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4,18

sur 86 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voilà un roman bien étrange qui au départ m'a laissée sceptique pour au final me retrouver pleinement séduite par cette histoire terriblement émouvante.

Lu quasiment d'une traite, ce roman raconte l'histoire de Maya, dix-sept ans qui en fuyant un passé sombre emménage dans un petit appartement seule à Fecamp.
Là-bas, elle constate très vite que ses voisins ont des soucis. Quatre enfants victimes de la cruauté de leur beau père.
Maya va très vite prendre son rôle de mère Teresa très à coeur.

C'est vraiment une très belle histoire. Je lui aurai bien accordé cinq étoiles mais la panoplie d'invraisemblances au début gênent un peu ma générosité. S'occuper de quatre enfants à dix sept ans, mon sens des responsabilités et la réalité du coût de la vie en ont pris un coup. N'empêche que j'ai tout de même aimé cette histoire qui monte crescendo dans un sérieux beaucoup plus terre à terre. Il y est question ici de violences familiales, d'inceste, de viols, de chiffres alarmants sur ce nombre de femmes et d'enfants en proie à des tortionnaires dans un silence et une indifférence effarants.

Malgré un côté au départ un peu naïf, c'est un roman très juste qui véhicule des valeurs, des messages d'espoir et de la bienveillance. le tout sur un ton équilibré et jamais larmoyant.
Une belle découverte que ce premier roman.
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Je remercie XO Editions pour la mise à disposition du roman Que Dieu lui pardonne de Laurent Malot sur net galley.
Maya a dix-sept ans. Lorsqu'elle décide d'échapper à la violence de son père, elle trouve refuge à Fécamp, au pied des falaises. Elle se reconstruit et peut enfin se rêver un avenir : elle sera architecte.
Mais dans l'appartement mitoyen du sien, quatre enfants, de six à douze ans, sont la proie d'un homme tyrannique. Son combat, désormais, n'est plus seulement de sauver son âme, mais de les protéger.
Jamais elle n'aurait imaginé que les choses se passeraient ainsi. Elle va agir avec son coeur. Sans réfléchir. Que Dieu lui pardonne. Comme il pardonne aux lâches. Aux misérables...
Que Dieu lui pardonne est une histoire poignante, que j'ai parfois eu du mal à lire car adolescente j'ai subit la maltraitance de mon père. Pas comme Maya, mais comme ses voisins, qui vivent dans l'appartement mitoyen du sien. Maya, elle, a été abusé par son père, le mien se contentait des insultes et des coups.
J'ai lu ce roman totalement par hasard, sans faire attention au départ au thème abordé. Honnêtement, je ne suis pas sure que je l'aurais lu si j'avais prêté attention au résumé. Non pas que je regrette ma lecture, mais j'aimerais bien dormir la nuit ; cette lecture a fait remonter certains mauvais souvenirs...
Que Dieu lui pardonne est un roman intéressant traitant donc de la maltraitance sur les enfants. Il parle aussi de l'inceste, de ce qui en découle et de la difficulté de la victime d'être reconnue comme telle.
Certains passages sont assez réalistes et j'ai apprécié que l'auteur n'en fasse pas trop. Il nous épargne les scènes de viol sur Maya ou les violences qui sont faites aux enfants. Il y a des mots sur les maux, mais que c'est appréciable de ne pas tout décrire. Il n'y en a d'ailleurs pas besoin, dans un livre comme celui-ci l'imagination peut faire le reste (surtout si à un moment ou un autre on a été concerné...).
Certains passages ou éléments m'ont un peu étonnés et parus pas très réalistes. Maya est mineure, non émancipé. Elle approche certes des 18 ans mais elle ne les a pas. Elle vit seule dans un appartement visiblement loué au départ par une de ses tantes. Toutefois, il est étonnant qu'un propriétaire laisse une fille si jeune vivre seule. Elle se débrouille pour faire du travail au noir, notamment dans un hôtel. Là encore, vu les contrôles dans les hôtels c'est difficilement crédible. Et j'ai relevé quelques petits éléments du même genre. C'est un peu dommage.
Ce qui est très réaliste par contre, et qui m'a énormément touché, c'est un passage avec une des voisines de l'immeuble. Elle sait qu'il y a maltraitance sur les quatre enfants, elle le reconnait mais elle ne fait rien ! Elle s'étonne juste que le bruit ai cessé, c'est trop calme dans cet immeuble !!! Ce passage m'a fait bondir et mise en colère, car la dénonciation n'est pas un crime. Si vous entendez des enfants se faire maltraiter il faut en parler, c'est une honte de ne rien faire quand on est sur qu'il y a un problème.
Il y a d'autres passages montrant que la dénonciation, notamment par des professionnels de l'éducation, n'est pas toujours pris en compte...
Il y a de bonnes choses dans ce roman malgré quelques incohérences. Par contre, je déplore un peu que la fin soit proche d'un roman feel-good.
Tant mieux, mais c'est presque trop facile...
Dieu me pardonne est un roman qui ne m'a pas laissé indifférente, et c'est peu dire. le sujet m'a trop touché, du coup j'ai eu du mal à rentrer dans ce roman, j'ai pas mal analysé ma lecture ce qui l'a un peu gâché.
Du coup, mon avis est assez mitigé, c'est pour cela que je ne mets que trois étoiles et demie.
Je le recommande néanmoins car les personnages sont attachants, l'histoire touchante et il peut plaire à de nombreux lecteurs.
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Livre tout sauf facile à lire. Livre dont j'ai tourné les pages très lentement, tant le sujet est éprouvant : la maltraitance, et le fait que trop de personnes ferment les yeux et se bouchent les oreilles face à elle. Les exemples ne manqueront pas dans ce récit, quand les personnes ne se cherchent pas des excuses, pour ne pas avoir agi, le bon vieux "on n'était pas sur" ou "cela ne nous regarde pas".
Pourtant, l'auteur reste toujours sobre et juste dans son récit, sans pathos, sans misérabilisme. La réalité simple, vraie, crue. La douleur d'une jeune fille confrontée à ses propres souffrances, au silence des siens, et qui doit en plus prendre en charge la souffrance d'autrui - parce qu'elle ne sait que trop bien ce que eux, ressentent. Il y a la situation sur le papier. Il y a la vie quotidienne, les détails de chaque jour, les maltraitances qui ne sont pas que physiques. le système judiciaire français ne sort pas grandi de cet ouvrage, tout simplement parce qu'il est montré tel qu'il est. Pour une condamnation "exemplaire", combien d'affaires n'auront jamais d'existence, parce que les victimes n'oseront pas parler, ou parce qu'elles parleront trop tard, parce que personne n'aura voulu les écouter, sauf pour les dissuader d'en parler davantage ou de porter plainte : ce sont elles/eux que l'on accuse d'avoir détruit leur famille, pas ceux qui les ont violenté(e)s.
Une oeuvre rude dont je suis sortie en manquant littéralement d'air.
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Proche de la majorité, Maya est une jeune fille qui rêve de devenir architecte, mais elle fuit avant tout son père qui lui a fait subir des violences sous le silence de sa mère.

