AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,92

sur 388 notes
Sur l'île de Morguélen, le capitaine Raphaël Romero, après des années passées au SRPJ de Strasbourg puis de Lyon et un burn-out qui l'a mis sur la touche, vient tout juste d'arriver pour prendre ses nouvelles fonctions, au sein l'OCLCH. À ses côtés, et en planque depuis trois ans, le major Mortier. Leur mission : prouver que le père Andras Petrovácz n'est autre qu'Andro Dragović, prêtre croate et criminel de guerre. Ses crimes de guerre remontant à 1991, dans six semaines, il sera protégé par sa nationalité française et aucun tribunal ni aucune cour internationale ne pourra plus l'inquiéter...
Au même moment, Yvonne Chen débarque sur l'île pour une toute autre affaire. À la poursuite des Furies, dont l'un des membres a tué son partenaire, 7 mois auparavant, les investigations menées sur Paris l'amènent ici, sur cette petite île quasiment inhabitée...

Bien qu'antipathique, glaciale et fort peu aimable, l'on retrouve avec plaisir Yvonne Chen, déjà rencontrée dans le gibier. Après la mort de son collègue Starski pour qui, sans surprise, elle n'éprouvait que peu de sympathie, elle est tout de même bien déterminée à coincer les Furies, Alecto à leurs têtes, et par là même laver son honneur, elle que la brigade criminelle soupçonnait d'avoir du sang sur les mains. Si Morguélen n'est pas le lieu où elle pensait les pourchasser, tout le monde ici semblant se connaître, elle va aller de surprises en surprises. Sa route va, l'on s'en doute, croiser les deux agents de l'OCLCH qui, eux aussi, ont fort à faire avec ce prêtre, souriant, avenant et proche de ses ouailles. Deux enquêtes pour le prix d'une et une nouvelle danse macabre orchestrée par les Furies, Nicolas Lebel nous régale avec ce roman policier mené tambour battant. Aucun temps mort, un scénario bien ficelé et habile, des personnages étoffés et aux apparences trompeuses, des révélations étonnantes, des dialogues percutants, un brin d'humour, une plume vive et un dénouement inattendu qui, immanquablement, laisse supposer une suite.
Encore un très bon Lebel !
Commenter  J’apprécie          610
J'adore Nicolas Lebel alors ne comptez pas sur moi pour me montrer neutre dans mon avis .Ce que j'apprécie particulièrement , chez cet auteur , c'est l'ambiance , le climat dans lequel s'installe l'action , ici une île bretonne sauvage au possible , un village , Morguélen , sinistre .Il y a aussi ,le contexte avec des tueurs impitoyables , un drôle de prêtre , un trésor ...Hum , ça va tanguer les amis , surtout que l'inénarable Chen , la flic qui " rit quand elle se brûle ", se jette dans la mélée .
Nicolas Lebel maltraite ses personnages , manie aussi bien le suspense que la violence et l'humour , nous entraîne dans un scénario de haute tenue , bien ficelé , dans lequel certains vont " prendre la marée " comme on dit dans les milieux rugbystiques .Il y avait " le Gibier " , il y a désormais " La Capture " et , croyez-moi , le gibier va vendre chèrement sa peau . de quoi ça parle ? Ben d'un gibier qui va tenter de s'échapper mais je l'ai déjà dit , non? Vous " poussez encore le bouchon un peu loin "!!! Je sais tout mais je dirai rien sinon , allez-y.
A bientôt chères amies et amis .
Commenter  J’apprécie          585
Les amoureux de la Bretagne et les fans de Nicolas Lebel seront ravis de se plonger dans cette nouvelle lecture car ils retrouveront avec plaisir l'un des personnages du Gibier, la lieutenante Chen qui mettra le cap vers cette région littorale...

