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Spider-Gwen tome 1 sur 5
EAN : 9782809453690
96 pages
Panini France (06/01/2016)
3.38/5   24 notes
Résumé :
Et si l'araignée radioactive avait mordu Gwen Stacy à la place de Peter Parker ? Dans cet univers parallèle, l'adolescente devient la super-héroïne connue sous le nom de Spider-Woman. Après s'être retrouvée au cœur de l'événement Spider-Verse, Gwen poursuit ses aventures et affronte le Vautour ainsi que le lieutenant de police Frank Castle.
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
L'idée de ce comics était assez intéressante à savoir que dans une réalité parallèle, c'est Gwen qui aurait été mordue par la petite araignée lorsqu'elle était une adolescente. Peter Parker essaye de suivre son exemple mais ses expérimentations le transforme en homme-lézard. Spider-Woman est obligé de le tuer. Gwen décide alors de mettre ses pouvoirs au service du bien car de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités.

Jusqu'ici tout va bien. Sauf qu'elle a quitté un groupe de rock dirigé par Mary-Jane où elle était la batteuse. A noter qu'elle est également accompagnée par Spider-cochon dans ses aventures nocturnes. Bref, on aura tout vu jusqu'au plus pathétique ! Les dimensions parallèles n'ont plus de limites pour les scénaristes qui font actuellement un peu dans le n'importe quoi.

Même le style graphique de cette présente série est assez fouillis. Bref, rien ne sauve la mise et même pas la pauvre héroïne totalement insipide. J'aurais envie de hurler: rendez-nous la Gwen que l'on connaît et que l'on a appris à aimer. Elle doit certainement se retourner dans sa tombe. J'aurais envie d'ajouter un appel du style « au secours Martin Scorcese, viens nous sauver par pitié ! ». Mais bon, je me retiens.
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Ce tome est le premier d'une nouvelle série se déroulant sur une Terre alternative du multivers Marvel, la Terre 65. Il contient les épisodes 1 à 5 de la série, initialement parus en 2014/2015, écrits par Jason Latour, dessinés et encrés par Robbie Rodriguez, avec une mise en couleurs de Rico Renzi.

Sur la Terre 65, c'est Gwendolyne Stacy qui a été piquée par une araignée radioactive, et Peter Parker s'est injecté un sérum qui l'a transformé en CENSURÉ. Alors que le récit commence le groupe de pop-rock Les Mary Janes est en pleine répét' de leur tube. Em Jay (Mary Jane) occupe le poste de chanteuse du groupe, Gloria Grant joue des claviers, Sophia Sanduval est la guitariste. Gwen Stacy y joue de la batterie. Elle se défoule comme une malade à la fin du morceau, sous le regard décontenancé de ses copines. Après les répétitions, Gwen revêt son costume de Spider-Woman (son nom réel de superhéros), et part prendre l'air dans les hauteurs des buildings de New York.

De retour de Spider-verse, Gwen Stacy doit combattre le vautour, trouver un terrain d'entente avec son père le capitaine George Stacy, se rabibocher avec ses copines des Mary Janes, affronter la tante et l'oncle de Peter Parker, etc.

En 2015, cette nouvelle héroïne chez Marvel a polarisé les lecteurs, entre ceux qui sont tombés sous le charme, et ceux qui n'ont pas supporté cette déclinaison trop dans l'air du temps d'un personnage ayant d'autant plus de valeur qu'elle reste morte. Pour un lecteur régulier de l'univers partagé Marvel, ce choix de personnage repose la même question sempiternelle : pourquoi développer un univers parallèle voué à la disparition à plus ou moins court terme, plutôt que de profiter de ces créateurs pour enrichir l'univers principal ? Cette histoire n'apporte bien sûr pas de réponse à cette question. le contexte est celui du crossover Spider-verse, dans lequel Dan Slott a ramené toutes les versions de Spider-Man ayant existé dans une même histoire, en a inventé une poignée de nouvelles pour faire bonne mesure, et d'autres créateurs ont pu introduire des nouvelles versions supplémentaires. Parmi elles, Spider-Gwen a connu un tel succès qu'elle a bénéficié de sa propre série.