Elle trouve refuge à Fécamp, où elle paie son loyer en faisant des petits boulots et avec l'aide financière de sa tante, tout en poursuivant ses études.

Dans l'appartement mitoyen du sien, vivent 4 enfants qui subissent l'abandon d'une mère junkie et la violence d'un beau-père.

Je découvre LAURENT MALOT avec ce court roman où il aborde des thèmes difficiles.

Malgré quelques invraisemblances, je me suis attachée à Maya, Lucien ou encore Léna.

Sans tomber dans le misérabilisme, l'auteur est parvenu à garder une certaine justesse dans son récit.

LAURENT MALOT aborde le thème de la violence faite aux femmes et aux enfants avec sensibilité.

La fin m'a tout de même semblé peu réaliste et un peu trop adoucie à mon goût.
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Maya 17 ans quitte le domicile familial pour s'installer à Fécamp. Elle fuit les horreurs perpétrées par son père. Elle se soustrait à l'approbation silencieuse de sa mère. Elle s'installe alors dans un petit appartement, mais, dans celui qui est mitoyen du sien, elle entend des cris, des coups, des murs qui tremblent. Quatre enfants vivent là, tyrannisés par un beau-père qui a le sang chaud, surtout quand il a bu… Et puis, un jour, Maya décide de ne pas fermer les yeux et de les prendre sous son aile, de faire ce que d'autres n'ont pas fait pour elle : réagir, secourir, protéger.

Laurent Malot aurait pu verser dans le scabreux, l'obscène, l'immoral. Il aurait pu déverser sur des pages et des pages des descriptions d'horreurs. Il aurait pu utiliser une plume très noire et terriblement anxiogène. Plutôt que de s'appesantir sur le passé et ses douleurs, il choisit le chemin de la lumière, de la résilience, de la guérison et des choix qui marquent une vie. Il veut que son héroïne Maya, puisse se regarder dans une glace. Il la veut combative plutôt que résignée, déterminée plutôt qu'apeurée.

Cela n'a peut-être l'air de rien, mais la gamine a 17 ans. Elle a déjà vécu le pire. Elle ne devrait se consacrer qu'à ses études, ses amis, son cours de danse et sa carrière d'architecte à lancer. Elle méritait un peu de paix, le droit de souffler. L'expression américaine « life is a bitch » n'aura jamais été aussi vraie. Comme les autres filles de son âge, Maya réagit avec son coeur d'abord. Elle fait ce qui doit être fait et l'assume. Elle connaît les regards qui se détournent, ceux qui préfèrent ne pas s'en mêler, les aveugles et les sourds….

