Ravi vit heureux entouré de ses parents. Même si sa mère, Asha, ne parle pas français, elle chante pour son fils en bengali. Joyeux et insouciant, le jeune garçon comprend pourtant que sa famille ne lui a pas raconté toute son histoire. Alors, le jour de ses dix ans, il décide de découvrir ce qu'on lui a caché...
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Kochka @flammarionjeunesse (Couv. #ThibaultPrugne), 🎡Dès 9 ans
Il fait partie de ces romans qui comptent et qui restent. On y écoute attentivement les mots et maux de Ravi, mais également ceux de d'Etienne, Asha et de Daïsuké-Natsuki-Akimasa Fujita.
Nous les avons lus en famille. D'une traite. Sans pouvoir nous arrêter. Presque en apnée.
En 168 pages, ce petit roman évoque les désastres et les joies de la vie. Il nous rappelle que la lumière demeure. Que la vie compte. Si les sujets abordés par l'autrice sont douloureux, ils sont ici portés à hauteur d'enfant avec pudeur et délicatesse.
Kochka manie les mots avec une remarquable dextérité. Elle recueille les émotions de ses personnages, nous les confie pour nous amener à les ressentir à notre tour. Sa plume sensible et ses métaphores bouleversantes font résonner les mots et leur donnent un sens profond.
Avec « ℒ𝑎 ℳ𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢𝑠 », vous l'aurez compris,
Kochka émeut encore une fois et met de la lumière dans nos coeurs.
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