AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,66

sur 385 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Jacques Soulniz embarque sa fille Rebecca dans un périple autour de l'Islande. L'objectif est de renouer le contact avec elle et de revivre un bout de sa jeunesse. Mais dès l'arrivée, les incidents se multiplient : mots anonymes sur le pare-brise de leur voiture, homme étrange dans leur sillage, filature par une voiture rouge... jusqu'à la disparition de Rebecca. Aidé par Kornélius, un flic que ses problèmes d'argent ont transformé en marionnette entre les mains de la mafia locale, Soulniz mettra tout en oeuvre pour sauver sa fille, jusqu'au final dans la petite île de Heimaey, là où tout avait commencé quarante ans plus tôt.

Trois intrigues se croisent dans ce roman : l'enquête de la police à la recherche d'un maniaque qui tue pour récupérer la peau de ses victimes et s'en faire un habit, celle de la pègre pour récupérer deux kilos de drogue disparus lors d'un transit, et enfin celle de Soulniz pour retrouver sa fille disparue. Suffisant pour donner un bon suspens, mais un peu trop peut-être pour qui sait qu'en Islande les crimes sont particulièrement rares... Au final, on se dit que tout cela était quand même assez prévisible.

Les personnages sont bien trempés, font preuve de caractère, rarement tout blanc ou tout noir (à l'exception des mafieux locaux). On reconnaît bien là la patte de l'auteur de Yeruldelgger.

Mais ce qui retient le plus l'attention, c'est la balade islandaise ; presque un guide touristique ! C'est un peu pour cela que j'avais choisi de lire ce livre, avant quelques semaines de vacances dans cette île. Et je n'ai pas été déçu. Petit regret peut-être : la culture islandaise est assez peu abordée, et sous un angle trop caricatural.

Coté écriture, on a quelque chose entre la lenteur et l'emphase des Yeruldelgger, et le rythme haletant de Hunter (du même auteur sous un autre pseudo). Les chapitres plutôt courts donnent un tempo élevé que viennent ralentir les descriptions des sites touristiques ou les états d'âme des protagonistes.

Ce n'est certainement pas le meilleur Manook que j'ai lu, mais le coté "road movie" du livre est intéressant et me semble assez caractéristique de la personnalité de l'auteur (pour ce que j'en sais).
Lien : http://michelgiraud.fr/2019/..
Commenter  J’apprécie          460
Avant la lecture de ce livre, l'envie était là : une enquête policière en Islande, écrite par Ian Manook, c'était la garantie d'un grand dépaysement, avec coutumes et tradition, et la présence de personnages forts… Effectivement, il y a tout cela dans Heimaey.

Jacques Soulniz a vécu en 1973 avec ses compagnons de voyage un road-trip immémorable en Islande, qui s'était achevé sur l'île de Heimaey, lors de l'éruption du volcan Helgafell.
Les années sont passées, Soulniz s'est rangé, sa femme est décédée, il reste seul avec sa fille Rebecca, ado devenue adulte avec qui le contact est difficile. Il imagine se replonger avec elle dans les grandes étapes de ce voyage. Les voilà tous deux en Islande. Et d'emblée, de curieux incidents entourent leur périple. Comme si quelqu'un en voulait à Soulniz. Rancoeur, malveillance ou vengeance ? Et pour quel motif ?
Dans le même temps, Kornélius Jakobsson, flic à Reykjaviks, accessoirement souleveur de fonte et chanteur de krummavisur, fait face à un maffieux lituanien à qui il doit pas mal de fric. Ce grand gars costaud doit prendre sur lui, et affronter sa conscience, pour suivre les ordres d'un nabot balte hyper violent. Il doit retrouver deux kilos de cocaïne, volés à l'organisation. Une quête qui va le voir croiser la route de Soulniz.

