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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Pas un grand coup de coeur mais quand même pas mal. Je n'avais jamais lu de romans de cet auteur.
Il s'agit de l'histoire d'une famille canadienne dans les années 1960-1970. Il y a 3 narrateurs : Edward, le père de famille, banquier, très efficace dans son travail mais nul pour ce qui concerne sa famille. Famille très nombreuse puisqu'elle comprend 8 enfants, dont une seule fille Megan.
Celle-ci raconte à son tour une partie de l'histoire. Elle joue le rôle de mère dans la famille car Emily, la mère de famille, est toujours occupée par un nourrisson et perd peu à peu la tête. Or, Megan, à 21 ans, décide de partir vivre sa vie et elle ira passer 3 ans à Londres.
Le troisième narrateur est Tom, le fils le plus prometteur de la famille, il a commencé de brillantes études et voudrait travailler dans l'aérospatiale mais suite à un drame, il va sombrer dans une sorte de dépression qui l'empêchera d'évoluer.
Ces trois personnages sont attachants, chacun à leur façon, mais j'ai trouvé que les hommes manquaient de courage et ne se parlaient pas du tout, en revanche, Megan est un très beau personnage féminin : courageuse, volontaire et altruiste.
Pas mal, sans plus.
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Chez les Cartwrigt, tout part un peu à vau l'eau.
Meg, la seule fille sur huit enfants gérait la maisonnée.
Mais à 21 ans, elle décide de partir en Angleterre pour vivre sa vie.
La mère ne s'occupe que de son dernier nouveau-né et néglige tout le reste.
Le père, banquier se réfugie dan son bureau.
Les enfants restants se débrouillent plus ou moins bien.
Bon, ça se lit bien sûr , mais je pense que c'est le dernier Lawson que je lis.
Comme dans « L'autre côté du pont », j'ai trouvé que tout était assez convenu, trop classique.
Pas d'innovation littéraire.
Juste un roman sympathique comme en en a lu des tas depuis des années.
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Après 21 années passées à s'occuper de ses frères, Megan décide de quitter le nid familial et le froid canadien pour le bouillonnant Londres des années 60. Deux années passent et l'on retrouve Megan dans une situation favorable après avoir vécu des mois difficiles. de l'autre côté de l'Atlantique, la situation est tout autre. Edward, son père ne sait pas comment gérer cette famille très nombreuse qu'il a si souvent laissé à la charge de sa fille, et Tom le fils ainé peine à se remettre du suicide de son meilleur ami dont il s'estime responsable. Ce sont ces trois personnages que l'on va suivre au gré de leurs espoirs et desespoirs.

