Les chiens de Détroit

Tout démarrer pourtant bien : le titre du livre, la couverture, les personnages, l'histoire, l'intrigue, la légende sur le géant des brumes… Et puis tout est parti en vrille… récit surréaliste… Répétition des actions… Personnages à multiple facette : héros ou antihéros… La fin ne m'a fait ni chaud ni froid. J'étais contente d'avoir enfin fini cet ouvrage…
Premier roman que je lis de Jérôme Loubry… Peut-être que je renouvellerais cet exploit.

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...

Je sais reconnaître de la broderie quand j'en vois ! du moins là quand j'en lis ! Je me suis même dit à un moment, quelle purge !
Ça pourrait être bien, si ça ne se répétait pas autant, ah bah si t'as pas encore compris le problème de Sarah hein !!! C'est que t'es bête ! (j'veux pas spoiler)
Et les descriptions inutiles de romans à l'eau de rose, épuisant, et il pleut ! Sous toutes les formes !
Après, c'est un fait divers qui sort de l'ordinaire,mais j'en avais tellement marre par moment, des italiques, et des gnans gnans, que j'ai eu du mal à apprécier ce livre, Stan et encore moins Sarah...

🤔 Les chiens de Détroit - Jérôme Loubry 🤔

Quatrième de couverture :
Mars 2013, à Détroit. Cette ville qui a été la gloire de l'Amérique n'est plus qu'une ruine déserte, un cimetière de buildings. Une nuit, la jeune inspectrice Sarah Berkhamp mène le groupe d'intervention qui encercle une maison et donne l'assaut. Mais aucun recours à la violence n'est nécessaire : le suspect attend, assis à l'intérieur. Il a enlevé cinq enfants. Et il est sans doute le Géant de brume, le tueur insaisissable qui a laissé derrière lui sept petits corps, il y a quinze ans. Alors pourquoi supplie-t-il Sarah : « Aidez-moi... » ?

Mon retour sera bref, je n'ai pas réussi à entrer dans ce livre. Je n'ai accroché ni avec les personnages ni avec l'enquête ni avec l'écriture. Je me suis ennuyée jusqu'aux trente dernières pages. Mais j'ai appris que l'on pouvait décrire la pluie de bien des manières...

Après le gros coup de coeur #lesrefuges, j'avais hâte de découvrir le premier roman de l'auteur.
J'y ai cru mais je n'ai pas été happée par l'intrigue pourtant prometteuse.
Je me suis demandé qui était ce géant des brumes terrifiant parents et enfants mais... 🏚
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Du déjà vu avec ce duo improbable d'enquêteurs :
Lui, flic alcoolo et violent tourmenté par son échec.
Elle, partenaire psychologiquement fragile.
Je n'ai pas eu d'empathie pour ces personnages.
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Le rythme est inégal dans ce thriller pas très original (rapts d'enfants, tueur en série)
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Je me suis un peu ennuyée dans ces va et vient incessants entre passé et présent.
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L'incompétence lors de la première enquête m'a troublée.
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La fin est un peu trop rapide.
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Points positifs :
Le climat est anxiogène. Détroit est un décor de désolation (crise des subprimes).
La plume est fluide.
Et son dernier roman montre tout le potentiel de cet auteur que je ne manquerai pas de suivre.

Deuxième jour de lecture, page 82, je n'en peux plus. Même si le pitch m'a permis de tenir jusque là, le style est vraiment trop lourd. Les métaphores bien typiques de nombreux jeunes et moins jeunes auteurs français frisent le ridicule. Et donc, page 82, je cite : "Le kevlar de sa force mentale ne la protégea nullement. le sang avait coulé à travers ses yeux durant de longues nuits." Alors je fonce vers le dernier chapitre et l'épilogue pour m'apercevoir que je n'ai pas loupé grand chose. Je ne supporte plus de lire cette prose du niveau du brevet des collèges.

Le titre et la couverture étaient attirants mais en lisant le résumé je me suis dit que ce n'était pas sensationnel et il s'est avéré que ma lecture ne l'a pas été non plus.