Le sujet majeur traité ici est la maltraitance envers les enfants dans la sphère familiale. Malgré la thématique révoltante, l'écriture de Laurent Malot m'a apaisée. Comme si rien ne comptait plus que nos propres convictions, comme si faire ce qui est juste est forcément moral. Malgré les actes, on ne peut qu'admirer le courage de Maya, sa force, sa détermination, son altruisme, sa générosité. Elle s'accapare le rôle des services de protection de l'enfance. Elle s'adresse au lecteur censé être d'abord un citoyen et le somme d'ouvrir les yeux, de ne pas se taire, de ne pas dire « ça ne me regarde pas ».

Je ne peux vous révéler le dernier tiers du roman sans crainte de le spoiler, mais il y a une scène qui m'a terriblement marquée, une scène où la révolte et la haine ont surpassé cette forme de cicatrisation précédemment acquise. L'auteur confronte le pardon envers le bourreau et le pardon envers la victime. Cette différence de traitement illumine le roman d'une forme de justice idéalisée qu'on souhaiterait voir devenir réalité. Je voudrais simplement faire un rapprochement avec le titre « Que Dieu lui pardonne »… Cher Laurent, que Dieu lui pardonne rien du tout, que Dieu fasse son boulot et la justice le sien. Je rappelle que le 21 janvier 2021, le Sénat a adopté une proposition de loi pour poser un interdit social clair sur le consentement et la protection des mineurs. L'âge choisi pour criminaliser un acte sexuel entre un adulte et un mineur est de 13 ans. L'âge de la majorité sexuelle étant de 15 ans en France, il est légitime de ressentir un sentiment très net d'affaiblissement de la protection des mineurs. Seule mention positive : le projet a également pour vocation d'allonger le délai de prescription. Ainsi, un mineur qui aurait subi de tels agissements pourra porter plainte plus longtemps après sa majorité.

Dans la nouvelle République du 12 janvier 2021, Laurent Malot déclarait : « C'est indécent, explique-t-il. Même si la résilience permet d'apaiser les choses, les blessures et la douleur restent. La justice n'est pas à la hauteur. Quand on voit, parfois, les peines des auteurs reconnus coupables, de la prison avec sursis pour le viol d'un enfant de deux ans, c'est effarant ! La résilience, elle passe aussi par la justice. Il faut qu'il y ait punition. Pour que les enfants victimes puissent se reconstruire un jour, il faut que le crime soit reconnu. »

En effet, la justice nous semble souvent laxiste, pour ne pas dire injuste. Il reste les romans pour imaginer des peines exemplaires…

Maya restera de ces personnages phares et emblématiques qui illumine le monde de sa flamme et de sa bienveillance, qui se préoccupe des autres avant elle-même. Dans ce roman, Laurent Malot cultive le jardin de la pensée positive, même sous les orages, même dans la tourmente et parfois, ça fait du bien.

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Que Dieu lui pardonne de Laurent Malot est un livre touchant sur un sujet très grave, les violences familiales.
On suit Maya, lycéenne de 17 ans, qui a fuit les violences de son père, avec l'aide de sa tante. Elle va faire la connaissance des enfants du logement mitoyen du sien, qui subissent la violence de leur beau père, et elle va se retrouver mêler à ça.
L'écriture est simple et efficace, les choses dites sans fioriture.
Ce livre est bouleversant mais j'ai trouvé que certains évènements sont peu crédibles par rapport à l'âge des protagonistes et du coup ça m'a dérangé à un moment. Mais la fin est magistrale et du coup ça rattrape ces passages.
Merci à XO pour leur confiance.








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Quelques heures pour dévorer ce dernier roman de l'auteur...
Un plaidoyer touchant pour
les enfants et les femmes victimes de maltraitances.
Une belle histoire émouvante sur un sujet difficile...Maya et ses trois vies....je me suis surprise à devoir essuyer une larme au cours de cette lecture...
Thrillers ou roman la plume de cet auteur me séduit toujours...
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De prime abord, j'ai eu peur que cette histoire soit trop romancée. Comment ne pas se rendre compte qu'une gamine de 17ans s'occupe seule de quatre gosses.  Mais ce qu'il faut voir de ce roman c'est le message d'espoir.  Dans cette histoire on y retrouve aussi les problèmes de la société le silence des gens face à l'inceste a la violence au sein des foyers ainsi que l'absence de juridiction dans les cas de maltraitance et de viol. Laurent Malot nous délivre avec justesse l'amour et la bienveillance qui peut se créer entre des coeurs fêlés, amoché mais aussi la gravité d'un monde qui ferme les yeux. A plusieurs instants les larmes me sont montées.
J'ai tout de même douté de la crédibilité de certains évènements ( je trouve que le quotidien sur une période est très simple et trop facile pour les enfants) mais je pense que le but étant le message. le peu d'action de la société face a la gravité des actes et l'accroissement des violences faites aux enfants et aux femmes qui ne sont pas tous reconnus en tant que victimes.
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Merci à la masse critique Babelio et aux éditions XO pour cet envoi.
Dès les premières lignes l'auteur nous embarque, on découvre une jeune femme qui va essayer de se reconstruire, d'oublier sa vie d'avant. Elle n'est pas encore majeure et va découvrir un nouveau lycée. Maya, va essayer de vivre sa vie d'étudiante, avoir des amis, subvenir à ses besoins... mais elle reste sur le qui-vive.

