La stratégie des ombres

Ce livre est désespérant, car il montre les dérives éventuelles des recherches sur le cerveau humain. Si elles ont pour objectif de guérir des maladies comme Alzheimer ou parkinson, on voit qu'elles pourraient être détournées par des personnes malfaisantes.
Heureusement, le bien triomphe, après un nombre important de morts, car il reste des humains normaux , amicaux, amoureux et droits
Ne lisez pas ce livre, si vous êtes un peu sensible .

À la fin de la nuit des ombres, plusieurs questions se posaient au lecteur, qui est le voltigeur, et que sont devenus certains méchants ? On se doutait, mais cela restait un peu flou.

Et bien on a toutes les réponses dans cette suite ! Et quelle suite !!!

À la lisière de l'anticipation mâtinée de polar, ça va à toute vitesse. Impossible de lâcher ce livre...Ça remue sévère et on a des cadavres à tous les coins de pages. On croise des genres de Terminators, des gentils, des moins gentils et des carrément méchants.

Je me demande pourquoi cet auteur n'a pas une notoriété plus grande tellement c'est génial !

Gros coup de coeur pour ce tome, toujours avec cette écriture façon mitraillette parfois.
Je précise qu'on peut tout à fait lire ce livre sans avoir lu le précédent, mais ce serait dommage...

Bonjour mes amis!
Je viens de terminer un excellent thriller, de l'auteur Jean Paul le Demnat, dont le titre est : La Stratégie des ombres!
Quel thriller! Quel talent de l'auteur, qui a su du début jusqu'à la fin me tenir en haleine, le suspens allant crescendo!
Les chapitres sont courts, et la plume vivante, on ne s'ennuie pas, et on tourne les pages se demandant ce qui va se passer entre les personnages!
L'auteur nous fait voyager du centre, De Nantes et même en Belgique!
J'ai retrouvé avec plaisir le Maout dont j'avais fait la connaissance dans la nuit des ombres, policier à l'étrange personnalité!
J'ai fait connaissance de Max, jeune médecin, angoissé, voire peureux, mais sympathique, mais aussi de moins sympathique, pour ne pas dire abominable, comme le Chacal, Dog, et surtout Vauclair soi disant spécialiste du cerveau!
Tout commence par un visage ensanglanté, qui apparait devant la voiture de Max, dans la nuit! Qui était ce? Ai je rêvé? Un animal ou une personne ?
Un cadavre suspendu au clocher d'un hopital psy, de Dinan!
Quel est le lien entre ses deux affaires, et y en a t-il un?
Le maout et son collègue Sans sucre, devront se creuser les méninges pour découvrir se qui se trame!
Un suspense insoutenable, on retient son souffle!
Si vous ne connaissez pas l'auteur je vous le conseille, vous succomberez à sa plume! Amateurs de thriller ce livre est pour vous!
Je mets 5 étoiles++
Votre Martine§

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Waouh ! Quel thriller ! J'ai été scotchée par cette suite de ''La nuit des ombres''.
On a enfin des éclaircissements sur l'histoire de Ludovic le Maoût, ce policier à la personnalité si complexe. Épaulé par son collègue ''sans sucre'' il va bien malgré lui devoir affronter son passé et c'est du lourd. La tension monte crescendo, âme sensible s'abstenir !
J'ai adoré les chapitres courts qui donnent vraiment du rythme à ce thriller.

