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3,82

sur 157 notes
En lisant la quatrième de couverture, j'ai été intriguée par ce roman. Je ne lis pas énormément de livres fantastiques car je suis plutôt coriace en la matière. Il faut vraiment que le thème me plaise. C'était le cas ici. Et je ne me suis pas trompée. Ce bouquin est addictif ! Impossible de le quitter ! Pire, j'en ai rêvé ! L'auteur mélange savamment, de la même manière pratiquement que les romans antillais, la sorcellerie, la médecine et une enquête digne des plus grands inspecteurs. le tout se lisant, vous l'aurez compris, frénétiquement, car même si vous avez deviné certaines choses, vous voulez en savoir plus.

Rod Marty joue également avec la structure de son livre. le titre parle de lui-même. Il va nous présenter tour à tour ces enfants qui, quelques années auparavant, ont eu un grave accident, leur bus étant entré en collision avec une voiture sur une route enneigée. Viennent s'intercaler les histoires du chauffeur de bus, de la jeune institutrice qui s'y trouvait aussi, des mères... Habituellement, je n'aime pas trop ce genre. En effet, on s'y perd assez vite. Pourtant, ici, ce n'est pas le cas. le texte reproduit au final, de façon mimétique, la petite communauté de Peakwood.

Ne comptez pas sur moi pour vous en dire plus. Ce serait dévoiler trop de choses. J'ai appris qu'il s'agissait du premier roman de l'écrivain. J'espère que ce ne sera pas le dernier !

Un grand merci à l'équipe de Babelio, à Rod Marty ainsi qu'aux éditions Scrineo pour cette découverte magistrale.
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Peakwood était une petite ville du Montana relativement paisible jusqu'à ce terrible accident de car scolaire qui endeuilla la communauté.
Des années plus tard, d'étranges blessures inexpliquées apparaissent sur le corps de certains habitants.
Voila le point de départ de ce roman que j'ai dévoré d'une traite.
Ecrit par un auteur français, ce roman qui se passe aux Etats-Unis, nous entraîne dans une ambiance fantastique un peu effrayante et mystérieuse.
On y fait la connaissance de tout un tas d'habitants, des adolescents, le médecin de la clinique, le tenancier du restaurant, la serveuse un peu trop portée sur la bouteille, l'ancienne institutrice désormais handicapée suite à l'accident du car, le maire, le patron de l'usine locale…
Les chapitres s'enchaînent à un rythme soutenu et je me suis complètement laissé entraîner dans cette histoire aux relents de légendes indiennes.
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Je remercie les éditions Scrinéo et Babélio pour l'envoi de ce roman

Je ne suis pas féru de littérature fantastique mais je voulais profiter de ce challenge pour essayer de changer d'avis.
J'ai été agréablement surpris.

Dans une petite ville du Montana, un accident de car scolaire: morts d'enfants de six/ huit ans, de profs, souffrance des familles.
10 ans plus tard, personne ne parle plus de ce drame.
Mais des blessures étranges apparaissent chez les survIvants et, soudainement, la folie et la mort se déchainent.

Suspens, angoisse, rebondissements, denouement spectaculaire: thriller classique: mieux vaut une bonne dose de surnaturel que des explications trop souvent invraisemblables.

Mais ce n'est que mon humble avis
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J'en suis à plusieurs titres lus de la collection "jeunes adultes" des éditions Scrineo et pour le moment, aucun ne m'a déçue ou ennuyée.

Les enfants de Peakwood commence avec un dramatique accident de bus, revenant d'une sortie scolaire. Pour conjurer le sort des victimes, Chayton Featherfield, médecin de la ville et père d'une des enfants, fait appel à son père, chaman d'une réserve. A Peakwood, Montana, Rod Marty procède à un rituel indien alors qu'à Ludlow, Maine, Stephen King conduisait Louis Creed jusqu'à un cimetière des indiens Micmacs dans Simetierre. Mais l'effet recherché est similaire. Et comment ne pas comprendre?

Dix années ont passé, les enfants ont grandi, sont désormais des adolescents. Peakwood mène une existence banale de petite ville banale. On suit le quotidien des lycéens, avec les caractères types du genre : le surdoué coincé et solitaire, le capitaine de l'équipe de football américain arrogant et brutal, la chef des pompom girls à ses pieds, etc.
Un tout petit fait, réalisé inconsciemment, va rouler comme une petite pierre qui déclenche une avalanche. L'équilibre de Peakwood se déstabilise jusqu'à atteindre son paroxysme avec l'annonce de l'arrivée d'un blizzard. le froid ne rigole pas dans le Montana (un des personnages raconte que le record de chute de températures en 24h fut de 55°...; je ne sais si la donnée est véridique mais ça fait froid dans le dos et désolée pour le jeu de mots).