Tout cela démarre fort bien. le voyage touristique entre bassins d'eaux chaudes, cascades et paysages de lave figée, est plaisant, et le personnage de Kornélius est un Yeruldelgger au pays des volcans.

Pourtant à force de multiplier les scènes exagérées, et de faire durer son jeu de chat et de la souris d'étapes en étapes, Ian Manook devient fatiguant. le livre se fait long et prévisible. le lecteur devine où on veut le mener (… à toute petite vitesse). Soulniz et Jakobsson ne font que des mauvais choix, ratent leur cible, se trompent de coupable. Leur périple devient une traînée de sang. Manook fait dans la facilité à grand coup de dialogues djeuns.
Au bout d'un moment, le énième champ de lave devient la visite de trop, la nouvelle bévue de Jacobson irrite et les pages défilent moins vite.
Ian Manook a scrupuleusement repris tous les ingrédients qui avaient fait le succès des Yeruldelgger, mais à dose renforcée et dans une version développée sur la longueur. le même livre aurait gagné beaucoup à être « élagué » en en gardant la trame, les principales étapes pour le côté « touristique », et en abandonnant des personnages mineurs qui apparaissent pour mieux finir dans un glacier ou précipités dans un lac de volcan.
Une demi déception.
Commenter  J’apprécie          210
Heimaey est le nom d'une petite île (13,4 km², 4000 habitants) située au sud de l'Islande, où se déroule la scène finale d'un thriller.

C'est le premier épisode d'une nouvelle série qui met en scène un policier atypique, Kornelius Jakobsson, un colosse plein de gentillesse qui chante dans une chorale de femmes une mélopée destinée principalement à des corbeaux.

En lisant le dernier ouvrage publié par l'auteur, je n'avais pas capté qu'il s'agissait du troisième épisode d'une série. J'ai donc décidé de revenir à sa source.

Je suis partagée : si vous avez l'intention de visiter l'Irlande, vous pouvez – ou pas – outre un sérieux guide touristique, vous munir de ce roman. Vous y trouverez les beautés époustouflantes de l'île décrites avec le talent évident d'un amoureux de la nature, ses mythes et ses traditions y compris culinaires, et aussi ses milliers de tremblements de terre, éruptions volcaniques, déserts de cendres, falaises de glace qui s'écroulent dans la mer déchaînée … et ses oiseaux de mer rancuniers et agressifs.

L'histoire est foisonnante. Elle commence avec un Français proche de la soixantaine, qui se souvient d'un séjour de jeunesse endeuillé par une mort violente, et qui souhaite revenir avec sa fille, post-ado un peu déjantée, dont il s'est éloigné. Il imagine que ce voyage longuement planifié, va leur permettre de se retrouver … Mais tout se ligue pour faire de leur séjour un enfer.

Sur cette île magnifique et terrifiante, les intrigues s'entremêlent. Trafic de drogue, mafia lituanienne, vengeance réactivée après plus de quarante ans, persécution anonyme, danger des réseaux sociaux, traditions sanglantes … On s'y perd un peu, il faudrait prendre des notes.