Le principe de ces univers parallèle repose pour partie sur une forme de jeu avec le lecteur sur le principe de celui des 7 différences : ce qui reste identique et ce qui a changé. La première différence est donc que Gwen Stacy est toujours vivante, la deuxième que c'est elle Spider-Man. La troisième concerne Peter Parker et George Stacy, etc. de la même manière quand Frank Castle intervient comme inspecteur de police, le lecteur essaye d'anticiper si le Punisher est loin derrière ou non. Au final, le scénariste choisit de ne pas jouer sur les références et la continuité de la Terre 616. Il est donc possible de lire ce premier tome sans rien connaitre de Spider-Man, et chaque personnage existe par lui-même, indépendamment de son histoire personnelle sur la Terre 616. Cela rend la lecture plus accessible aux novices, et plus autonome. le lecteur voit donc des personnages portant des noms connus (par exemple May Parker, Ben Parker), avec une position similaire à celle de la Terre 616, mais sans la continuité afférente.

Le deuxième choix opéré par Jason Latour est de ne pas consacrer ce premier tome aux origines de Spider-Woman. Il n'y a que 5 cases en pages 2 &3 de l'épisode d'Edge of Spider-verse qui mentionne la piqûre d'araignée et le sort de Peter Parker, et c'est tout. Cela permet au récit de prendre ses distances avec le modèle 616, et de montrer Gwen Stacy en action et en situation. le lecteur constate qu'il s'agit bien d'une jeune femme (à la fin de l'adolescence) qui se conduit comme telle, assez accro à son téléphone portable, sans en devenir caricaturale, avec une grande envie de bien faire et de mettre ses pouvoirs au service de la société, tout en ayant un caractère bien trempé (il suffit de la voir répondre à son père). Elle exprime ses émotions, sans en devenir larmoyante ou extravertie. La première fois où elle se retrouve chez les Parker dégage une émotion nuancée et juste.

Le lecteur suit donc une jeune femme à la personnalité bien établie, essayant de concilier ses différentes responsabilités. Son poste de batteur ne donne lieu qu'à une seule scène où elle cogne vraiment ses fûts, dans Edge of Spider-verse 2. Par la suite, il faut attendre l'épisode 5 de la série, pour que les Mary Janes donnent un concert, et encore interrompu très rapidement. Elle se bat contre des supercriminels, tout en échappant à la police qui souhaite la coincer pour sa probable culpabilité dans ce qui est arrivé à Peter Parker. Il est difficile de résister à sa capacité en termes de répartie, quand elle remet à leur place des adultes. Certes, c'est peu réaliste, mais ça permet d'assoir le personnage face à ses interlocuteurs. Elle dispose elle aussi d'une forme d'humour d'autant plus agréable qu'il n'est pas systématique.

Pour certains sites spécialisés dans les comics, le succès de ce personnage doit beaucoup à la conception graphique de son costume. Robbi Rodriguez a lui aussi choisi une approche dans l'air du temps en ajoutant une capuche (hoodie) à son costume. En fonction des séquences d'action, elle porte effectivement sa capuche, ou celle-ci est abaissée en arrière. Tout au long de ces épisodes, Rico Renzi respecte les effets spéciaux du dessin de la toile (en bleu électrique) sur ses bras, et du violet fluorescent autour de ses yeux. Effectivement ce costume est bien conçu, facilement assimilable et visuellement très agréable. Il n'y a que les ballerines bleu clair un peu étranges en termes de couleurs et de forme.

Robbi Rodriguez s'est fait connaître en dessinant une série Vertigo : Federal Bureau of Physics à commencer par The paradigm shift. Il utilise un trait très fin pour détourer les formes, leur donnant une apparence un peu esquissée. Il ajoute des traits fins sur les surfaces ainsi délimitées pour leur donner un peu de texture, plis sur les vêtement ou rides sur les visages (par exemple ceux de May & Ben Parker). Ce choix de dessin confère une apparence de fragilité et de spontanéité aux dessins, en décalage avec l'ordinaire de l'aspect visuel des comics de superhéros.

Il serait réducteur de parler d'approche graphique féminine pour ces dessins, mais il est vrai qu'elle s'oppose aux habituels canons graphiques tout en force. L'artiste représente des tenues vestimentaires réalistes et variées, sans que Gwen Stacy et ses copines ne soient des mannequins en train de défiler, le niveau de détails des vêtements restant assez bas. Il évite également d'exagérer les formes féminines, leur poitrine restant d'un bonnet réaliste, le noir du costume gommant les rondeurs de Gwen. Par comparaison les hommes présentent une carrure plus souvent exagérée, et une musculature plus développée que la moyenne. Il ne s'attache pas non plus aux accessoires de mode divers et variés. En particulier le sac à dos de Gwen Stacy est d'un modèle des plus ordinaires. Dans cette même approche simple, les instruments de musique restent génériques, sans référence à une marque connue, que ce soit par un logo ou par une forme identifiable.

