Charles-André MarchandPègre Qc tome 1 sur 1
Vues et Voix (Autre)
Vues et Voix (Autre)
EAN : 978B08P5G7S28
Vues et Voix (30/11/-1)
/5
1 notes
Vues et Voix (30/11/-1)
Résumé :
Montréal a toujours été l’une des villes les plus tolérantes en Amérique du Nord. Ce n’est pas étonnant qu’elle se soit rapidement imposée, dès le XIXe siècle, comme une plaque tournante pour le trafic de drogues et la contrebande d’alcool dans les provinces ou les États américains ayant décrété la prohibition. Dès lors le Red Light et les salons de paris illégaux sont devenus de véritables attraits touristiques qui incitaient les autorités politiques et policières ... >Voir plus
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Critiques, Analyses et Avis (1)
Ajouter une critique
Il y a des mois j'avais fait la critique du livre le parloir sur les motards de Félix Séguin qui m'avait grandement déçu. Cette fois-ci, je n'avais pas vraiment d'attente étant donné que je l'avais acheté de seconde main. Quelle ne fut pas ma surprise, le livre est bien écrit et fort intéressant. On voit que le journaliste Charles-André Marchand à fait ses devoirs. On nous explique aussi la mentalité de l'époque, et combien vaut ces montant aujourd'hui afin que nous ayons une meilleure idée de leur fortune. On comprend comme les Kennedy, les Bronfman on fait leur fortune. Les stratégies de l'époque pour les policiers et juges corrompus. Comment tout ce beau on quand même pu aidé les artistes, les immigrants en ce faisant beaucoup d'argent mais aussi comment la loi était moins importante ici au Canada. Étant donné que j'ai pris le volume 2, je vais tenté de trouvé le volume 1 car j'ai adoré ma lecture, à lire absolument !
Citations et extraits (5)
Ajouter une citation
Les failles dans les lois canadiennes ont assurément favorisé les bootleggers d'un peu partout au pays et certains, dont Rocco Perri en Ontario, se sont enrichis avant d'être délogés par des criminels de plus grande envergure ou des industriels, dont Sam Bronfman, qui n'avaient soudainement plus besoin d'intermédiaire pour écouler leurs caisses d'alcool aux États-Unis.
Il a expliqué que l'on affublait à ce quartier le nom de 'Red light', parce que la grande majorité - sinon la totalité - des maisons de prostitutions avaient devant leur porte ou à l'intérieur du portique une petite lumière rouge qui indiquait que la maison était ouverte et prête à recevoir les clients à la recherche de commerce libidineux moyennant rétritibution.
Les gangsters américains y ont trouvé leur compte, tout comme plusieurs caîds québécois qui en ont aussi profité pour se bâtir de véritables fortunes. Certains, comme les Bronfman au Canada, et les Rockefeller et les Kennedy aux États-Unis, ont établi à cette époque les bases de leur empire grâce à la contrebande d'alcool.
'En fait, on a rapidement réalisé que la police de Montréal pouvait se montrer capable d'entrave à la justice, et ce, sans vergogne.
À Montréal, on comptait alors plus de deux cent cinquante établissements de jeu, rien de moins.
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Charles-André Marchand (1)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (5 - essais )
Roland Barthes : "Fragments d'un discours **** "
amoureux
positiviste
philosophique
20 questions
851 lecteurs ont répondu
Thèmes :
essai
, essai de société
, essai philosophique
, essai documentCréer un quiz sur ce livre851 lecteurs ont répondu