Après avoir vécu un événement traumatisant, Yvonne Chen n'a plus qu'une seule idée en tête; celle de se venger. Ses investigations vont la mener sur l'île bretonne de Monguélen où tout porte à croire que le gang des Furies a posé ses valises. Mais pour quelles raisons ces criminels viendraient-ils sur ce bout de terre perdu où les seules occupations des insulaires sont d'assister à la messe, aller au bar du coin ou d'utiliser leur connexion internet pour jouer à des jeux en ligne ? Est-ce que le calme apparent de l'île ne cache-t-il pas de nombreux secrets qui pourraient être balayés par le souffle des embruns ? Une course contre la montre va alors démarrer et Yvonne devra avancer rapidement ses pions en compagnie de deux cavaliers pour éviter l'échec et mat...

Même si ce roman policier peut se lire indépendamment du « Gibier », je regrette de ne pas avoir suivi l'ordre chronologique de la série. Malgré ce constat, je ne peux que féliciter Nicolas Lebel qui par un tour de passe-passe nous entraîne très rapidement dans cette histoire où les apparences sont trompeuses.

Je tiens à remercier Les Éditions le Masque, Nicolas Lebel et Netgalley france
pour avoir eu l'occasion de découvrir un formidable roman policier d'ambiance qui m'a transporté en Bretagne et dont les descriptions faîtes des personnages les rend attachants malgré des caractères bien différents...
Commenter  J’apprécie          400
J'ai découvert Nicolas Lebel avec son capitaine Mehrlicht. Et là, je rencontre Yvonne Chen, personnage important de cette trilogie la mettant en vedette. Personnage haut en couleur s'il en faut et voilà qu'il m'en faudra un peu plus pour l'apprécier. Et me voilà sur une île bretonne, avec des infiltrés et des espions et des policiers et des meurtriers. Ce titre ferait un bon film d'action à visionner. le lire cependant c'est autre chose.. Mais je crois que c'est ma faute, mon erreur. J'aurais dû lire le T.1, "Le gibier" avant pour mieux apprécier cette Yvonne, froide et vindicative.
Je suis donc en Bretagne, sur l'île de Morguelen où il y a une équipe de policiers en planque espionnant un curé. On apprendra que ces policiers traquent pour le tribunal international. Ça vous met la puce à l'oreille ? Et puis, débarque Yvonne, en furie, afin de régler des comptes avec Les Furies qui ont tué son collègue. Il y aura des poursuites, des morts, des alliances, des rivalités. Ce sera violent et brutal.
Toutefois, je ne me suis pas attachée à ces personnages, à cette intrigue. Pourtant , le rythme est là, c'est enlevant, il n'y pas de temps mort, c'est bien documenté et c'est super bien rendu par Michelangelo Marchese mais...mais pour moi, il manquait un petit je ne sais quoi pour que je me sente captivée par La Capture.
Gros merci à #netgalley #LaCapture #Livreaudio
Commenter  J’apprécie          332
Après un précédent roman très remarqué, le gibier, Nicolas Lebel a vite compris qu'il lui fallait enChenner. Lieutenante Chen, une des rescapées du précédent opus, se voit enfiler le dossard de personnage récurent, avec sa manière bien à elle de concevoir les relations d'équipe.

Vous n'avez pas lu le gibier ? Ça ne gâchera pas votre plaisir de lecture, croyez-moi sur parole. Une histoire indépendante, et des liens avec le passé qui sont traités judicieusement.

Avant toute capture, il faut se préparer avec soin. Reconnaître le terrain, étudier minutieusement l'adversaire, déjouer les pièges tendus, savoir saisir les opportunités.

C'est le rôle de l'OCLCH, étonnante et peu connue officine, tout à fait officielle, qui a pour mission de traquer les pires criminels internationaux. Une découverte qui, à elle seule, vaut le détour.

C'est par elle que l'intrigue principale se forme, personnifiée par deux acolytes qui se découvrent, entre un vieux briscard et un flic dépressif envoyé prendre l'air pur.

Morguélen, charmante petite île bretonne (inventée), si peu peuplée que tout le monde se connaît. Mais connaît-on vraiment ses voisins ?

Le climat est un des éléments primordiaux des récits de l'auteur, et pour le coup c'est le grand écart par rapport au précédent livre.

Cette atmosphère marine vivifiante a pourtant l'effet inverse sur une Yvonne Chen qui en deviendrait plutôt neurasthénique. Elle débarque dans cette (fausse) quiétude comme un chien dans un jeu de quilles. Il faut dire qu'il n'est pas facile pour cette parigote de trouver son carburant habituel (dont les bars à cocktails).

