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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est dans cet album, que le graphisme de Jacques Martin se démarque de celui d'Edgard-Pierre Jacobs.
Un beau récit, que celui de cette tiare.
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Alix accompagne le Roi Oribal pour qu'il reprenne le pouvoir sur son royaume, mais les rebelles lui tendent un piège et veulent récupérer la tiare, symbole du pouvoir royal et surtout d'une magie ancestrale…
Alix va vivre encore une aventure dantesque pour aider son ami Oribal et vaincre milles dangers.
Je suis toujours un peu surpris par la densité des phylactères dans « Alix », mais l'histoire est tellement riche et pleine de rebondissements que c'est justifier. Et puis, c'est un peu le style de l'époque avec beaucoup d'explications sur ce qu'il se passe dans la vignette ; sur les actions des personnages… c'est un peu la partie vieillissante de la série « Alix » mais elle n'a pas perdue toutefois son intérêt avec la qualité d'un scénario bien travaillé.
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Cette nouvelle aventure du jeune Alix démarrait bien. Surpris par la soudaine aération des textes et des images, je me suis porté à croire que peut-être Jacques Martin, à l'époque, avait-il consenti à écouter quelques conseils des anciens. En tout cas mes vieux yeux allaient-ils moins souffrir que dans l'épisode précédent. Hélas, les bulles de 25 lignes ont très vite eu la fâcheuse tendance à réapparaître ! Beaucoup de textes sont d'ailleurs totalement inutiles et font redondance... Mais il fallait sûrement tenir son lecteur.
Le méchant grec renait de ses cendres à chaque album avec une ténacité admirable et se trouve propulsé où qu'aille se brave Alix aux postes les plus importants du pouvoir ennemi et ce pauvre petit Enak a toujours le triste rôle d'agneau expiatoire... Mais pourtant, l'album regorge de très bons passages et d'inventivité et les dessins sont très attachants.
Aussi bien des défauts sont ainsi compensés.
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Dans ce tome, nous assistons une course poursuite entre Arbaceles et ses troupes et Alix accompagné par Oribal, prétendant au trône d'un royaume qui ressemble à celui des Perses. En effet, l'iconographie est assez fidèle à ce que l'on trouve dans les ruines de Persépolis : représentations d'Ahura Mazda ou encore chapiteaux de colonnes avec des taureaux couchés, vêtements, barbes et coiffes des personnages. le nom des villes fait quant à lui penser au royaume d'Arménie.
L'idée de la tiare empoisonnée est très bonne mais j'ai trouvé dans cet album que l'action prenait trop le pas sur le scénario.
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Cette aventure se passe dans la ville imaginaire de Zur-Bakal, aux limites des Empires Romains et Parthes. Alix reconduit Oribal jusqu'à son royaume, occupé par les Parthes, où il doir régner. Mais tous ne sont pas d'accord pour qu'il prenne le pouvoir et certains rebelles, menés par Arbacès, vont tout tenter pour l'empêcher d'y arriver.

Tous les personnages sont à la recherche d'un objet-clef: la tiare d'Oribal. Cette tiare est un objet magique qui ne peut être portée que par le souverain amené à régner. Les autres ne la supportent pas et défaillent.

L'intrigue est claire, bien menée, rythmée. Les faits s'enchaînent avec une logique incroyable. Les illustrations sont superbes, riches et fouillées, on voit que l'auteur est bien documenté sur le sujet.

Je n'ai pas lu d'autres tomes d'Alix, mais je chercherai à en trouver (j'en ai déjà deux autres, mais ils ne se suivent pas...), car cette histoire est vraiment bien écrite, dessinée et présentée.
Lien : http://lecoindeslecturespart..
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Quatrième aventure d'Alix, jeune esclave gaulois adopté par un riche romain et devenu homme de confiance de Jules César dans sa lutte contre Pompée. Nous sommes ici en 50 avant J.-C. et Alix et son jeune compagnon égyptien Enak doivent raccompagner Oribal, jeune héritier d'un petit royaume mésopotamien, jusqu'à sa capitale. Ils emmènent également le trésor royal dont la tiare, emblème meurtrier qui désigne lui-même le roi. On va évidemment leur mettre des bâtons dans les roues, ils vont affronter mille dangers, se découvrir des alliés et fomenter une révolution. Ils vont même trouver en travers de leur chemin un personnage rencontré dans les précédents albums qui est devenu le grand vizir du royaume en question.
Cet album est rythmé, mieux dessiné. Pour une fois, il n'y a pas de grand méchant mégalo retiré dans un endroit secret qui veut devenir le maître du monde.
Mais, comme pour les 2 précédents albums, je trouve qu'Enak n'est utile que comme victime. Il n'agit jamais, il suit. Généralement, il commet une bourde (bruit, chute...) qui permet aux ennemis de repérer le groupe, il se fait capturer puis devient un otage.
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