Les décors sont régulièrement dessinés en arrière-plan, toujours dans ce registre simplifié. de la même manière, Robbi Rodriguez fait un effort significatif en ce qui concerne la mise en scène pour éviter les plans trop réguliers sur des têtes en train de parler. Les scènes de combat physique sont vivantes, avec une bonne impression de mouvement. L'artiste ne s'attarde pas sur les blessures ou les marques de coup. Il adopte même une approche un peu caricaturale pour dessiner le visage du Vautour, en accentuant fortement ses rides. Une fois habitué à l'apparence des dessins, le lecteur peut apprécier leur capacité à porter la narration visuelle, avec un bon niveau de savoir-faire.

À l'instar du dessinateur, le scénariste intègre également quelques éléments humoristiques sans en abuser. le temps de quelques scènes, Gwen Stacy voit Spider-Ham (en costume) évoluer autour d'elle et lui parler. La réaction des individus autour d'elle montre qu'il s'agit d'une forme d'hallucination, ou en tout cas qu'il n'y a qu'elle qui le voit. Ce dispositif permet à l'auteur de faire en sorte que son personnage exprime son ressenti à haute voix, et qu'il y ait du répondant en face, Peter Porker ayant lui aussi le sens de la répartie (ça doit être un effet secondaire des piqûres d'araignée). Pour une raison non expliquée il n'est pas présent à chaque scène, et ses apparitions sont aléatoires. D'un côté, ce manque d'explication est déconcertant, de l'autre ça évite une systématisation de ce dispositif.

Le tome se termine avec 6 couvertures variantes, dont celle de Greg Land (magnifique Gwen), de Skottie Young (toujours aussi drôle et efficace pour synthétiser visuellement l'essence du personnage), de Sara Picchelli, et de Mark Brooks.

Pour un lecteur curieux, ce tome constitue une lecture divertissante présentant un personnage original qui profite de la notoriété du personnage Spider-Man, sans en être une pâle copie, ou une version édulcorée, 4 étoiles. Pour un lecteur venant chercher une extension de l'univers de Spider-Man, ce récit s'avère quelconque, sans apport à la mythologie du personnage, sans exploitation de la continuité de son historique, 2 étoiles. Seul l'avenir dira s'il s'agit d'une série faite pour durer ou d'un engouement passager sans lendemain.
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Mais qui est donc cette mystérieuse Spider-Gwen ? Elle est apparue lors de l'event Spider-Verse, il y a quelques mois en kiosque, et qui devrait sortir courant de l'année en librairie. Au passage, je vous le conseille car il est vraiment excellent.

Nous sommes donc ici dans un univers alternatif, la terre 65, et ce n'est pas Peter Parker qui est Spiderman, non, c'est Gwen Stacy. Alors, au départ on peut se dire que c'est encore une série dérivée de mauvaise qualité comme Marvel sait si bien le faire, mais là, ce n'est pas du tout le cas. On découvre un personnage bien construit, bien travaillée. le look du personnage est vraiment sympa, j'adore l'effet masque + capuche, sur des couleurs crème et rosé avec quelques touches de bleu.


La narration est simple, l'histoire se met en place tranquillement, surtout à parti du deuxième chapitre. La découpe de case est bien fichue, pas d'effet de style qui ralentirais la lecture. Les dessins et couleurs ne sont pas flashys à outrance, c'est bien plus sale, plus sombre (on n'est pas non plus dans un Batman, mais on est loin de Batgirl et son style girly horrible).


De plus, le prix, 13€ est tout à fait acceptable, l'édition est classique, mais au moins Panini Comics ne nous massacre pas comme ils le font sur des titres comme Star Wars ou Kick-Ass.


Par contre, un bémol (oui, avec Marvel et Panini Comics j'ai très souvent des bémols), qui concerne la construction de l'histoire. Certes, on a les cinq premiers chapitres de la série, mais ce n'est pas le début du personnage, car son tout premier chapitre se passe dans Spider-Verse et il est résumé ici en une seule page. C'est peu commun de commencer une nouvelle série au chapitre 1 avec écrit « Précédemment.. ».