On finit par imaginer le Français comme un peu l'alter ego psychologique de l'auteur et le flic, taciturne et – c'est la loi du genre – souvent en dehors des clous de la procédure, qui finit naturellement par dénouer tous les fils de cette trame embrouillée, tour à tour glaçante et explosive.
Lien : http://bigmammy.canalblog.co..
Commenter  J’apprécie          74
Après l'extraordinaire trilogie mongole des « Yeruldellger », Ian Manook se lance cette fois-ci à l'assaut des fjords, lagunes, icebergs et volcans islandais.
Malheureusement, on a du mal à retrouver la verve et la puissance des aventures mongoles. le road trip de Soulniz et de son ado (tête à claque) de fille Beckie (aidés de Kornélius, le flic géant local en perdition) patine un peu. Comme leur 4x4 sur les pistes boueuses de l'île. Il faut dire que la vengeance (très) ancienne (40 ans, rien que ça !) à laquelle doit faire face Soulniz est totalement rocambolesque (et, il faut bien le dire, parfois à la limite de l'incohérence).
Reste donc un polar touristique à lire comme un guide (on peut suivre la progression des héros sur la carte de l'île), agrémenté de descriptions lunaires de paysages et de légendes, ainsi que de considérations sociologiques bien senties sur la vie en Islande après la grave crise de 2008.
Mais l'intrigue n'arrive pas à se hisser au niveau du guide et du documentaire, empêchant de nous faire oublier les vastes steppes mongoles et les bas-fonds d'Oulan-Bator. Il faut dire que la barre était tellement haute…
Commenter  J’apprécie          60
Décidément, je suis mitigée avec Ian Manook… un coup j'adore, un coup un peu moins… Là avec un thriller qui se déroule en Islande, j'étais très impatiente et enthousiaste à l'idée de mettre mes pas dans ceux de Ian Manook… D'autant que la lecture de "Hunter" par le même auteur, mais sous le pseudonyme de Roy Braverman, m'avais complètement scotchée et j'avais adoré ! Je partais donc confiante en Islande avec Jacques Soulniz qui revenait avec sa fille en Islande 40 ans après un premier voyage inoubliable pour lui… à tous niveaux, on le découvrira au fil des pages. Ce n'est pas le grand amour entre le père et sa fille, ce voyage est pour eux une tentative de reprise de contact après un éloignement de plusieurs années, suite au suicide de la femme de Jacques Soulniz, la maman de Beckie. Les retrouvailles ne sont pas simples, plutôt tendues voire houleuses par moment. Cependant, Beckie tombe sous le charme de ce pays très particulier et son père est heureux de lui faire découvrir un pays qu'il aime visiblement beaucoup. Tout cela bien sûr se complique avec des petits actes malveillants qui leur pourrissent leur voyage et qui au fil du temps, s'aggravent. Qui en veut à Jacques Soulniz et sa fille ? En parallèle, Kornélieus Jakobsson, un flic islandais, chanteur à ses heures, dans une chorale de chants folkloriques, enquête sur différents crimes assez atypiques comme un homme ébouillanté dans une solfatare bien fumeuse à qui on a taillé un pantalon de peau, un nécropant… ça ne rigole pas en Islande… Il cherche également à récupérer deux kilos de cocaïne, vous verrez pourquoi en lisant le livre. Les chemins de Kornélius et de Soulniz finissent par se croiser et l'aventure devient en partie commune.
L'intrigue est dense et fournie, il vous faudra lire "Heimaey" pour en savoir plus… Ce livre est une vraie invitation découverte de l'Islande, pays ô combien particulier, différent, brut, magnifique et dangereux. Des images naissent de l'écrit de Ian Manook, mais j'aurais aimé avoir un livre de photos sur l'Islande à ma portée durant ma lecture. Globalement, j'ai bien aimé ce thriller, mais ce n'est pas un vrai coup de foudre, car au milieu du livre, j'ai trouvé que l'intrigue fléchissait un peu, et pour tout dire, je m'ennuyais un peu. Je vous rassure, on termine le thriller sur les chapeaux de roues ! J'ai beaucoup aimé le personnage du flic troll Kornélius. Il est absolument délicieux et attachant. Par contre, j'ai trouvé Jacques Soulniz assez insupportable, toujours énervé, en colère, violent et sa fille Beckie, guère plus sympathique. Finalement, ce sont les personnages islandais que j'ai préférés. Ida et Botty sont deux femmes également fort intéressantes et attachantes.
A lire ne serait-ce que pour la découverte de l'Islande et pour le troll islandais, Kornélius.

