Quel ennui ! Et pourtant ça démarrait bien avec ce quinqua qui quitte tout sur un coup de tête pour se réfugier en forêt de Brocéliande, aux côtés d'une vielle anglaise digne d'Agatha Christie.
Le début du récit a même des allures de roman de terroir : une ode à la nature, à la vie simple et aux gens « vrais ». C'est cliché mais mignon.
Le problème c'est que le style est d'une platitude assommante et qu'il ne se passe vraiment pas grand-chose.
Pour pimenter un peu son récit, l'auteur nous titille avec des secrets, des tas de secrets. Je n'ai jamais vu autant de gens avec autant de secrets. En plus il ne faut pas être devin pour comprendre de quoi il retourne !
Les personnages sont des stéréotypes ambulants, sans aucune nuance. La plupart restent à l'état de silhouette, la vieille anglaise disparaît même au milieu du roman tant elle ne sert à rien !
J'ai passé des pages, je me suis contentée de lire les dialogues dans les derniers chapitres pour en venir à bout.
Un jour il faudra vraiment que j'apprenne à abandonner un livre qui ne me plait pas...
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Je suis perplexe. Tendance déçue. Ce livre, le premier de Ledig pour moi, ressemble à un assemblage de quelques jolis textes que l'autrice aurait voulu relier avec des passages qui ne serviraient que de ponts entre eux. Au milieu de passages plutôt poétiques, des récits creux, des personnages dénués de personnalité, et du sexe en quantité trop importante. Pas de l'érotisme, non, du sexe chirurgical, froid comme une paillasse de laboratoire, exprimé à coups de ”bite” et de bandaison. de quoi vous dégoûter de l'acte (presque). Pourtant, la forêt de Brocéliande, des hameaux bretons et des nouveaux départs, le scénario était prometteur. Mais je me suis ennuyée, chaque paragraphe était si téléphoné, et les personnages étaient de tels clichés que je ressors de cette lecture déçue et en colère. A éviter si vous aimez les récits qui ont du corps...
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Édouard la cinquantaine quitte sa femme sur le quai d'une gare et part vers la forêt de Broceliande pour se ressourcer. Là il va prendre une chambre chez Gaëlle et réapprendre à se connaître
Mais quel ennui ce livre. Je dis rarement cela mais l'intérêt est franchement limité. Les femmes sont toutes paumées et les hommes en revanche même dans l'adversité arrivent à aider tout le monde… en faisant justice soit même qui plus est et en s'improvisant psy.
Non ce livre se moque de nous et me met même en colère. Certains personnages y sont complètement oubliés au fil de l'histoire. On est plus dans un récit de développement personnel sûr-appuyé que dans un livre. le personnage d'Edouard est peu crédible. Il est à mes yeux écrit par une femme qui n'a pas su se mettre dans la peau d'une homme.
Tout est téléphoné et stéréotypé.
Même l'hymne à la nature n'est pas crédible et est sur appuyé
Que dire. Passez votre chemin.
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Quel ennui!
Pourtant cela avait bien commencé.
Mais après c'est tellement plat et intéressant.
Bref, je suis déçue.
Je m'attendais à autre chose, un livre plus vivant, avec du suspense et aucune envie de stopper la lecture... Ici je devais me forcer à le lire... Mais j'ai abandonné.
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L'histoire est lente et ennuyeuse. L'auteure aurait pu s'abstenir de mentionner le passage où Édouard renifle la culotte d'une jeune femme de 20 ans alors que cela pourrait être sa fille.
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Ca démarre pourtant pas trop mal mais ensuite...Ca n'en finit jamais, un style imagé, un personnage masculin sans envergure, ininteressant de lâcheté, bref... un fils évidemment doué d'uhe vie intérieure intense, des nanas paumées, Sans aucun bouleversement.
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Un livre assez moyen sur tous les plans, introspection semi approfondie, suspense créé assez artificiellement, potentiel dramatique peu exploité pour bien coller au genre feel good. Sans oublier l'ami psy histoire qu'on comprenne personnage principal comme l'auteure le veut. Les éléments plus symboliques finissent tôt ou tard par être expliqués. Dans la forêt mythique de broceliande ne subsiste à la fin plus grand mystère
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