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Citations sur Bad Romance, tome 1 (78)

Je sais que je l'aime. Parce que le regarder me fait mal, ce qui me rend paradoxalement vivante. Comme des débris de verres qui s'enfonceraient dans ma chair, mes organes..., mon âme. Je l'aime parce que, quand il me touche, j'ai le corps qui explose en un millier de particules. Parce que, lorsque je l'écoute parler, j'oublie de penser. Parce que, quand il est près de moi, j'ai le sentiment que personne ne peut m'atteindre. Parce qu'il suffit que nous soyons dans la même pièce pour que mon univers se résume à lui. Je l'aime et j'étouffe. J'étouffe d'être impuissante à chasser ce qui le hante en cet instant.
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Je ne sais pas pourquoi la bande a voulu passer la soirée dans ce camping pourri.
Ah, si… pour « pêcher ».
Ces crétins étaient tellement déchirés dès l’aube qu’ils n’avaient même pas foutu un putain d’appât sur leur putain d’hameçon !
Un poisson, c’est con, mais pas à ce point-là. 
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- Ma petite femme, dit-il d'une voix plus ferme.
J'approche également la tête.
- Si un jour, y'a une putain de connotation machiste dans ta manière de m'appeler comme ça, ne dors plus que d'un oeil, la nuit.
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Bon, on pourra toujours « le » faire plus tard… comment je peux nommer ça ? Baiser est exclu. J’aime pas l’image que ça renvoie d’elle. On s’envoie en l’air ? Non, ça sonne comme de la baise. Putain… « on fait l’amour » ?
J’ai la nausée. Je regarde Jo, l’œil vitreux du mec à l’agonie.
— T’en fais une tronche, plaisante-t-il.
— Ta gueule, Jo. Je viens de me faire peur tout seul. 
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Depuis que Kate gère le linge, mes vêtements sentent l’assouplissant. Tu parles d’une odeur de voyou : vanille des îles… ça me castre et je trouve ça mignon. Y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond, chez moi.
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En fait....il est vraiment beau.
Cette pensée à surgi dans mon esprit sans que je m'y attende, là, en le dévisageant alors qu'il engloutie le gratin. Dans son débardeur, avec ses tatouages sous lesquels roule chacun de ses muscles dès qu'il effectue même le plus insignifiant des mouvements. Même ses cheveux sombres coupés très courts, limite rasés, accentuent son coté sexy.
Je dois me gifler mentalement pour revenir à moi.
Ne te laisse pas avoir! Il n'y a rien de sexy chez les mauvais garçons de son genre! Ce sont des problèmes sur deux pattes......
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Le vrai bonheur, c'est de ne plus souffrir.
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Je ne respire plus. En deux enjambées, je la rejoins près de la Pontiac, je saisis brutalement son visage des deux mains, et ma bouche fond sur la sienne. C'est si bon. C'est tellement bon, mieux que tout ce que j'avais pu imaginer. Elle entrouvre naturellement les lèvres, j'y glisse ma langue avec empressement, l'enroulant autour de la sienne, qui ne parvient pas à suivre le rythme que je lui impose, ce qui rend notre échange encore plus délicieux. Ce n'est pas romantique, j'en suis conscient, c'est sauvage, brutal. Mais je ne suis qu'un pauvre affamé à qui l'on offre un peu de ce qui va lui redonner vie. Je reviens de loin pour renaître là, sur cette bouche exquise. Elle gémit doucement, les paumes contre mon torse. J'avale le son comme le met le plus savoureux que j'aie jamais eu le bonheur de déguster. Mes mains quittent son visage jusqu'à la soulever de terre par les fesses. Ses jambes s'enroulent autour de ma taille. J'adore les sentir de cette façon, c'est enivrant, bien plus que n'importe quel alcool. Sans m'arrêter de l'embrasser avec toute la passion dont je suis capable, je la porte jusqu'au capot de la voiture et je l'y dépose. Je sens ses doigts se crisper sur ma nuque. Elle doit probablement croire que je vais m'arrêter là. Je souris intérieurement. Un typhon n'arriverait pas à me détourner d'elle cette fois-ci. Mes mains libèrent ses fesses pour remonter vers sa taille. Je veux la toucher. Toucher sa peau, contempler dans ses yeux quel effet ça lui fait.
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Autant être franc, hein. Je ne vais pas te dire que tu ne m'excites pas, alors que c'est faux. Mais ce n'est pas pour ça que je vais me jeter sur toi. T'es pas le genre de meufs que je pourrais juste baiser avant de l'oublier dans l'heure qui suit.
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Il raccroche puis pivote sur lui-même, l'air sérieux :
- Petite Femme ? Tu crois qu'on peut arriver à bouffer en moins d'un quart d'heure ?
« Petite femme » !?
- Pourq...
- Laisse tomber. C'est juste que s'ils voient de la nourriture qui ne provient pas d'un fast-food ils vont nous la jouer nuée de sauterelles affamées dévastant tout sur leur passage. Et ça m'emmerde qu'ils mangent MA nourriture.
Je hausse un sourcil sans pouvoir m'empêcher de sourire.
- TA nourriture ?
Chris me lance un regarde agacé.
- Ouais. C'est pour moi que t'as cuisiné, pas pour leurs satanés estomacs.
Là, j'éclate vraiment de rire.
- On peut toujours essayer ! Je propose, entre deux hoquets.
Il me lance aussitôt un moue carnassière, et nous nous précipitons comme un seul homme dans la cuisine.
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