Lien : https://mapassionleslivres.w..
Commenter  J’apprécie          62
si on retrouve ici les ingrédients habituels du polar ( un héros avec un passé traumatique, en conflit avec sa fille, des trafiquants, des meurtres gores, un enquêteur style grosse brute sensible qui se la joue perso...), le récit est ici surtout un prétexte pour une visite guidée de l'Islande. L'auteur est visiblement fasciné par ce pays. On le comprend, mais à force de nous promener sur tous les sites remarquables, l'intrigue y perd en efficacité et en cohérence.
Le personnage principal organise un tour d'Islande avec sa fille adolescente Beckie qui lui en veut depuis le suicide de sa mère. Nous découvrirons que quarante ans plus tôt, cet homme est venu sur les mêmes lieux et a perdu accidentellement celle qu'il aimait. Depuis l'aéroport d'arrivée, il remarque qu'on le suit... on comprend rapidement qu'il s'agit d'une vengeance. Beckie est enlevée et risque sa vie. Pendant ce temps, le père fait du tourisme et le flic sensé l'aider a le temps d'aller chanter dans sa chorale, de coucher et de prendre des bains chauds... sans signaler l'enquête à aucun moment à sa hiérarchie.
Après une sérieuse perte d'intérêt dans le dernier tiers, j'ai trouvé la fin plutôt réussie.
A lire pour préparer un voyage en Islande puisque tous les sites à visiter y sont présentés...
Commenter  J’apprécie          40
Je ressors mitigée de cette lecture. Un coup de coeur pour la description de l'Islande, car ce roman policier est aussi un guide touristique pour découvrir ce pays de lave qui change sans cesse d'apparence, c'est fascinant. Et c'est à travers le voyage de Soulnik qui revient dans ce pays après 40 ans pour le faire découvrir à sa fille Rebecca avec laquelle il est en froid depuis le suicide de sa mère. Lui montrer un pays qu'il a tant aimé quand il était jeune est pour lui, un moyen d'essayer de renouer avec sa fille. Mais dès le départ, il trouve des mots sur son parebrise et est suivi. Alors, ce qui m'a beaucoup gêné c'est qu'il ne se pose pas plus de question que cela sur tout ça. Il est inquiet, certes, mais si ma fille avait trouvé un oiseau mort dans son lit, j'aurais repris le premier avion pour la France. Donc, je n'ai pas vraiment adhérer à leur histoire. En revanche, celle de Kornélius, flic qui a subi comme beaucoup la dépression islandaise, laissant la majeur partie de la population, endettée, Kornélius, grand, fort, mais attachant car pas dans la norme, intelligent, couchant à droite à gauche et fasciné toujours par son pays. C'est lui la figure intéressante du livre, ainsi que la jeune fliquette Botty. C'est pour eux et pour les paysages islandais que je vais lire le deuxième tome en espérant être plus captivée par l'intrigue.
Commenter  J’apprécie          30
Après avoir exploré la Mongolie et le mélange entre traditions et modernité dans ces précédents romans, Ian Manook part en Islande, terre où soufflent le chaud - des volcans, de la lave et des solfatars - et le froid des glaciers et des vents. Une terre où l'on croit au petit peuple et aux vieilles légendes, où l'on parle aux corbeaux ; et où vit Kornelius, un troll de plus d'un mètre quatre-vingt et cent vingt kilos, flic. C'est en Islande que Soulniz embarque sa fille adolescente, Beckie, sur les traces d'un voyage qu'il a réalisé il y a vingt ans. Il espère de se rapprocher de sa fille qu'il retrouve après trois ans de fugue. Mais un méchant plaisantin le précède sur son parcours et lui joue des tours. Mais un jeune islandais drague sa fille, alors qu'il a dérobé deux kilos de cocaïne à la mafia lituanienne.
