Désolée, je suis attendue

J'ai été déçu par cette lecture et pourtant j'avais bien aimé Les gens heureux lisent et boivent du café.

Ici c'est certainement dû au personnage imbuvable qu'est Yaël tout au long du récit celle-ci fait passer son travail avant tout sa famille, ses amis, elle a des aventures sans lendemain, travaille 7/7 jours et quasiment/ heures elle ne dort plus qu'avec des somnifères, ne mange que des salades bref la fille vraiment détestable de bout en bout

Un jour au détour d'une rue elle entre dans une boutique et elle retrouve Marc qu'elle n'a pas vu et qui n'a pas donné de nouvelle depuis ans. Yaël va donc se trouver devant un choix inédit pour elle laisser entrer l'amour dans sa vie.

Je ne me suis attaché à aucun des personnages et ce récit m'a du coup paru très très long. On se doute évidement de la fin de l'histoire.

Un roman d'Agnès Martin-Lugand, c'est toujours très fleur bleue, aussi douceâtre qu'un sucre d'orge. Mais celui-ci est moins crédible que les autres, il y a des non-explications sur des comportements moteurs de l'un ou l'autre protagonistes. Et les hommes sont chaque fois identiques. C'est bizarre. Cet auteur nous présente toujours le même style d'homme, pas qu'il soit déplaisant, plutôt pas comme dans la vraie vie, où l'a étrangement on n'en rencontre pas des comme ça. Donc vraiment un bonbon ou un morceau de chocolat, selon la sucrerie que vous affectionnez, mais je ne sais pas encore si cela remonte le moral ou au contraire déprime un peu à voir où l'on pose les pieds.

J'avais eu une forte impression à la lecture de Les gens heureux lisent et boivent du café, c'est donc relativement confiance que j'ai ajouté ce livre à ma PAL... et bien, cette fois-ci, la sauce n'a pas pris... J'ai trouvé un livre facile, un personnage principal qui m'a laissé indifférente, une histoire dans laquelle je ne suis pas embarquée du tout.... Bref, une lecture qui sera vite oubliée !

Aie aie aie...comme le temps m'a paru looooong. Je me suis beaucoup, beaucoup ennuyée, mais forcée à le terminer malgré tout, étant donnée la popularité de l'auteur. Je voulais comprendre ce qui plaisait tant. Hé bien, je n'ai pas de réponse à cette question…

L'héroïne m'a agacée, je ne peux pas croire qu'on puisse être à ce point « vide ». Impossible de s'attacher au personnage pour ma part, ce qui a rendu la lecture pénible…J'ai trouvé qu'il ne se passait rien : boulot-boulot-boulot-repas entre amis où il ne se passe rien- boulot-boulot-somnifère-reboulot, etc.

J'ai trouvé l'ensemble assez « surréaliste »@ finalement …ATTENTION SPOILER, ne lisez pas plus bas si vous souhaitez lire ce roman malgré tout… :

Perso, je ne connais aucune personne normalement constituée qui continuerait à être amie avec le personnage du roman : Être amie avec un robot qui ne vit que pour son travail, pour moi ça relève de la science fiction.

Et puis, le coup du super pote qui part sans rien dire à personne, qui revient au bout de 10 ans comme un cheveux sur la soupe, sans jamais avoir donné de nouvelles, et tout le monde lui baise les pieds…heu… ??

Bref, grosse impression d'avoir lu un roman tiré d'un téléfilm allemand sur M6…j'ai perdu mon temps, dommage ! Et pourtant, je suis bon public:j'ai des lectures très éclectiques, je peux autant adorer un bon feel-good book qu'un thriller bien glauque, ou encore un vieux classique, du moment que l'histoire me transporte…En résumé : Il y a tellement mieux à lire… !

Je ne me suis pas du tout attaché au personnage de Yael, pire que cela, je ne l'ai vraiment pas apprécié... donc ce livre et moi, on commençait très mal.
La parisienne perchée sur ses talons qui hurle sur ses subalternes et leurs manques de respect ... désolée mais avec moi ça ne peut pas fonctionner. 
Ensuite comme le précédent ( on les lit toujours par ordres chronologiques avec le groupe de lecture) tout est absolument prévisible.
Yael Pete des câbles tout le long, un coup c'est oui, un coup c'est non. Je donne une médaille à sa famille et ses amies qui la supporte. 

J'ai eu beaucoup de mal à le lire, à chaque fois je voulais immédiatement le fermer, vers le milieu on s'améliore, la romance que l'on voit arriver arrive c'est cool, mais le personnage reste complètement insupportable.

J'ai aimé cependant les collègues de Yael donc un qui a une petite subtilité que je n'avais pas comprise avant la fin...

J'ai aimé également les références au livre entre mes mains le bonheur se faufile.

Bref globalement ce n'était pas une lecture agréable et j'en suis désolée. 

