Mystère rue des Saint-Pères

Une enquête menée tambour-battant par Victor LEGRIS, libraire de son état, lors de l'Exposition universelle. Enquête qui ne laisse aucun répit. Victor LEGRIS coure en tout sens, s'éparpille, nous essouffle et nous donne le tournis…

Victor LEGRIS en viendra même à soupçonner des personnes proches de lui et sauvera sa vie in-extremis.

Tout ça, ayant pour cadre la tour Eiffel, qui vient d'être édifiée pour l'exposition universelle de 1889 ! Un très beau tableau et un rendu très détaillé de cette époque. Et un petit clin d'oeil au passage à « 84 Charing Cross Road » d'Helene Hanff : « Empêchement imprévu. Viendrai la semaine prochaine. Love, Kenji. Miss Iris Abbot care of Mrs. Dawson, 18 Charing Cross Road, London. » Mais ce n'est peut-être que le fait du hasard !

Je ne peux que regretter le fait qu'il n'y ait pas de temps de repos à cette lecture, un peu décousue et qui manque de coordination. Tout part dans tous les sens, mais je suis restée sur le qui-vive et n'ai plus lâcher le livre avant la fin, car je voulais savoir qui était le coupable des crimes commis lors de cette exposition mémorable.

Un bon moment de lecture mais pas de véritable coup de coeur pour ce premier tome des aventures de Victor Legris. Il faut dire que je m'attendais a quelque chose de différent...
Je ne suis pas très familière avec les romans policiers, j'avoue tout de même avoir un faible pour Nicolas le Floch. Claude Izner étant publié par 10-18 et dans la même collection (Grands détectives), je m'attendais a quelque chose de similaire. Or l'enquête ne m'a pas vraiment passionné.
Par contre le contexte historique est très bien raconté, on a vraiment l'impression de se promener dans les rues de Paris et on rencontre une quantité impressionnante de gens célèbres.

Mystère rue des Saint-Pères signé Claude Izner, alias Liliane et Laurence Korb, est le premier volet de la série Les enquêtes de Victor Legris, série qui compte 12 volumes.
Victor Legris est libraire. Il est associé à Kenji Mori l'homme qu'il considère comme son père. En ce mois de mai 1889 Paris est en effervescence. L'exposition universelle a ouvert ses portes début mai et l'inauguration de la Tour Eiffel a lieu le 26 mai. La foule se presse, les pavillons coloniaux font fureur. Seule ombre au tableau les abeilles... Un mort , puis 2, Puis .. Victor Legris est amené à enquêter par amour pour la belle Tasha, par affection pour Kenji Mori.
Un roman à double facette. La facette historique est intéressante et apporte beaucoup d'informations au lecteur curieux de cette époque, de Paris, de ses habitants. La facette enquête policière est d'une platitude décourageante. Une lecture décevante seule certitude je ne suivrais pas Victor Legris dans ses prochaines enquêtes.

Bien qu'écrit au début des années 2000, ce roman a un goût un peu suranné. Pas uniquement parce qu'il nous plonge à la fin du dix-neuvième siècle mais par le style également, trop classique et figé à mon goût.
L'originalité de ce « Mystère rue des Saints-Pères » et de la série qui a suivi ce premier opus, c'est d'avoir été écrit à quatre mains. En effet, Claude Izner est le pseudonyme de deux soeurs, Liliane Korb et Laurence Lefèvre, romancières, bouquinistes, qui ont travaillé dans le cinéma. De surcroît intéressées par l'Histoire, elles situent leurs aventures policières dans le Paris du 19ème siècle.
Victor Legris devient enquêteur un peu par hasard alors qu'il est libraire de son métier. Malgré une touche d'exotisme puisqu' il a été élevé par Kenji Mori, un mystérieux Japonais qui dirige avec lui la librairie de la rue des Saints- Pères et des personnages secondaires assez colorés et extravagants, je trouve le libraire-enquêteur plutôt fade. Il porte bien son nom…..
L'action se situe principalement à l'Exposition universelle, en particulier en haut de la Tour Eiffel qui vient d'être achevée pour cette occasion. Il s'agit ici de résoudre une série de décès soi-disant consécutifs à une piqûre d'abeille, mais mystérieusement….. le lecteur ne verra pas apparaître la police ! Pas très vraisemblable, à mon avis.
J'ai lu ce roman par curiosité mais n'ai pas été captivée, même si je l'ai lu assez rapidement. Je pense que ma découverte de Claude Izner va s'arrêter là.

Des morts mystérieuses en pleine Exposition Universelle de Paris, Victor Legris, libraire et photographe de son état, mène (ou essaie de mener) son enquête...
Le grand intérêt du livre fut pour moi de plonger dans la capitale en 1889 : les rues, les quartiers, la description des différents pavillons de l'expo, la Tour Eiffel l'émergence de la photo...C'est plutôt bien fait.
Par contre, côté intrigue, je n'ai pas du tout adhéré à l'histoire : j'ai trouvé le mystère surfait, le récit décousu, l'enquête inexistante.
Ce premier tome présente également les personnages récurrents de cette série, mais de façon trop superficielle à mon goût : je n'ai pas réussi à me laisser captiver par leurs aventures.
Bref, un peu déçue malgré un titre et un contexte alléchants...

