Alix accompagne le Roi Oribal pour qu'il reprenne le pouvoir sur son royaume, mais les rebelles lui tendent un piège et veulent récupérer la tiare, symbole du pouvoir royal et surtout d'une magie ancestrale…
Alix va vivre encore une aventure dantesque pour aider son ami Oribal et vaincre milles dangers.
Je suis toujours un peu surpris par la densité des phylactères dans « Alix », mais l'histoire est tellement riche et pleine de rebondissements que c'est justifier. Et puis, c'est un peu le style de l'époque avec beaucoup d'explications sur ce qu'il se passe dans la vignette ; sur les actions des personnages… c'est un peu la partie vieillissante de la série « Alix » mais elle n'a pas perdue toutefois son intérêt avec la qualité d'un scénario bien travaillé.
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Dans ce tome, nous assistons une course poursuite entre Arbaceles et ses troupes et Alix accompagné par Oribal, prétendant au trône d'un royaume qui ressemble à celui des Perses. En effet, l'iconographie est assez fidèle à ce que l'on trouve dans les ruines de Persépolis : représentations d'Ahura Mazda ou encore chapiteaux de colonnes avec des taureaux couchés, vêtements, barbes et coiffes des personnages. le nom des villes fait quant à lui penser au royaume d'Arménie.
L'idée de la tiare empoisonnée est très bonne mais j'ai trouvé dans cet album que l'action prenait trop le pas sur le scénario.
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Quatrième aventure d'Alix, jeune esclave gaulois adopté par un riche romain et devenu homme de confiance de Jules César dans sa lutte contre Pompée. Nous sommes ici en 50 avant J.-C. et Alix et son jeune compagnon égyptien Enak doivent raccompagner Oribal, jeune héritier d'un petit royaume mésopotamien, jusqu'à sa capitale. Ils emmènent également le trésor royal dont la tiare, emblème meurtrier qui désigne lui-même le roi. On va évidemment leur mettre des bâtons dans les roues, ils vont affronter mille dangers, se découvrir des alliés et fomenter une révolution. Ils vont même trouver en travers de leur chemin un personnage rencontré dans les précédents albums qui est devenu le grand vizir du royaume en question.
Cet album est rythmé, mieux dessiné. Pour une fois, il n'y a pas de grand méchant mégalo retiré dans un endroit secret qui veut devenir le maître du monde.
Mais, comme pour les 2 précédents albums, je trouve qu'Enak n'est utile que comme victime. Il n'agit jamais, il suit. Généralement, il commet une bourde (bruit, chute...) qui permet aux ennemis de repérer le groupe, il se fait capturer puis devient un otage.
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