Il lui a donné une définition de l'enfer. C'était comment déjà ? un endroit où les Anglais sont chargés de la cuisine, les Français de la politique et les Suédois des programmes de divertissement à la télé.
Mais même les journées compliquées ont une fin .
Les ombres diffuses de son enfance sont contradictoires, on ne peut pas remonter le temps et espérer retrouver ce qu'on a perdu.
A bientôt quarante ans, elle a enfin compris que la vie est un effort sans fin.
Nous constituons une infime partie d'un grand Tout incompréhensible...
La vie est un effort sans fin.
Il doit constamment se défendre contre la vie, contre ses souvenirs gênants et flous, contre la mélancolie qui vient souvent le surprendre à pas feutrés au moment où il s'y attend le moins. Contre la peur. Se protéger, voilà ce qui semble être la principale préoccupation de la vie.
Les pleurs, ça a un goût amer parce que c’est vrai.
La meilleure cachette d’un évadé se trouve dans son sommeil.
On ne change pas comme ça quelqu’un qui a passé la plus grande partie de sa vie sur les routes.