Comme cela au debotté, je ne trouve pas de mots pour caractériser ce roman. Peut être sulfureux malsain ou encore ennuyeux confus et boursouflé.
Simon Liberati à sûrement voulu décrire une époque ( 1967 ) par le bout de la lorgnette jet set - art - sexe - partouze- drogue et dépravation.
Il noit son roman dans un nombre incalculable de personnes ( pas des personnages ) allant de
Truman Capote à
Brigitte Bardot en passant par
Aragon, Andy Wharol, Mauriac , le cardinal Danielou ou encore
André Malraux, Emmanuelle !
C'est vain et sans intérêt. Ces personnages de fiction se débattent dans ce cloaque et n'ont aucune
consistance et globalement ce qui leur arrive nous laissent de marbre.
C'est un élitisme de bas étage qui s
e vautre dans la drogue, la dépravation et la pédophilie en Thaïlande.
C'est totalement navrant et le terme est faible.