Et puis elle va faire la connaissance de Lucien Archin, un petit bonhomme qui n'est pas gâté par la vie, il vit avec son beau-père et ses frères et soeurs. Et cet homme, Félix Pigeon est violent impossible pour Maya, la narratrice du récit de ne pas intervenir. Elle connaît la violence, elle a été elle-même victime de son père. Pendant de nombreuses années elle a été violée, par cet homme.
Maya ne va rien lâcher, elle qui voulait fuir son passé va finalement découvrir qu'il n'est jamais loin.
Cette héroïne ne triche pas, elle écoute son coeur quitte à être condamnée, à s'oublier...

J'aime ces lectures qui interpellent et interrogent. Que dieu lui pardonne traite de sujets forts, la maltraitance, les remords et l'amour. Et le silence que certains choisissent... mais à quel prix ?
Avec la lecture de ce roman ,j'ai découvert la plume de Laurent Malot et je compte bien récidiver. J'aime l'orientation qui a été prise pour traiter de ces horreurs. Il a réussi à insérer de l'espoir et de la résilience dans des moments terribles. Et surtout, la justesse des mots, du texte, l'histoire est directe, elle va droit au but.
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Une fois de plus, ma lecture m'a emmenée à la frontière de ma sensibilité et de mes valeurs. Je savais en me lançant dans ce récit sur les violences faites aux enfants que je ne pourrais pas rester indifférente. Ce fut le cas.
Ce livre ne traite pas d'un sujet facile. de prime abord, il nous offre un quotidien bien morne. Ce quotidien, c'est celui de Maya, 17 ans. Malgré son jeune âge, elle vit seule dans un petit studio à Fécamp. Elle a fui la violence de son père et le silence de sa mère. Maya partage sa nouvelle vie entre lycée, baby-sittings et petits boulots en noir. C'est sa façon à elle de joindre les 2 bouts. Elle est également aidée financièrement par une tante.
Un jour, elle rencontre Lucien, son petit voisin âgé de 6 ans et se prend d'affection pour lui. Lucien habite avec son frère et ses 2 soeurs dans l'appartement contigu à celui de Maya. Leur mère est malade et absente. Ils sont confiés aux bons soins de leur dernier beau-père en date, un homme tyrannique et négligent. Maya va prendre sous son aile blessée ces 4 petits oisillons et les protéger jusqu'à ce que l'impensable arrive…
Laurent Malot a donné à son livre sorti chez XO Éditions, le 14 janvier dernier, le titre « Que Dieu lui pardonne ». Ce titre porte plusieurs sens. D'abord, celui du bourreau que l'on va chercher à défendre en lui trouvant une multitude d'excuses (enfance difficile, alcoolisme, drogue, stress, dépression…). Ensuite, celui des témoins silencieux mais néanmoins pas sourds. Ceux qui entendent tout mais se taisent par peur ou par lâcheté. Enfin, celui des victimes parfois poussées à commettre l'irréparable pour survivre ou pour fuir.
Je ne sais si Dieu a quelque chose à voir avec la maltraitance des enfants. Ce que je sais, c'est que malgré tout ce qui est mis en place pour l'éviter à travers nos contrées, elle perdure. Trop souvent encore, les journaux font état de violences familiales. Des enfants, des bébés meurent sous les coups de leurs parents. Des jeunes filles sont violées par un proche. Et nous, nous fermons les yeux et faisons comme si cela n'existait pas.
Le livre de Laurent Malot peut sembler excessif, surfait voir utopique. Nous pouvons aimer son écriture simple ou la décrier. En attendant, l'auteur a le mérite de raconter une histoire qui, qu'on y croit ou pas, est plausible et surtout déroutante. le système d'aide existe mais rien ne nous empêche de l'améliorer et de continuer à ouvrir les yeux, les coeurs et les consciences sur une des zones d'ombre de notre société.
Lien : https://www.instagram.com/li..
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