Mon avis est assez contrasté : d'un côté j'ai apprécié de me balader dans le Paris de la fin du 19ème siècle mais de l'autre côté, j'ai trouvé l'histoire fort alambiquée avec des personnages secondaires trop nombreux.
Je termine donc cette lecture sur un sentiment de déception.

Un petit policier qui se lit très vite et n'est pas déplaisant.

Un style fluide mais parfois un rien "brouillon" (j'ai du relire certains passages car je n'étais plus certaine de l'enchainement de certains événements)

La clef de l'intrigue est bien caché et l'auteur s'amuse à semer les fausses pistes... qui sont malheureusement trop "évidentes" dans leur fausseté.

La fin qui est censé nous donner envie de lire plus d'enquêtes de Victor Legris m'a laissé indifférente. J'ai trouvé Tasha assez creuse, sans trop savoir pourquoi, et ce n'est pas le seul personnage qui m'ai laissé cette impression. Alors certes ce n'est pas le "genre" de roman a offrir une analyse psychologique détaillée, mais je trouve que il y a tout de même un champs de travail à ce niveau.

On passe un bon moment mais ce n'est pas un coup de coeur, loin s'en faut.

Premier livre d'une longue série de romans mettant en scène Victor Legris, libraire en 1889, accompagné de son père spirituel Kenji et de Joseph, fervent lecteur. Quand il rencontre la belle Tasha qui dessine de caricatures pour le journal « passe partout », Victor s'interesse de plus près à l'actualité et va participer au journal qui est un ancêtre de notre presse people. Et, quand plusieurs personnes décèdent d'une piqure d'abeille et n'ont pas de lien entre eux, Victor s'interroge, d'autant plus que Kenji et Tasha semblent mêlés à ces meurtres.
Le tout se lit bien, l'histoire en elle-même n'est pas exaltante, en revanche, ce qui est passionnant, c'est le contexte historique dans lequel évoluent les personnages. C'est l'exposition universelle, c'est un Paris plein de petits métiers disparus et Claude Izner sait parfaitement nous le décrire. de la détente intéressante.

L etiquette polar n est pas mon genre de lecture prédilection j en conviens
Jai eu beaucoup de difficultés à terminer ce livre lu à l occasion d un challenge
Comme j aime les romans sur fond historique je pensais trouver mon bonheur
Au niveau de l enquete policière je me suis ennuyée mais quel plaisir de découvrir la Tour Eiffel l exposition universelle à travers ce roman polar
Il faudrait que je retente une lecture de cette écrivain pour m en faire une idée.

"Amoureuse littéraire" de Paris, c'est avec enthousiasme que j'ai abordé ce premier tome d'une série encore inconnue, celle des enquêtes de Victor Legris de Claude Izner. Celui-ci nous emmène en 1889, lors de l'exposition universelle se déroulant au pied de la toute nouvelle Tour Eiffel. Hélons donc un fiacre qui nous emmènera tour à tour au Champ-de-Mars, à la rue de Rivoli ou à la rue des Saints-Pères, dans la librairie de Victor Legris et de Kenji Mori, rapidement confrontés à plusieurs morts étranges, semble-t-il dues à des piqûres d'abeilles. Des libraires parisiens? Ce livre avait, sur le papier, tout pour me plaire. A l'arrivée, l'impression est mitigée.

Si j'ai trouvé l'atmosphère du Paris de la fin du 19ème siècle bien rendue et ai aimé m'y plonger, et s'il est plaisant de sortir des désormais traditionnelles investigations high-tech, l'enquête souffre selon moi d'un côté un peu poussif et répétitif. Victor soupçonne tour à tour les deux ou trois mêmes personnes, jusqu'au dénouement, qui donne un peu l'impression de sortir d'une pochette surprise. le tout noyé dans les histoires de coeur dudit Victor qui prennent énormément de place, faisant passer l'enquête au second plan. Cela dit, il s'agit ici du premier tome d'une série, consacré sans doute à la présentation des personnages? J'imagine que l'aspect policier prend le dessus dans les épisodes suivants (dites-moi oui, j'aimerais quand même bien m'y replonger...). Parlant des personnages, on en découvre un assez grand nombre, et je me réjouis surtout de retrouver Joseph, le commis, dont j'espère voir le rôle s'étoffer dans les tomes suivants (dites-moi oui, bis).

Le roman est par contre particulièrement bien documenté et foisonne d'anecdotes. Il est ainsi amusant ou passionnant d'entendre parler de van Gogh -qui ne rencontre alors aucun succès-, d'Edison, du premier appareil photo portable, des débuts de l'électricité, de la colonisation, ou encore de divers auteurs dont parlent Victor et ses associés, bref de tous ces détails qui rendent le récit très réel et donnent au lecteur l'impression de déambuler lui-même dans les allées de l'Exposition, au milieu des dames en corset et chapeau fleuri et des hommes portant costume malgré la canicule.

Le point fort de ce roman est donc bien son versant historique, sa description du Paris de la fin du 19ème, bruits et odeurs compris; on s'y croirait. le tout assaisonné d'une incursion dans le monde des livres, grâce aux personnages principaux. On dira que mon intérêt principal en ouvrant ce titre se trouvait là, et que pour le volet "enquête", on attendra le tome 2.