Pourquoi ne pas avoir inclus le chapitre de Spider-Gwen en début de tome ? Il sera sans doute inséré dans l'event Spider-Verse, mais en ce cas, pourquoi sortir le premier tome de Spider-Gwen avant l'event ? Personnellement, cela ne me dérange pas car étant fan de Spider-Man, je possède tous les kiosques et donc tout l'event Spider-Verse, mais les éditeurs auraient pu penser à ceux qui ne possèdent pas les kiosques, et qui débutent ce nouveau personnage.
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• « Spider-Gwen, tome 1 » de Jason Latour et Robbie Rodriguez, publié chez Panini France.

• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio d'Avril, cherchant une BD dans laquelle le personnage principal est une femme, dans le but d'étendre ma "culture" BD.

• Je ne suis pas un expert des personnages et des événements liés à l'univers de Spider-Man. Ce que j'en connais provient principalement des différents films sortis sur le personnage (ceux de Sam Raimi, les récents films du MCU, le film sur Venom, le film d'animation surprise « Spider-Man : New Generation »..), de quelques épisodes de son adaptation en dessin-animé sorti en 1994, de ses apparitions dans d'autres licences de l'éditeur Marvel, et enfin pour son jeu-vidéo, « Marvel's Spider-Man », sorti en 2018. C'est ce dernier en particulier qui m'a donner envie de connaître un peu mieux cet univers, tant ce jeu-vidéo m'a plu et époustouflé pour son scénario et son gameplay très bien orchestrés. Malgré tout, je n'avais pas encore réellement sauté le pas, jusqu'à récemment où j'ai eu l'occasion de découvrir « Venomverse », sorte de parodie du célèbre arc du Spiderverse, qui même si elle ne m'a pas totalement accrochée, m'a rappeler cette envie d'en découvrir d'avantage..

• C'est donc sur un genre assez proche que j'ai décidé de découvrir l'homme-araignée, ou plutôt, l'un de ses alter-egos féminins, Spider-Gwen ! Cette justicière masquée, provient de l'un des nombreux univers parallèle à celui de notre Peter Parker, alias Spider-Man, le plus connu. Dans ce monde, c'est la jeune Gwen Stacy, personnage culte des univers Spider-Man, qui se fera mordre par une araignée radioactive et obtiendra des pouvoirs et des facultés proche de celle d'une araignée. Son histoire à été initialisé par le projet du Spiderverse, un événement majeur de Marvel, réunissant plusieurs itérations différentes des Spider-héros provenant d'une multitude de réalités alternatives. Un succès surprise et un engouement incroyable se forme autour du personnage de Spider-Gwen, créée à la simple occasion de cette réunion des Spider-héros.. qui conduira ses créateurs à lui offrir sa propre série de comics, série de comics qui trouvent encore aujourd'hui son public sous différentes versions. Curieux, je me suis donc atteler à la découverte de ce personnage !

• Pour être tout à fait franc, j'ai été légèrement déçu par cette histoire. Tout d'abord, et c'est certainement le point qui me contrarie le plus, c'est son aspect visuel. Je trouve ces pages malheureusement assez laides, avec beaucoup de personnages aux visages et à la physionomie qui me gêne, gêne qui aurait pu provenir du fait que certains de ces personnages sont parmi ceux que j'apprécie énormément en dehors de ce comics, mais pas seulement. Si j'exclus les personnages que je connais, ils restent franchement vilains.. avec pour certains des visages trop rugueux, certains ont des nez exagérément crochus, des traits approximatifs.. le choix des couleurs me déplait également, je les trouves très fades et sans saveurs.. Néanmoins, je dois reconnaitre que c'est une approche intéressante du dessinateur, qui a tenter de donner une identité véritablement unique à son univers. Cela ne me plaît pas, c'est rare, mais c'est simplement une question de goût, certains des dessins m'ayant tout de même plu à certains moments.

