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Critique de ecceom
Les ordures et l'état du Monde d'Ys
Sonia et Norma sont colombiennes et fuient les milices.
Le sénateur Urribal est mexicain et voit son avenir s'assombrir entre les entreprises de la justice et celles des Cartels de la drogue.
Naadir, lui, est un jeune français de banlieue difficile.
Le lien entre ces personnages est la violence omniprésente, toujours liée à la drogue qui dévaste les existences et les économies.
Et précipite la chute.
Autant j'avais beaucoup aimé " L'Origine de la violence", un des précédents livres de Fabrice Humbert, autant celui ci m'a un peu déçu.
Les récits alternés qui racontent successivement les destins des principaux personnages s'enchaînent de manière un peu mécanique et prévisible et on devine rapidement...la chute, assimilée à la disparition de la légendaire cité d'Ys, engloutie dans la mer.
De même, la rencontre des trois destins est à la fois attendue et un peu artificielle. En fait, les "recettes" qui fonctionnaient si bien dans "L'origine de la violence" (enchâssement de récits, liaisons autour de la thématique du mal) m'ont semblé moins intéressantes ici).
Reste quand même le style de Fabrice Humbert qui parvient à retenir le lecteur jusqu'au bout, quand le mal ouvre la porte de bronze qui va livrer notre monde aux flots dévastateurs.
Sonia et Norma sont colombiennes et fuient les milices.
Le sénateur Urribal est mexicain et voit son avenir s'assombrir entre les entreprises de la justice et celles des Cartels de la drogue.
Naadir, lui, est un jeune français de banlieue difficile.
Le lien entre ces personnages est la violence omniprésente, toujours liée à la drogue qui dévaste les existences et les économies.
Et précipite la chute.
Autant j'avais beaucoup aimé " L'Origine de la violence", un des précédents livres de Fabrice Humbert, autant celui ci m'a un peu déçu.
Les récits alternés qui racontent successivement les destins des principaux personnages s'enchaînent de manière un peu mécanique et prévisible et on devine rapidement...la chute, assimilée à la disparition de la légendaire cité d'Ys, engloutie dans la mer.
De même, la rencontre des trois destins est à la fois attendue et un peu artificielle. En fait, les "recettes" qui fonctionnaient si bien dans "L'origine de la violence" (enchâssement de récits, liaisons autour de la thématique du mal) m'ont semblé moins intéressantes ici).
Reste quand même le style de Fabrice Humbert qui parvient à retenir le lecteur jusqu'au bout, quand le mal ouvre la porte de bronze qui va livrer notre monde aux flots dévastateurs.