Après « La nuit des ombres », il ne m'aura fallu que 2 jours pour engloutir ce deuxième tome « Des ombres ». C'est dire l'excellence de l'intrigue et de l'écriture de l'auteur. Max Carel, un médecin généraliste venu faire un remplacement à Clohars-Carnoët, est appelé de nuit pour une consultation. En chemin il a une mystérieuse vision, celle d'un visage ensanglanté au beau milieu de la route. Ce qu'il ne sait pas à ce moment là c'est qu'elle va bouleverser sa vie et celle de ses proches. Un mystérieux centre de recherche en génétique porcine, à proximité de l'accident, va peu à peu se révéler comme un centre expérimental sur le cerveau humain, dirigé par le « Chacal » et son fidèle garde du corps Milan. Ludovic le Maout, lieutenant au SRPJ de Nantes, dont on à fait la connaissance dans les autres romans de l'auteur, souffre d'amnésie post traumatique, de céphalées et de visions. Enfin saurons-nous qui est ce mystérieux « Voltigeur », un dératiseur de crapules en tous genres. Voilà, le décor est planté, mais quel sera le lien qui réunira ces différents lieux et personnages. Et bien il va falloir vous plonger dans cet excellent thriller. Comme à son habitude l'auteur va vous faire rencontrer beaucoup de personnages et donc beaucoup de cadavres. C'est assez fort voir violent et certaines scènes risquent même de choquer les plus sensibles ! Ici les chapitres sont courts, pas de longueurs inutiles et j'avoue que ça fait du bien pour faire une courte pose entre deux tueries. Tout va se mettre en place petit à petit et s'intensifier à l'approche de l'épilogue ! Un grand bravo pour le scénario et pour le dénouement de cette intrigue. Un roman d'action, sombre, dense, rythmé, à l'écriture brillante et efficace qui ne vous laissera pas sans quelques émotions : du suspens, des frissons, des sensations fortes et une belle brochette de salopards, dénués de toute humanité, qui risque fort de vous perturber quelque temps encore après votre lecture. Un futur peut-être pas si loin comme dans « La nef des damnés » ? Pour finir je précise qu'il n'est nul besoin d'avoir lu les précédant volume pour savourer celui-ci, mais je vous le recommande !
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Un livre agréable à lire avec une intrigue hors du commun, violente, sombre et complexe rythmée par des chapitres courts qui se déroule du 25 décembre au 6 janvier, sans temps mort, et ou ça dézingue à tout va. Nous découvrons l'inspecteur Ludovic le Maoût, ses pertes de mémoire, sa recherche d'identité et ses migraines et Max Carel, médecin pantophobe; chacun de leur côté vont enquêter sur une affaire différente avant de se croiser.Nous rencontrons d'autres personnages affublés de surnoms amusants: Sans Sucre, Motus, Quéquette, Dog, Chacal, etc. . . le Maoût va découvrir son passé et Max Carel va surmonter ses peurs tout en mettant fin à une cruelle entreprise de manipulation génétique. "La gestion globale et rationalisée de la Terre et de ses occupants. Elimination systématique des bouches et des charges inutiles. Les vieux. Les handicapés physiques et mentaux. Les gras, les maigres. Un programme de normalisation planétaire de l'homme qui reléguait au placard l'Aktion T4 d'Hitler. Un monde sain. Sans chomage. Un humain en face d'un besoin. Fini les états-providence, terminé ce grouillement infâme de dégénérés destructeurs."
Je remercie les éditions Palémon et Masse Critique de m'avoir fait découvrir ce polar breton, particulièrement haletant et flirtant avec la science fiction.

📚 Bonjour livresque 📚

La stratégie des ombres de Jean-Paul le Denmat - Éditions du Palémon

Direction Clohars-Carnoët où Max Carel, jeune médecin remplaçant, va être appelé en début de nuit, au fin fond de la campagne. Il faut traverser la forêt.... Il ne trouve pas son chemin... Abandonne... Mais un visage ensanglanté croisé sur le retour va lui promettre des jours et des nuits bien plus qu'angoissants !
En parallèle, on retrouve le policier Ludovic le Maoût confronté à une affaire de suicide à l'hôpital de Dinan. Suicide ou meurtre ? Qui est vraiment la victime ?
Quel lien y a t-il entre les deux affaires ?
C'est non sans violence ni sang que Ludovic va se retrouver face à ses origines et que Max va devoir faire preuve de courage pour affronter ses propres peurs.
En continue du tome précédent, quelles sont les limites de l'intelligence artificielle ? Jusqu'où peut-on manipuler l'être humain ?
Happée par le rythme que l'auteur donne aux événements et aux personnages, ce thriller est pour moi encore mieux que La nuit des ombres ! (Je n'ai pas encore lu le tome 1 La nef des damnés). Un thriller puissant, rythmé, poignant (dans tous les sens du terme), où l'auteur joue avec nos sentiments envers les personnages. Difficile d'imaginer les pires horreurs qui s'y cachent ! Et pourtant...

(Les tomes peuvent se lire séparément et si je peux vous donner un conseil : ne lisez pas La nef des damnés en premier pour garder tout le secret de Ludovic 😉).