• Pour ce qui est de l'histoire, j'ai encore du mal à me prononcer. Je trouve que c'est assez plat, que peu d'événements arrivent à m'intriguer assez pour créer un certain engouement, et ce malgré des éléments qui devraient clairement me faire jubiler ! Car oui, je retrouve dans cette aventure des personnages que je chéris énormément dans la dimension Marvel, notamment mon indétrônable Matt Murdock, qui est ici un personnage à l'antithèse de celui que nous connaissons plus communément. Un changement radical qui mettra un certain temps à s'assimiler pour un amateur comme moi, mais qui je l'espère, apportera une vision nouvelle et intéressante de ce personnage, ainsi que pour les autres. J'ai bien aimer l'apparition pour un chapitre d'un autre Spider encore assez peu connu des non-initiés .

• Comme à l'accoutumée dans ce genre de recueil des oeuvres Marvel, on retrouvera au départ une préface expliquant le pourquoi de l'existence de ce comics et de ce personnage, et une description de la carrière des deux principaux artistes derrière celui-ci. On retrouvera également les couvertures originales de sa publication américaine, ainsi que leurs couvertures alternatives.

• Les intrigues, les personnages et notamment le personnage principal ont pour l'instant du mal à me faire les apprécier totalement. Mais je n'oublie jamais, qu'un premier tome n'est pas forcément le reflet des suivants, et que je dois poursuivre ma lecture pour vraiment en avoir une idée fixe.
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Une grosse déception.
Comme très souvent chez Marvel, ce "tome 1" est en fait la continuation de plusieurs intrigues passées. Il faut avoir lu plein de publications (y compris non-traduites) pour vraiment suivre toute l'histoire. Et même si un préambule tente de nous renseigner, j'ai eu l'impression d'avoir raté plusieurs chapitres. Comment s'intéresser au groupe de Gwen si on ne comprend pas pourquoi elle l'a quitté ? Comment partager sa culpabilité concernant Peter Parker quand elle n'est évoquée que dans de rapides flashbacks ? Et depuis quand Daredevil est un méchant ??
Mais les lacunes, on s'y habitue. On peut faire avec. Sauf qu'en plus, rien ne décolle. Comparée aux nouvelles Batwoman et Ms Marvel, Spider-Gwen fait vraiment pâle figure. Ni attachante, ni fun, j'ai du mal à comprendre comment elle pourra évoluer en Gwenpool (ou alors j'ai encore raté un truc) ni même ce que vient faire Spider-Cochon dans l'histoire (son passage ne parvenant d'ailleurs pas à rehausser la dose de fun !).
Si seulement on avait le droit à une histoire complète ! Mais non, le tome s'achève de manière molle et inaboutie.
Bref, un ratage malhabile.
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critiques presse (1)
ActuaBD
09 février 2016
Une nouvelle série de Marvel et un nouveau personnage centrés sur les thèmes de la jeunesse et de l’initiation.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
N'importe quelle brute peut voler de l'agent ou des bijoux. Mais le vrai vol est intime, précieux. Ne vole que ce qu'ils ne peuvent pas mettre sous clé. Prends seulement ce qu'ils ne peuvent pas reprendre. Vole-leur leur cœur.
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On lui "Doit".
Il lui est "Permis".
Son nom "Doit" être écrit en grand.
Eh bien, tu sais quoi, mon pote ?
Aujourd'hui, pour la première fois de ta vie...
Tu vas devoir le mériter.
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Regardez quelqu'un dans les yeux et vous verrez plus que ce qu'ils sont vraiment... vous apprendrez qui vous êtes.
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- Pourquoi m'avoir emmenée ici ?
Tu savais ce qui arriverait...
-Parce qu'être un super-héros, c'est bien plus que d'affronter des méchants, Gwen...
... parfois, tu dois affronter la vraie vie.
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Tu fais ça pour les mauvaises raisons, Gwen.
Rien de tout ceci ne changera le passé.
Tant que tu es là, dehors, seule, à fuir la vérité...
... les ennuis vont continuer à te poursuivre.
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Videos de Jason Latour (21) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jason Latour
LA NOUVELLE TUERIE DE JASON AARON & JASON LATOUR
http://www.urban-comics.com/southern-bastards-tome-1/
De retour à Craw County, Earl Tubb n?a qu?une chose en tête : vider la maison du vieil oncle Buhl et repartir au plus vite de cette petite ville d?Alabama qu?il a quittée voilà 40 ans. Il suffira d?une altercation avec quelques locaux au diner du coin pour transformer ce séjour en descente aux enfers. Un enfer taillé sur mesure par Euless Boss, coach de l?équipe de football local et ennemi juré de feu le shérif Tubb, paternel d?Earl.
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