Chen va très vite mettre un souk monstre et se retrouver face à une enquête en cours qui la dépasse.

Chen, ah Chen, sacré personnage. Encore davantage ici, où elle est en roue libre. Imbuvable, gueularde, pragmatique comme un bloc de glace en pleine banquise. Un vrai bonheur de côtoyer ce sale caractère, qui permet à l'écrivain de s'en donner à coeur joie dans son style qui mélange sérieux et bons mots. Un peu d'astuce, d'espièglerie, c'est la vie de Lebel.

Oui, il sait comme personne varier les ambiances, passer du sombre au drôle, de passages d'une cruelle réalité à d'autres plus légers, comme des respirations dans le noir. Et à ce jeu-là, il est l'un des maîtres incontestés.

Des personnages hauts en couleurs dans une autre ambiance, un autre rythme. Même si je lui ai préféré son prédécesseur, affaire de goût, les promesses sont bien tenues une fois encore.

Avec une intrigue bien plus étonnante qu'elle n'y paraît. Où les Furies, ces déesses du châtiment rencontrées dans le gibier, tiennent une place. Où les secrets vont peu à peu se révéler pour le plus grand étonnement du lecteur.

Et, comme dans tout livre de l'auteur, ce qui fait un bon roman noir à mon sens, il y a le fond. Il se révèle d'une étonnante densité, sans pour autant peser sur le rythme général.

Comme le dit souvent l'écrivain, la documentation est le ciment de la fiction. On la sent particulièrement fouillée, même si une partie reste peu visible à l'oeil du lecteur. Un double supplément d'âme, entre personnages singuliers et sujets forts.

Cette histoire de vengeance se révèle plus étonnante qu'il n'y paraît, avec un auteur qui fait, une fois de plus, montre de toute son habileté pour distraire, tout en parlant de ce qui compte. La réjouissance de la lecture, Nicolas Lebel La capture avec son savoir-faire bien à lui.
Lien : https://gruznamur.com/2022/0..
Commenter  J’apprécie          310
Bon, autant le dire tout de suite, j'ai un problème avec Nicolas Lebel.
Enfin, pas l'auteur, soyons clairs.
Mais après m'être tellement régalé de ses polars Mehrlichtiens, j'ai l'impression de passer à côté de ses deux dernières productions, le gibier et celui que je viens de terminer, La capture.
Qu'est-ce qui cloche ?
J'ai du mal à rentrer dans l'histoire, et j'ai encore plus de mal à aimer ses personnages. Cette chère Yvonne, par exemple, elle me fait pas fantasmer. Froide, violente (et surtout secondaire dans ce nouvel opus).
Enfin, Nicolas, tu as perdu ton humour ?
Trêve de plaisanteries, je n'ai quand même pas tout détesté dans ce bouquin.
Yvonne Chen débarque à Morguélen, une petite île bretonne.
Objectif ?
Régler ses comptes avec les furies (lire le gibier).
Elle n'a plus rien à perdre.
C'est aussi à Morguélen que deux membres de l'OCLCH (Je vous laisse le plaisir de découvrir la signification du sigle) traquent, pour le compte du tribunal pénal international, un criminel de guerre de l'ex-Yougoslavie.
Concurrence ? Intérêt commun ? Rivalités ?
Tout ce petit monde va se croiser,  s'expliquer, parfois brutalement, dans un roman enlevé et avec peu de temps morts.
La fin, en tout cas, promet un troisième volet passionnant, le sera-t-il pour moi ?
Le challenge est lancé,  je prends les paris, le prochain sera le bon.


Commenter  J’apprécie          301
Les furies sont de retour sur une ile bretonne (épisode 2 donc). Ce n'est pas une intrigue que l'on suit mais trois, voire quatre. N. Lebel est un scénariste hors paire. On y retrouve Chen, l'inspectrice qui souhaite toujours se venger (pour savoir qui, je préfère ne pas spolier l'épisode 1) ; on y parle de services secrets et de la cour pénale internationale ; et le summum : O. Norek est à la Pléiade !
Commenter  J’apprécie          290
Si Dave avait écrit sa lettre à Hélène, exilée sur l'île Morguélen, pas sûr que ça aurait eu le même effet qu'un exil aux îles des Kerguelen.