Je ne me suis pas attachée aux personnages, c'est peut-être en partie la raison pour laquelle je ne suis pas emportée. L'intrigue s'essouffle rapidement, la fin est bizarre. On laisse repartir un criminel dans la nature, c'est normal...

En conclusion je ne suis donc pas emballée, je venais de lire un très bon thriller avec Franck Thilliez, peut-être qu'inconsciemment j'ai comparé et que je n'ai pas trouvé celui-ci à la hauteur.

Je ne sais pas si je voudrai redécouvrir cet auteur par la suite, mais son second roman "Le douzième chapitre" ne m'attire pas vraiment.

Je me suis fourvoyée en croyant lire un premier roman. C'était bien un premier roman mais ressorti de la pile après plusieurs publications à succès. Pour dire vrai, j'ai raccroché après peu de pages, l'inspecteur violent, sa collègue qui entend des voix et des meurtres d'enfant à la pelle. Pas pour moi, désolée. Les acquisitions de la bibliothèque ne sont pas toujours au top.
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En terminant la lecture de ce roman, je me suis dit que finalement le personnage principal en était la ville de Détroit. Cette ville qui a été longtemps le fleuron de l'industrie automobile aux Etats-Unis, désormais moribonde, avec ses habitants enterrés par la crise des sub-primes. Tout cela donne le ton ... ambiance lourde, pesante ...
Pour le reste ... des meurtres, des disparitions d'enfants, un mystérieux Géant de brume qui hante la ville et la vie des deux enquêteurs, Stan Mitchell et Sara Berkhamp... Tous deux sont des personnages meurtris par leurs vécus, déprimés par leur incapacité à dépasser leurs blessures. Mais n'est-ce pas un peu banal, ces personnages de flics hagards, alcooliques, borderline ? N'y-a-t'il pas moyen de tisser une bonne enquête avec des personnages différents ? A croire qu'il n'y a que des déséquilibrés ou des personnes ayant raté leur vie privée chez les enquêteurs (on n'est pas au pays des bisounours dans la police... mais quand même !).
Je n'ai pas apprécié non plus le style d'écriture... souvent hâché, avec des transitions malvenues, sans finesse.
J'ai mis deux étoiles pour la conclusion de l'enquête et le personnage du Géant de brume, beaucoup plus dans la subtilité et l'originalité que je ne l'avais pensé au début.

Ce qui m'a donné envie de découvrir ce polar, c'est Détroit. C'est une ville qui me fascine, sans doute un peu grâce à Eminem mais aussi parce que peu de villes ont comme elle été des symboles de réussite pour devenir l'antonyme du rêve américain et pour finir par rebondir à nouveau. Difficile de savoir ce que cette ville deviendra dans quelques années. J'avais donc envie de me plonger dans les bas-fonds de cette ville et il y avait matière à m'enthousiasmer. Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Je me suis vite ennuyée, il faut dire que le thème des kidnappings d'enfants me plait rarement parce que j'ai souvent l'impression de relire la même chose, à de rares exceptions près. Les enquêteurs et leurs fantômes bien cachés dans les placards finissent aussi par me lasser, je crois. J'attends donc un vrai beau roman/ polar mettant en scène cette ville qui le mérite amplement et qui méritait davantage que cette page 34 qui semble résumer à la va-vite son histoire. J'en ai aussi ras le bol de ces polars plein de testostérone dans lesquels les hommes se font justice eux-mêmes. J'ai été très étonnée par une phrase. Lors d'une relation sexuelle, une femme dit: "Je viens aussi". Si ce roman avait été écrit par un américain, j'aurais râlé contre cette grosse erreur de traduction ("come" a un sens sexuel qu'on apprend très vite quand on est assistante en Angleterre, il suffit de dire une fois "I'm coming" à une classe pour comprendre, aux sourires sur les visages des garçons, qu'on va désormais éviter cette phrase en cours) mais l'auteur est français et manifestement, la phrase ne peut se comprendre dans le sens propre du verbe venir. Quant à la plume, je vous laisse juge:
Sa chevelure rousse ondoya comme les flammes d'un brasier incertain.