Les chroniques de Narnia, tome 5 : L'odyssée du passeur d'Aurore

Je suis arrivé jusque là je ne sais trop comment. Après quatre tomes insupportables, je crois qu'il est temps de m'arrêter après celui là. Je ne sais pas si je continuerai, d'autant plus que la suite n'augure que le pire vu la fin de ce cinquième tome. C'est sans doutes la pure saga que j'ai jamais lue.

Qu'est-ce que j'ai été heureuse d'arriver à la fin de ce volume et dire qu'il en reste deux.

Il n'y a pas grand chose dedans, c'est presque Lucy, Edmund, Eustache et le Prince Caspian font du bateau.

Est-ce que j'aurai apprécié le livre si je n'avais pas vu le film ? Est-ce que j'aurai été moins déçue? Je ne saurai pas le dire. En tout cas, c'est le premier film qui ne suit pas le livre, des passages ont été inventé pour le film et c'est bien dommage. D'un autre côté, il se passe tellement peu de choses qu'on peut comprendre que le scénariste a voulu mettre un peu de piquant.

J'ai été captivée durant dix pages, sur un livre de 260 c'est très peu.

La seule chose que je peux dire que j'ai appris et réalisé, c'est qu'en réalité Aslan ce n'est qu'une métaphore pour parler de Dieu. Et si on réfléchit un peu, c'est bien lui qui a crée le monde de Narnia dans le premier livre. Il vient en aide à ceux qui font appel à eux. Peut-être qu'en réalité, le monde de Narnia c'est une façon de faire croire en Dieu aux enfants