Parce que Morguélen (mêle si ça rime super bien avec Helen) se situe en Bretagne et que, ce n'est pas le bout du monde !

♪ Quelle idée, ma douce Hélène, de t'exiler sur l'île Morguélen ♫ (ou comment pourrir votre journée en vous collant la chanson dans la tête).

Bon, on ne va pas se mentir, Yvonne Chen n'est pas mon personnage préféré ! Malgré son caractère de cochon, sa voie éraillée et sa tronche de grenouille, je lui préfère, et de loin, le Capitaine Mehrlicht.

La lieutenante Chen est froide, antipathique au possible, imbuvable et si ça coince de la sorte entre nous, c'est sans doute parce que c'est une femme. Bizarrement, une telle froideur, ce manque d'empathie qu'elle a pour les autres, je pense que ça passerait mieux avec un mec. Me demandez pas pourquoi, docteur.

Chen m'a fait l'effet dune poêle Tefal : déjà que tout glisse sur elle, sans attacher, et moi, je ne me suis pas attachée à elle non plus.

Cela ne m'a pas empêché de passer un moment rempli de suspense et de mystère avec notre flic au caractère de merde, qui, poursuivant les assassins de son collègue, va mener son enquête sur la petite île de Morguélen, sorte de trou perdu qui ne s'anime que durant les périodes de vacances.

Moi, je me méfie toujours des petits coins paumés qui semblent super calmes, lorsque je lis un roman policier ou un thriller ! C'est bien souvent au moment où débarque notre personnage que le taux de mortalité explose en masse et que l'insécurité règne en maîtresse de maison.

Comme aux échecs, notre Chen va devoir avancer sur un échiquier dangereux, sans savoir où se trouvent les Furies, tandis que de l'autre côté, deux flics de l'OCLCH avancent, eux aussi, à pas de loup, sans savoir si l'homme qu'ils espionnent est un criminel de guerre ou pas.

N'ayant jamais joué aux échecs autrement qu'avec Ron Weasley (on a les références que l'on peut), je sais tout de même que parfois, pour gagner, il faut savoir sacrifier des pions importants…

Dans ce roman, les apparences sont trompeuses et même si j'ai vite deviné où se trouvait la couille dans le pâté, je manquais de certitudes pour affirmer avoir raison.

Comme avec un iceberg, je n'avais trouvé qu'une petite partie, ce qui était immergé, je l'ai découvert au fur et à mesure, me faisant avoir comme une bleue ! Génial, il y avait des surprises dans la surprise du Kinder© !

Non, non, ce n'était pas une saloperie de salmonelle, rassurez-vous, vous pourrez déguster le roman sans risque. C'est comme une sorte de double effet Kiss Cool (pour les plus anciens qui ont passé l'âge des Kinder) et l'explosion finale en bouche pour la fin. Là, je vous garantis que je n'avais rien vu venir !

Si le roman possède moins d'humour que dans ceux consacrés aux enquêtes du Capitaine Mehrlicht, l'auteur ne sera jamais avare de bons mots, de situations cocasses (notamment avec les chansons de Johnny), de vérités vraies, de mettre en scène ses potes auteurs (Claire Favan, Alexis Laipsker, Mazza et de mettre Norek à la Pléiade)…

Et puis, on ne s'y embête pas, le rythme, sans être trépidant, ne nous laisse pourtant pas le temps de flâner et de cueillir des fleurs. La preuve, j'ai lu ce roman en même pas 24h. Une fois qu'on est plongée dedans, c'est comme dans une piscine, on n'a pas envie d'en sortir.

Un scénario bien trouvé, qui laisse la place aux surprises, au suspense, aux mystères et qui se termine d'une manière inattendue, ce qui relance les dés pour le prochain épisode, si suite il y a… C'est intelligent de la part de l'auteur. Un twist génial.