On retrouve les figures de père d'adolescente rebelle (un thème suffisamment récurrent pour s'inspirer du vécu de l'auteur ?) ; l'exotisme de lieux différents ; l'amour des paysages forts ; l'ancrage dans la société moderne : la crise financière est passée par là et non les Islandais ne s'en sont pas si bien remis que ça ; des situations explosives ; une tension qui monte crescendo. Bref, un bon thriller.
Commenter  J’apprécie          30
J'ai commencé cette lecture "Heimaey" de Ian Manook avec beaucoup d'espoir, ayant lu et adoré sa série sur la Mongolie et également Hunter que j'ai beaucoup apprécié.
Les 100 premières pages ont été laborieuses et j'ai hésité à arrêter cette lecture, je ne rentrais pas dans l'histoire à plusieurs entrées, les personnages ne m'intéressaient pas du tout et je ne voyais pas où cette histoire allait nous mener.
J'ai tenté 50 pages de + et finalement je suis allée au bout mais au final l'enquête n'est pas prenante du tout, les personnages, trop nombreux, ne m'ont pas intéressé, certains sont vraiment trop farfelus et font perdre de l'intérêt aux chapitres. Certaines scènes sont peu crédibles et trop d'actions font perdre de l'intérêt au roman. Entre la drogue volée, le harcèlement que subissent le père et la fille, la flic ripou, l'enlèvement de la fille, l'intervention des différents protagonistes de ce qui s'est passé lors du précédent voyage en 73, ça fait trop et ça emmèle l'histoire.....
Le vrai intérêt du livre est le "voyage" en Islande, les descriptions des lieux, des paysages mais ça n'a pas suffit pour rattraper le reste......
Commenter  J’apprécie          30
Jacques Soulniz part en voyage avec son ado de fille, Rebecca, dans l'espoir de se rapprocher d'elle. La mère de la gamine s'est suicidée il y a des années, Becky a fugué etc. Les voilà partis pour un tour de l'Islande en bonne et due forme. Mais tout dérape rapidement. Becky s'avère une gamine très effrontée qui fait les 400 coups. Elle s'entiche d'un jeune garçon qui travaille au Blue Lagon. S'enticher, c'est pas vraiment le mot, d'ailleurs. le jeune homme se dit que c'est une bien belle aubaine de voir une fille si peu farouche. Pendant ce temps, Soulniz voir rouge. Soulniz s'inquiète, tant pour sa fille  dont il découvre la personnalité finalement, que par les mystérieux mots déposés sur le pare-brise de leur voiture de location, que du macareux morts retrouvé dans le lit de Becky. Une personne s'acharne visiblement à leur pourrir le séjour. Un homme mort est "repêché" d'une solfatare. Kornélius, policier de son état mène l'enquête. Il croisera la route de Soulniz, qui lui-même cherche à savoir qui s'amuse à ces farces de mauvais goût. Soulniz connaît déjà l'Islande où il est venu pour un séjour mémorable quarante ans auparavant. On découvre peu à peu ce qui est survenu alors, sur l'île d'Heimaey lors de l'éruption de l'Eldefell.

J'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, qui à mon goût, manquent de profondeur. Un flic un peu ripou, une ado révoltée qui disparaît, une histoire d'amour et de jalousie. Des lituaniens trafiquants de drogue. Plusieurs fils dans cette histoire qui finit par être assez entortillée et un peu fouillis. Je ne peux pas dire que le livre m'a déplu, mais j'y ai trouvé malgré tout des longueurs, des digressions inutiles (commande éditeur ?). le volume aurait pu être réduit à la moitié du nombre de pages. On finit par y perdre le suspense.

Ensuite, si vous ne connaissez pas l'Islande, vous y ferez tous les spots touristiques. J'ai revécu mon voyage grâce à ce livre. Il y est aussi question du folklore islandais, un peu. Nécropant et runes magiques.

Globalement, le polar m'a laissée indifférente. On est bien loin du roman noir social d'Arnaldur Indridason ou d'Arni Thorarinsson.
Lien : http://milleetunelecturesdem..
Commenter  J’apprécie          20




Lecteurs (877) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2878 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}