Je viens de terminer « La stratégie des ombres » de Jean-Paul le Denmat, polar-thriller breton, dont voici mon avis plus qu'une critique. Je ne ferai pas le résumé de l'histoire assez complexe (pour moi) et que l'on peut lire sur Babelio. En général, pour me souvenir d'un livre, je résume chapitre par chapitre. Pour certains – surtout les essais, les biographies, etc., parfois pour les romans, je fais la liste des personnages, des personnalités, des lieux, des index quand il n'y en a pas et la chronologie. C'est par déformation professionnelle, puisque j'étais bibliothécaire-documentaliste. Je l'ai fait pour celui-ci jusqu'au chapitre 72 sur 118. Pour la grande majorité, ils sont très courts avec changement de lieux et de personnages. Au début, avec cette histoire assez déroutante et les nombreux personnages, c'est devenu très vite laborieux. Je pense que désormais je ferai le résumé à la fin d'une séance de lecture.
Ma première impression de lecture des 80 premières pages fut justement qu'elle a été laborieuse. Comme il y a deux tomes avant ce livre, j'espère seulement qu'ils peuvent se lire indépendamment, car sinon, c'est embêtant pour la compréhension, notamment du personnage du policier Ludovic le Maoût. Celui de Max Carel, avec sa phobie de tout, est très attachant par contre.
La chronologie de l'histoire est simple et se déroule sur 13 jours, du 25 décembre 2012 au 6 janvier 2013. Comme un puzzle, les explications se dévoilent petit à petit.
Mais ce qui m'a gênée le plus, c'est le style, avec des phrases très courtes, des phrases sans verbe, souvent un simple mot. Ce type de narration, bien sûr, sert à exprimer une action rapide, l'inquiétude, la surprise, la vitesse, et aussi certaine tension pour tenir en haleine … Mais il y en a trop. Bien sûr, comme c'était le début, je voulais attendre d'en lire un peu plus.
Au quart du livre, l'histoire prend forme et j'y vois un peu plus clair, mais arrivée à la moitié du livre qui compte 472 pages, je n'ai toujours pas le coup de foudre. Je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire. En plus des « non phrases », des dialogues interrompus dont on devrait pouvoir deviner la fin, le sens, je n'y arrive pas tout le temps. C'est lassant. Certains chapitres sur le Maoût sont sans grand intérêt et le rendent vraiment antipathique, ayant un caractère bipolaire. Il est sans doute dommage que je n'aie pas eu le temps de lire les deux romans précédents dont il est le personnage principal.
Pour avoir une lecture plus fluide et surtout pour essayer de rentrer dans l'histoire, j'ai arrêté de faire les résumés.
En définitive, cette histoire originale, intéressante, malgré le style (pour moi) trop « haché », est très bien menée et très cohérente. Cela m'a amenée évidemment à considérer le Maoût autrement, au vu de son passé retrouvé très douloureux. En dessous de cette carapace très dure, brutale et pour cause – je laisse découvrir les futurs lecteurs le pourquoi de cette violence -, un coeur tendre se révèlera.
En définitive, c'est un livre à découvrir, à ne pas mettre toutefois entre de jeunes mains à cause des scènes très violentes, même si j'ai lu des thrillers qui l'étaient encore plus.

Un polar breton ! Voilà qui est une première pour moi dans le sens où je ne suis pas une fan des thrillers « made in France » : un grand Merci à Babelio et surtout aux éditions Palémon.
J'ai lu avec beaucoup de plaisir le troisième livre de la série commencée par Jean-Paul le Denmat sans avoir besoin de parcourir les deux premiers volets.
Le récit démarre fort : deux meurtres, un suicide, et ce n'est qu'un début !
Une galerie de protagonistes attachants et hauts en couleur qui nous balade dans un univers à la fois authentique et surréaliste, un tour de force.
Les personnages sont travaillés avec minutie : c'est un peu comme si chaque individu était un portrait type d'une psychopathologie qui nous apparaît au fur et à mesure. Une excellente technique pour maintenir le spectateur en haleine et lui faire tourner au plus vite la page.
Les différences de longueurs des phrases et des chapitres permettent au lecteur de littéralement ressentir l'étau qui se resserre au fil du récit.
L'enquête est prenante, angoissante. L'univers d'un noir profond.
J'ai envie de mettre un seul petit bémol : les surnoms qui peuvent surcharger le texte et bloquer l'imagination du lecteur.
Je suis donc convaincu : je lirai les premiers tomes. Je le conseille volontiers à ceux qui veulent faire un pas dans le genre fantastique sans trop se perdre.

Mon ressenti
C'est un vrai régal de renouer avec la plume de l'auteur , qui m'avait séduite l'an passé avec La nuit des ombres. Cet opus est sa suite, à la hauteur de mes attentes, magistralement orchestrée d'une main de maître.
On retrouve sa marque de fabrique, à savoir, des chapitres très courts, intercalés avec d'autres plus longs, des phrases encore plus courtes souvent sans verbe, ce qui donne un rythme effréné au récit qui devient vite addictif.
De nombreux personnages, dont certains accrochent votre regard, un protagoniste qui nous est familier maintenant, Ludovic le Maoût, dont on va découvrir le passé tourmenté , vont vous capter dans leurs filets.
Max, un docteur pantophobe, ne sait pas encore dans quel guêpier il s'est fourré, quand il a accepté un remplacement pour les fêtes de fin d'année dans la commune de Clohars-Carnoët . La nuit du 25 décembre, témoin d'une scène qu'il n'aurait pas dû voir, son cauchemar va commencer, et à partir de là les évènements vont s'enchaîner pour ne vous laisser aucun répit.
L'intrigue est tricotée serrée, et vous allez avoir fort à faire pour détricoter les mailles imbriquées, les unes dans les autres .
L'auteur ne ménage pas ses héros, c'est fort, haletant et surprenant à la fois avec un thème sur la manipulation génétique abordé avec brio
Bravo à Jean-Paul, qui n'a rien à envier aux plus illustres en la matière de suspense, il rentre dans la cour des grands avec une maîtrise implacable du scénario, un phrasé excellent qui emprunte un vocabulaire riche et recherché.
Vous ne connaissez pas encore la plume de l'auteur, vite il faut y remédier, ,un coup de coeur pour moi, frissons garantis