Rod Marty signe avec Les enfants de Peakwood un roman captivant, à l'atmosphère tendue et vite oppressante. Les divers protagonistes sont bien amenés; je me suis attachée à les suivre au long des pages. le caractère fantastique, lié à la magie indienne qui apporte beaucoup d'intérêt à l'intrigue, n'exclue pas les émotions. Dès le départ d'ailleurs puisqu'on se met aisément à la place des parents confrontés aux conséquences immédiates de l'accident. le roman soulève les mêmes questions que son prédécesseur Simetierre. Face à la mort de son enfant, a fortiori de façon si brutale, que serions- nous prêts à faire?
Les événements qui surviennent dix ans après apportent aussi leur lot émotionnel face à la peur, face à la folie, la solidarité et même l'amour.

Les enfants de Peakwood n'est donc pas qu'un récit horrifique mais tout simplement une bonne histoire, bien racontée. Même si certains personnages sont stéréotypés, Rod Marty parvient par sa narration à faire oublier cet aspect. J'ai vu que l'auteur avait écrit un second livre; je le découvrirai avec grand plaisir.
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Après avoir vu quelques avis sur le site de Babelio, ni une ni deux, j'ai acheté le roman, il attendait dans ma bibliothèque bien sagement et me faisait de l'oeil à chacun de me passages. Mais j'ai résisté, je m'étais fixé une liste de lecture, bien spécifique, il fallait que je m'y tienne.

Et enfin, nous y voilà, je l'ai lu...

Mon avis ne sera pas différent des autres, un excellent roman qui mêle le fantastique et une légère dose d'horreur, en tout cas suffisamment pour vous attraper par le col de la veste et vous embarquer dans une histoire qui va vous amener au bout du livre avant que vous ayez dit "ouf".

J'apprend en plus que le tout jeune auteur est Français et que Les enfants de Peakwood est son premier roman, alors là je cries mon admiration et je lui souhaite d'en écrire d'autres comme celui-ci car c'est une vraie réussite.

Donc pas besoin d'en dire trop, quand une roman est bon, il est bon, donc lisez le et vous comprendrez.
Lien : https://livresque78.wordpres..
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Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en lisant ce roman en LC avec Phoenicia. J'en suis plutôt contente , j'ai l'impression d'avoir lu un Stephen King, clairement. Un accident de bus qui tue des enfants, un médecin qui va faire "quelque chose" ( c'est encore un peu vague au début) avec son père Chaman et nous voilà dix ans après, avec d'étranges phénomènes . On s'aperçoit assez vite qu cela va toucher les rescapés de l'accident. Pourquoi, comment , c'est en le lisant qu'on entre dans ce monde fantastique et d'horreur à la fois et qu'on commence à comprendre et à faire les liens. Un vrai page turner, qui nous entraîne dans la folie d'une ville ! J'ai passé un bon moment avec cet auteur que je découvre.
Challenge Mauvais genres 2020
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À Peakwood, personne ne parle de l'accident de bus scolaire qui a eu lieu dix ans auparavant. La tragédie n'a fait que deux victimes : les autres passagers du bus sont bien vivants, mais seulement au prix d'un rituel indien très mystérieux. « Il y a des gens qui devraient être morts, mais qui continuent pourtant de marcher. Un blasphème à la vie elle-même. […] Des enfants sont morts, des petits et des grands. Partis dans la grotte, ils se sont relevés tels des revenants et ont continué de vivre là où leur destin n'existait plus. Normaux dehors, mais en décomposition dedans. Les renvoyer vers la terre, c'est ce qu'il faut faire. » (p. 96) Quand certains habitants de la ville commencent à se comporter étrangement et que des plaies apparaissent de façon incompréhensible sur le corps des accidentés, Chayton, le médecin de la ville, et son père, chaman indien, comprennent que quelqu'un a parlé et a révélé le secret de cette terrible nuit. « Cette blessure qui se rouvre… c'est la mort qui veut vous récupérer. Et si vous ne m'écoutez pas, elle a de sérieuses chances d'y parvenir. » (p. 253) Alors qu'un blizzard s'abat sur Peakwood, Chayton sait qu'il a peu de temps pour trouver la fuite, conjurer le démon et réparer les ultimes erreurs des protagonistes de l'accident de bus.

