protecteur. de sa forteresse au coeur des Rocheuses, il les informe de l'évolution du conflit qui fait rage entre la Dém-Ouest et la Pacif-Pop.
Informations étranges, partielles, contradictoires, pense Nicolas Saint-James, le chef d'un des plus vastes abris.
Alors, au péril de sa vie, Saint-James va se frayer un chemin jusqu'à la surface de la terre.
Pour découvrir une vérité monstrueuse, insoutenable..."

Résumé de SILO tome 1 de Hugh Howey ( 2017 744 pages)
"Dans un monde post-apocalyptique, à une époque indéterminée, les êtres humains sont obligés de vivre dans un immense bunker souterrain pour se protéger des conditions de vie mortelles qui règnent à la surface de la planète. Autour d'un immense escalier, et sur 144 étages, une hiérarchie sociale s'est mise en place, les classes dominantes sont les plus près de la surface, les ouvriers sont profondément enterrés, faisant tourner les machines.
Le shérif, dont la femme est morte pour avoir demandé à sortir malgré le tabou et l'interdiction liés à cette idée, décide de mener son enquête sur les raisons qui l'ont poussée à faire ce choix. Il sera rapidement convaincu qu'un complot est à l'oeuvre, cachant la vérité au peuple du silo" CQFD.

Le livre commence bien mais ne tient pas ses promesses. La structure de l'ensemble rappelle celle d'une série télé genre le gros truc à la fin d'un chapitre censé vous faire courir à la page d'après. le procédé est tellement systématique que cela devient très maladroit.