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François Marchand aborde ce sujet sur un angle totalement décalé. A partir d'une situation vraisemblable, celle d'une usine du Nord de la France devant mettre en oeuvre un plan social, l'auteur utilise toutes les ficelles pour que l'humour s'impose dans son ouvrage. le patron réalise ce projet délirant qui fera mourir les ouvriers de manière aléatoire. Mais il n'est pas le seul à faire l'objet des sarcasmes de l'auteur : le syndicaliste et la consultant sont également les cibles des piques humoristiques de l'auteur.

Le roman est court, et heureusement, car le jeu de massacre devient au fil des pages quelque peu lassant. S'il est plaisant de lire un texte décalé, il me semble que François Marchand n'utilise que cette ficelle pour faire tenir son roman, ce que je trouve personnellement un peu court. Maintenant, si vous souhaitez passer un moment de détente avec un roman drôle, c'est exactement ce qu'il vous faut !
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Émile Delcourt est dans la merde.
L'usine de fabrication d'ancres marines, située en banlieue de Valenciennes, dont il est le patron et que l'on se transmet de génération en génération dans la famille, est au bord de la faillite.
À un point tel que même un plan social n'est pas envisageable car trop coûteux.
Pourtant, il suffirait qu'un quart des employés quitte l'entreprise pour qu'elle soit viable.

Ça démarre fort, dès les premières pages.
Ce Delcourt est irrévérencieux, goujat, prêt à tout.
On savoure l'humour grinçant de l'auteur, ses nombreuses piques lancées contre les Parisiens, les consultants, le département du Nord, etc. Tout le monde en prend pour son grade.
C'est une lecture jouissive et il y a des passages très drôles qui décapent sec !

Très vite, Delcourt trouve la solution à son problème, un moyen très étonnant et pas très catholique de faire disparaître ce quart de salariés en trop, aidé par un syndicaliste CGT de la boîte, avec qui il s'est trouvé des intérêts communs.

suite sur mon blog, merci
Lien : http://linecesurinternet.blo..
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La société d'Emile Delcourt installée à Valenciennes va mal, très mal. L'entreprise familiale d'ancres de marine court à la liquidation judiciaire si rien n'est mis en oeuvre. Un consultant parisien Walfard imposé par les actionnaires vient sur place avec ses belles théories. Mais, Emile Delcourt a une solution ! Pour relancer sa petite entreprise, rien de plus efficace que de faire une coupe large dans le personnel mais sans que ça se sache…

Humour noir, ironie, plume méchamment vitriolée font bon ménage dans ce livre ! le personnage de Walfart est le consultant qui par définition gagne un très bon salaire sur le dos des entreprises qui sont au bord de la faillite. Pédant, arrogant, il s'exprime par des phrases où les mots anglais sont de bons tons. Il ne voit aucun intérêt à cette mission et n'a qu'une seule envie, la terminer au plus tôt. de plus, cette mission dans le nord de la France n'est guère valorisante pour son CV…
La suite sur : http://fibromaman.blogspot.com/2010/10/francois-marchand-plan-social.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Émile Delcourt est dans la merde.
L'usine de fabrication d'ancres marines, située en banlieue de Valenciennes, dont il est le patron et que l'on se transmet de génération en génération dans la famille, est au bord de la faillite.
À un point tel que même un plan social n'est pas envisageable car trop coûteux.
Pourtant, il suffirait qu'un quart des employés quitte l'entreprise pour qu'elle soit viable.

Ça démarre fort, dès les premières pages.
Ce Delcourt est irrévérencieux, goujat, prêt à tout.
On savoure l'humour grinçant de l'auteur, ses nombreuses piques lancées contre les Parisiens, les consultants, le département du Nord, etc. Tout le monde en prend pour son grade.
C'est une lecture jouissive et il y a des passages très drôles qui décapent sec !

Très vite, Delcourt trouve la solution à son problème, un moyen très étonnant et pas très catholique de faire disparaître ce quart de salariés en trop, aidé par un syndicaliste CGT de la boîte, avec qui il s'est trouvé des intérêts communs.

suite sur mon blog, merci
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Vite lu, amusant mais un peu tiré par les cheveux...
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Un patron d'entreprise a besoin de licencier 25% de ses employés pour permettre à son entreprise de survivre, mais les moyens classiques tels que “les plans de sauvegarde de l'emploi” sont bien trop coûteux pour être envisagés. C'est presque par hasard qu'il trouve une des solutions des plus originales, ainsi qu'un allié des plus inattendus…


...

La suite sur le blog!
Lien : http://blogoculture.com/2011..
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"Une frappe chirurgicale".
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