Ce roman n'est pas déplaisant, mais aie aie aie… j'ai fait l'erreur de le comparer à Simetierre de Stephen King. le vainqueur par KO est le roi de l'épouvante ! L'intrigue semble vouloir dissimuler un secret qui a été à moitié dévoilé à la vingtième page : assez difficile ensuite de maintenir le suspense et de nourrir l'angoisse qui naît de l'inconnu. En outre, il y a un peu trop de personnages caricaturaux dans ce roman : des adultes plus ou moins alcooliques ou dépressifs, des lycéennes pestes, des adolescents souffre-douleur et leurs bourreaux en blouson de football, un jeune garçon avide de sexe et de violence, un petit génie, etc. Cela dit, le texte de Marty Rod reste d’assez bonne facture. « Dans l'obscurité se cachaient des forces maléfiques qui riaient de ce que les parents racontaient à leurs enfants. Ils étaient réels, les monstres étaient réels. Dissimulés aux regards de tous, ils attendaient d'être libérés de leur prison pour atteindre la lumière. » (p. 306) Mais je pense qu'il faut être américain pour saisir tout l'enjeu des malédictions et des pratiques chamaniques amérindiennes : culturellement, c'est difficile à appréhender pour un Européen. Sur cette analyse de comptoir, je vous laisse pour ouvrir un autre roman du King.
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Voici un roman qui mérite sa réputation sur la toile ! J'ai passé un très bon moment avec les habitants de la mystérieuse ville de Peakwood… Dès le début, j'ai été intriguée par cette étrange histoire de bus accidenté où quelques blessés se sont étrangement relevés… Je vous arrête de suite : il ne faut pas s'attendre à une oeuvre Z avec des revenants qui veulent manger votre cerveau. Certes, il y a bien une histoire de morts qui reviennent à la vie, mais on est plus sur de la magie chamanique indienne, ce qui m'a grandement plu ! En effet, pour une raison que je vous laisse découvrir, les personnes ayant survécu il y a plusieurs années à un sombre accident de la route se mettent à changer physiquement : des cheveux tombent, des blessures apparaissent et la peau de certains se met à se décomposer… Pire : d'autres individus se mettent à agir aussi étrangement que violemment. L'ambiance est pesante, morbide et inquiétante ! Avec une jolie plume très plaisante à suivre, Rod Marty a su m'envouter avec un récit atypique dont le rythme monte crescendo.

Pour ma part, j'apprécie les romans qui montent en puissance au fil des pages, puis qui finissent de façon explosive comme c'est le cas ici… Mais je comprends que ce ne soit pas au goût de tout le monde. En effet, le début peut paraître assez long à mettre en route, car l'action vient surtout vers la moitié de l'ouvrage. À mes yeux, cette mise en place est primordiale, car il y a beaucoup de personnages. C'est d'ailleurs plus ce point qui m'a un peu chagrinée : on découvre beaucoup d'habitants d'un coup, si bien que l'on a finalement du mal à s'attacher à eux tellement ils sont nombreux… Pourtant, la psychologie est bien traitée… La grande quantité de protagonistes et de points de vue narratifs n'est pas non plus insurmontable : heureusement, cinq/six d'entre eux sortent du lot et, comme vous pouvez le voir sur ma note, cela ne m'a pas empêché d'adorer ma lecture ! On est très vite happé par l'atmosphère du roman, si bien que l'on finit par se croire au beau milieu de cette petite ville…

Afin de garder la surprise, je ne vais pas vous en dire plus sur cet ouvrage, car ce serait vous gâcher la lecture. Sachez néanmoins que j'ai été ravie de retrouver le style d'écriture de l'auteur qui avait déjà su me conquérir avec « La mère des eaux ». On peut d'ailleurs trouver des similitudes entre ces deux oeuvres qui ont toutes les deux su me conquérir : du suspense, de la tension qui monte crescendo, une communauté étrange et isolée, une pincée de magie occulte et une bonne dose de mystère tout au long des chapitres ! Les lecteurs les plus sensibles ont intérêt à avoir le coeur bien accroché, car certaines scènes finales sont assez brutales et sanglantes. Cela ne me gêne pas, car j'apprécie le genre horreur, cependant il me semble important de vous signaler que cette lecture n'est pas douce et ne vous laissera pas de marbre… Bref, des récits habilement menés comme celui-ci, j'en redemande !

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Les Enfants de Peakwood raconte l'histoire d'une petite ville dans le Montana, aux Etats-Unis : Peakwood. Cet endroit va se retrouver au coeur d'une avalanche de maux qui touchent ses habitants. En effet, certains commencent à voir apparaître des blessures sur leurs corps tandis que d'autres ont des comportements étranges. Personne ne comprend ce qu'il se passe dans leur petite ville pourtant si paisible en temps normal. Sauf Chayton, le médecin de la ville, et son père qui est un chaman indien de la communauté des Black Feet. Ensemble, ils comprennent que quelque chose va se produire et renverser la tranquillité de la ville de Peakwood. Et cela est en lien avec un accident dont ils avaient juré en garder le secret. Une histoire fantastique (au sens propre comme au figuré), parsemée d'une once de peur. Bienvenue à Peakwood !