Mon seul bémol sera pour Yvonne Chen, qui n'aura pas le prix de la sympathie du public, ni des collègues, ni celui de la politesse, mais je pense qu'elle s'en moque comme de ma première paire de chaussettes.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          240
Je commence par un regret- ce sera le seul - on sait tout de suite que l'on à faire à une suite, celle du «Gibier» . On retrouve la tempétueuse Yvonne Chen acoquinée , malgré eux, de nouveaux acolytes , agents de l'OCLCH ( Office Central de Lutte contre les Crimes contre l'Humanité), le major Mortier et le capitaine Romero. Les deux agents pourchassent une cible qui se trouve comme eux sur ce petit archipel insulaire des Morguélen, perdu dans la Manche non loin des îles anglo-normandes. La mission que leur a donnée l'Office est de démasquer Andro Dragović , le criminel de guerre qui a trahi les siens et volé des oeuvres inestimables lors du dernier conflit meurtrier qui a déchiré l'ancienne Yougoslavie dans les années 90. Ce criminel se cache derrière les traits du bon curé Franco-hongrois Andras Petrovácz mais il manque toujours aux deux agents de solides preuves de ses forfaits pour l'arrêter . Yvonne Chen ne poursuit pas la même cible. Elle, ce sont les Furies qu'elle pourchasse, ces ombres qui ont semé la mort de ses collègues et notamment du commissaire Paul Starski. Alecto le chef assisté de Tisiphone et Mégara : voilà le trio qu'elle souhaite éliminer. Grâce à un de ses seuls amis resté fidèle à la Brigade Criminelle elle a pu retrouver leur trace sur l'île de Morguélen.
La chasse est donc de nouveau ouverte mais si le gibier ne se laissera sans doute pas facilement prendre dans ses filets si une nouvelle danse des Furies est déjà en route.


Ce nouvel opus continue sur le même rythme que le premier même si le déroulement du récit se situe dans un quasi huit-clos que représente l'île de Morguélen. Si le père Petrovácz est au centre de toutes les attentions, un bon nombre de personnes gravitent autour, sans qu'on sache vraiment le rôle qu'ils jouent véritablement. Eh oui, l'auteur aime entretenir le suspens et nous aussi. On ne sera donc pas étonné, outre les trois flics, de voir apparaître parmi les personnages secondaires, la nièce du marin disparu en mer, un brocanteur fan de Johnny à la recherche d'un mystérieux trésor, une bibliothécaire handicapée ou des marins qui passent plus de temps au comptoir du bar que dans leur bateau. Car, en plus de cacher de lourds secrets, notre gentil curé compte aussi mettre la main sur ce nouveau trésor …
L'histoire se complexifie donc un peu plus pour pimenter ces chasses-poursuites déjà bien remplies . L'auteur y ajoute comme à son habitude un zeste d'humour qui ne manque pas de piquant compte tenu de la tonalité du récit.
Bonne lecture !
Commenter  J’apprécie          220
Premier roman de Nicolas Lebel que je découvre, je ne savais pas que La capture faisait partie d'une série. Sur l'île bretonne de Morguélen, le capitaine Romero rejoint le major Mortier pour espionner le père Petrovasz n'est qu'un criminel de guerre, le temps joue contre eux. En même temps, lieutenant Chen, poursuit par vengeance les Furies, coupable du meurtre de son collègue.
Une enquête sur une île, quoi de mieux ? Un huis-clos parfait, enquêteurs et suspects réunis, chacun avance ses pions, une véritable partie d'échecs, réplique grandeur nature de celui qui se joue en ligne pendant l'enquête. On alterne les points de vue mais attention à ne pas croire la partie gagnée d'avance. J'ai aimé cette enquête même si les personnages deviennent assez rapidement nombreux (plus difficile à l'écoute). Il ne manque pas cependant pas d'humour et il est agréable à écouter avec la voix de Michelangelo Marchese.
Autres tomes à lire à l'occasion !
Commenter  J’apprécie          180




Lecteurs (787) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Sans pitié, ni remords" de Nicolas Lebel.

Qu'est ce que Jacques a en grande quantité chez lui ?

des livres
des tableaux
des montres

10 questions
16 lecteurs ont répondu
Thème : Sans pitié ni remords de Nicolas LebelCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..