La vengeance est boiteuse, elle vient à pas lents mais elle vient (vv.616-617)
Crois-tu donc que les rois à moi me sont sacrés? (vers 591).
Entre aimer et haïr, je suis resté flottant (vers 386).
Je ris, et j'ai dans l'âme une fête éternelle (vers 774)
Si Dieu faisait le rang à la hauteur du coeur,
Certes, il serait le roi, et vous le voleur! (vers 489)
Quand l'amour jaloux bouillonne dans nos têtes,
Quand notre coeur se gonfle et s'emplit de tempêtes,
Qu'importe ce que peux un nuage des airs
Nous jeter en passant de tempêtes et d'éclairs !
Souhaite, ordonne, un royaume est à toi !
Car celui dont tu veux briser la douce entrave,
C'est le roi ton seigneur, c'est Carlos ton esclave !
Oh ! L'amour serait un bien suprême si l'on pouvait mourir de trop aimer !
Je m’en vais inutile avec mon double rêve
Honteux de n’avoir pu ni punir, ni charmer,
Qu’ont m’ait fait pour haïr, moi qui n’ai su qu’aimer.