Pour commencer, parlons un peu de la couverture. J'adore. Les couleurs se marient à la perfection et l'ambiance nous glace instantanément. On découvre un bus scolaire bien amoché et des personnes se distinguent du paysage sombre et enneigé. Et quand on lit le résumé, je peux vous dire que l'on a très vite envie de commencer la lecture. Je sais qu'il ne faut pas juger un livre sur sa couverture, mais quand on voit cela, on en prend plein les yeux !

Pour un premier roman, on ne peut nier l'immense talent de son auteur ! On commence en douceur le roman, par un prologue fluide et toute en légèreté. Enfin, j'entends par là que la plume est souple et nous accroche petit à petit à l'histoire. Pas que rien ne se passe, loin de là ! On a notre petite dose de mystères et de renversements, comme promis par le résumé de quatrième de couverture ! Et c'est cela qui est incroyable dans le roman : rien ne se déroule comme on l'avait imaginé. de l'action par-ci, des bouleversements par-là sans oublier une bonne dose de peur ! On se croirait réellement dans un film, c'est dire !

De plus, l'auteur écrit incroyablement bien. Il trouve toujours LE mot qu'il nous faut pour savourer notre lecture. le passage, un peu brutal il faut bien l'avouer, entre la tranquillité et la peur à Peakwood, c'est superbe ! Oui, avec Les Enfants de Peakwood, il ne faut pas s'attendre à une histoire toute douce, toute mignonne bien ancrée dans de la science-fiction ! Et c'est cet aspect-là que j'ai le plus adoré dans le livre. L'auteur nous sort de la vie toute tranquille à Peakwood pour nous plonger dans une bonne science-fiction qui fait plaisir à lire. de plus, les décors que Rod Marty ancre nous font parfaitement visualiser chaque scène, même les plus étranges et les plus effrayantes.

Le seul petit hic que je pourrais reprocher à ce roman, c'est au niveau des points de vue. Même s'ils nous permettent de visualiser chaque scène sous différents angles, on pourrait parfois s'y perdre. le livre nous tient captif tout du long mais il ne faut pas s'attarder sur certains détails qu'on ne comprend pas car on finit toujours par comprendre par la suite. Mais du coup, les points de vue ne nous aident pas trop dans la mesure où il y en a une multitude et parfois plusieurs dans un même chapitre. Mais, à part ces moments-là, les points de vue sont tout de même très enrichissants pour la plupart et, je me répète je le sais bien, on se croirait dans un film ! C'est une qualité que l'on ne peut pas ne pas féliciter.

Pour finir, l'autre atout du livre est bien son ancrage dans la science-fiction et le fantastique. L'imagination de l'auteur est impressionnante et il nous décrit très clairement ce qu'il voit lorsqu'il écrit. Et joindre le côté « rituels indiens » et démons apporte une touche d'originalité dans les genres littéraires du roman.

En bref, une véritable perle dans le monde de la science-fiction et du fantastique. Une découverte qui fait du bien ! Je recommande donc ce sublime roman à tous.
Lien : https://lapetiteetagere.word..
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Nouvel auteur et histoire bien originale. le chamanisme amérindien est à l'oeuvre. une communauté est frappée par un accident de bus scolaire. La tragédie est enrayée grâce au chaman du coin. Sauf que cette lueur d'espoir est à double tranchant. Si quelqu'un parle, les conséquences seront terribles. Et bien sûr quelqu'un finit par parler.

Je n'en dis pas plus pour réserver toute la surprise pour qui ne voudrait pas lire la 4e de couv' (ce que j'ai choisi de faire). Comme dit précédemment l'histoire est vraiment originale. Un brin fantastique, elle finir par prendre une tournure inquiétante puis par tourner en version horrifique ( comprendre hémoglobine et non frissons). L'auteur prend le temps de présenter la communauté de Peakwood, petite ville du Montana, un brin stéréotypée. Les personnages sont nombreux et l'intrigue apparaît au fur et à mesure.

Si effectivement j'ai apprécié l'idée de base, j'ai eu cependant du mal à rentrer dedans avant la moitié du roman. Les chapitres très longs ne m'aident pas, mais ça, c'est de l'appréciation personnelle. A cela, s'ajoute le virage de 180 ° sur la Source (comprendra qui lira), choix de l'auteur qui me laisse encore perplexe.
Pour autant, même si cela ne me laisse pas un souvenir impérissable, la lecture est restée plaisante.

Challenge Mauvais Genres 2020

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