Bilan mitigé pour cette lecture. Après un prologue prometteur, le roman alterne entre ennui et intêret. D'un paragraphe à l'autre, l'ambiance change du tout au tout. En cela le roman est très inégal. Idem pour les personnages. J'ai préféré Edward et Meg à Tom que j'ai trouvé déprimant et peu intéressant. La fin est aussi très mauvaise. Je n'en dirais pas plus ici, mais ceux qui ont lu le roman me comprendront.
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1966. Canada du Nord. Dans la famille Cartwright, il y a la fille, Megan, qui s'occupe de tout depuis l'âge de 8 ans. Il y a Andrew, le père, directeur de banque, qui fuit sa famille. Il y a Emily, la mère, qui n'est heureuse que enceinte, maman de nourrissons, qui fait 8 enfants et ne s'en occupe pas. il y a Tom, en dépression , qui lâche tout après le suicide de son meilleur ami. Entre 1966 et 1969, on suit les membres de cette famille. L'hiver dehors, la solitude pour chacun. Silence. Et la famille se délite.
Tout comme ses 2 précédents romans, Mary Lawson captive. On dévore le livre, on a froid avec la neige, on a envie de secouer le père, on pleure sur Adam, on admire Megan etc...Un roman parfait à lire avec un thé brûlant et la tempête dehors.
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Au Canada dans les années 1960-1970, réside une famille dont le père Edward travaille comme employé dans une banque et la mère Emily, de nouveau enceinte alors qu'ils ont déjà 5 enfants dont le plus jeune Adam est âgé de moins de 5 ans. Alors que Tom, le plus âgé de tous les enfants tombe en dépression et que le père Edward se réfugie dans son bureau ou au restaurant du coin afin d'échapper à ses responsabilités parentales car en épousant Emily parce qu'elle l'aimait il n'était pas prêt à faire face à cette situation familiale même encore aujourd'hui, Megan, la seule fille de la famille décide de voler de ses propres ailes en partant de la maison. Âgée d'une vingtaine d'années, elle s'est sacrifiée pour aider sa mère tombant régulièrement enceinte, car elle n'aime les enfants uniquement que s'ils sont âgés de moins d'un an, délaissant ses autres enfants ainsi que la tenue de sa maison. le plus jeune enfant Adam se trouvant souffrant de faim. Ce départ va bien sûr chambouler les habitudes de chacun puisque Megan remplaçait sa mère en délaissant sa propre formation scolaire et ne possédant ainsi aucun diplôme.
Megan est censée rejoindre une amie en Angleterre mais lorsqu'elle arrive à l'adresse indiquée sur une enveloppe de correspondance, cette amie n'est plus là et se retrouve à vivre en colocation avec de nombreuses personnes inconnues. de fil en aiguille, Megan va trouver un travail de vendeuse la conduisant par la suite à s'occuper à la rénovation d'un hôtel avec la compagnie d'un couple.
Megan ne connaît rien à l'Angleterre puisqu'elle n'est jamais partie de chez elle. Cette expérience va la faire évoluer car elle va devoir prendre des décisions pour elle-même et elle va avoir la possibilité de s'occuper d'elle au lieu de s'occuper de sa famille pendant 15 ans. Elle va séjourner en Angleterre pendant un moment mais malheureusement ce répit va être de courte durée se sentant obligée de rentrer chez elle au Canada.
Le lecteur prend plaisir à lire cette histoire qui n'est tout de même pas trépidante comparée à certains titres d'autrice comme par exemple Kate Morton. le lecteur apprend à connaître le passé d'Edward, le père, expliquant son attitude qui peut paraître lâche mais ne constituant pas une raison suffisante à son comportement. La mère quant à elle est complètement larguée, à l'ouest de ses préoccupations de mère de famille, attitude que le lecteur ne comprend pas tout de suite.
Au final, Megan se révèle être la personne la plus responsable de la famille alors qu'elle n'est âgée que d'une vingtaine d'années, qu'elle s'est sacrifiée pour sa famille, ne s'en rendant pas compte, délaissant sa formation scolaire pour aider sa mère.
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Un hiver long et rude peut se résumer à son titre. Long, long, long. Et du coup il est bien mais sans plus.

En 1966,  Megan a envie de partir de chez elle, de Struan où elle s'occupe de sa famille depuis 15 ans. Avec l'aide de son père, elle part à Londres, où après avoir fait des petits boulots, elle gagnera sa vie grâce à un hôtel. le lecteur suit son parcours à Londres en même temps que de suivre la vie de la famille de Megan durant l'hiver 1969, du point de vue de son père, Edward, et de son grand frère, Tom.

En fait, les seules parties qui m'ont plu sont les chapitres où l'auteure raconte la vie Megan à Londres. La vie de la famille Cartwight durant l'hiver 69 est ennuyante,  on ne trouve pas d'éléments qui a mon goût donne envie de continuer et qui accrochent le lecteur. En vérité, j'ai eu l'impression qu'il ne se passe rien à part que la famille se disloque complètement.  

Je trouve que ce livre est plus une description de personnages. le père, bien caractéristique de la gente masculine de l'époque, ne se bouge absolument pas, ne fait rien pour arranger les choses, se dit juste "Oh si Megan était la ce serait mieux" et "Oh Emilie (sa femme) ne fait rien. Est-ce normal?". Bref il m'a soulé. Son fils Tom se retrouve seul à essayer d'améliorer la vie de famille,  surtout pour son petit frère Adam,  qui est bien seul et perdu au milieu de cette famille.

C'est certes une histoire intéressante,  mais il y a beaucoup de longueurs, et j'ai dû m'accrocher, surtout au début.

Donc, ce livre a été pour moi une lecture en demi teinte d'où le fait que c'est  un livre qui est  à mon goût bien mais sans plus.
Lien : https://www.babelio.com/ajou..
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Une fois n'est pas coutume, je ne vais pas m'étaler trop longuement sur ce bouquin.
C'est tout bête, j'ai vraiment aimé 90% de ce livre, vraiment !
Meg qui prend son indépendance et son frère, Tom, qui se prend en pleine face la réalité dans la figure.
Voila. Dommage que la fin soit celle-ci. Pour le coup, un peu compliqué de m'expliquer sans raconter ladite fin... donc restons sur : j'ai aimé ce livre, sauf la fin.
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