Je ne suis pas une grande fan d'Agnès Martin-Lugand, mais j'ai quelques livres dans ma PAL et je lirai donc ceux que j'ai.
Mais à chaque fois c'est un peu pareil, l'histoire traîne en longueur, les personnages sont, pour moi, plus énervants, qu'attachants. Et la fin est tellement prévisible.

Il ne me tarde qu'une chose passer au suivant, c'est pas bon signe.
Je ne m'attarde donc pas plus sur le sujet pour aujourd'hui.

Qu'est ce qui a provoqué cette métamorphose de notre jeune Yael étudiante, gaie, aimant la vie en cette personne froid, devenue guerrière. A vous de lire ce roman pour le découvrir.

Je n'ai pas hésité une seule seconde à me saisir de ce 4e roman d'Agnès Martin Lugand dont j'ai lu ( et apprécié ) jusqu'ici tous les romans. J'aurais peut être du hésiter deux minutes parce que celui ci m'a beaucoup moins plu.
C'est encore un portrait d'une femme d'aujourd'hui, déterminée à accomplir son but. Mais je n'ai ressenti aucune affinité avec Yaël, l'héroïne de ce roman.
Elle est froide, calculatrice, sa vie est réglée à la minute près, pour elle les gens ne sont que des "clients potentiels", pose des lapins à répétition à sa famille et ses amis, utilise des somnifères pour régler son sommeil sans rêves, critique les choix de vie de tout le monde, sauf les siens.
Elle ne vit que pour son travail qu'elle décrit comme "passionnant" , mais qui ne paraît pas ainsi au lecteur une seule seconde. Elle passe son temps à courir partout, à gérer 1001 choses, quel que soit le jour de l'année et l'heure, elle est censée etre une interprete reconnue, elle est surtout une working girl négociatrice et manipulatrice , mal aimable voire blessante.
A un moment il y a même une réapparition du personnage de Gabriel ( voir "entre mes mains le bonheur se faufile du même auteur") qui paraît moins désagréable qu'elle , et c'est peu dire.
Heureusement qu'il y avait le premier chapitre pour nous prévenir qu'elle n'avait pas toujours été ainsi. Et heureusement qu'il y a son groupe d'amis qui eux sont chaleureux et ouverts.
L'événement perturbateur du roman est le retour dans leur vie de Marc , un de leurs meilleurs amis qui avait fui sans donner de nouvelles dix ans plus tôt. Yaël voit alors son équilibre bouleversé lorsqu'elle se rend compte qu'elle a des sentiments pour Marc. Et on entrevoit le temps d'une vingtaine de pages une Yaël plus drôle, plus souriante, plus détendue( le meilleur moment du roman donc)... Avant que Yaël ne choisisse son travail acharné, plutôt que ses sentiments, et ne quitte donc Marc en lui balançant des horreurs.
Je l'ai fini parce qu'il était plutôt court , mais c'est certain je ne le relirais pas car c'est plutôt une déception. Je n'ai rien contre lire des romans parlant de personnages peu ou moins sympathiques que la moyenne, mais dans ce cas je préfère qu'on ne m'emballé pas tout cela dans une pseudo d'histoire d'amour impossible.

Le début était assez prometteur. le rythme était bon, on suivait le rythme infernal de Yaël, on assistait à son burn out et on attendait de voir ce qui allait en sortir. Et bien pas grand-chose….elle passe des vacances en famille qui lui font un bien fou, retrouve son ami de jeunesse avec lequel elle entame une vie amoureuse. Elle devient plus humaine dans le boulot, prend conscience des autres, de leurs capacités, délègue, joue le participatif… Jusqu'à ce que son chef lui propose un poste avec beaucoup de responsabilités et là, badaboum, persuadée qu'elle ne pourra pas mener de front vie professionnelle et vie de couple, elle choisit son boulot et jette son amoureux qui bien sûr, ne le prend pas très bien. Mais, son patron ( qui ne s'était pourtant pas privé de la pressuriser jusque-là) lui apprend que ce n'est pas bien de se consacrer uniquement à son boulot et que la vie personnelle fait partie de l'équilibre, bla bla bla… Je vous laisse deviner la fin, ce n'est pas très difficile. Tout cela est assez caricatural et prévisible et j'avoue avoir survolé les deux derniers tiers du livre et l'avoir refermé avec l'impression d'avoir perdu mon temps.

Grosse déception que cette lecture d'un roman où les personnages sont caricaturaux, surtout l'héroïne, Yaël, dont le parcours d'executive woman est insupportable... Dommage, car j'avais apprécié "Les gens heureux..." du même auteur. Il me semble en outre qu'Agnès Martin-Lugand, bien que parvenue en (trop?) peu de temps à publier de nombreux romans, ne trouve pas un style d'écriture personnel.