Un livre officiel réalisé 50 ans après la création de Queen avec la collaboration des membres du groupe et par l'un des plus grands photographes de rock. le livre contient des contributions exclusives écrites par Brian May et Roger Taylor et des textes de Neal Preston qui révèlent l'histoire intime derrière les images.
Neal Preston est selon Brian May, le guitariste de Queen, « sans doute le meilleur photographe rock du monde ». Sa collaboration avec le groupe Queen a débuté au milieu des années 1970 en tant que photographe officiel de tournée. La qualité de son travail pendant cette première tournée a forgé une relation avec le groupe qui dure toujours, presque 50 ans après. Comme le dit toujours Brian May, « Neal a juste le don d'être toujours au bon endroit, au bon moment. A de nombreuses occasions, Neal était le cinquième membre de Queen. »
En 1985, Neal Preston était le photographe officiel du célèbre concert Live Aid Wembley, où son cliché de Freddie cabré sur scène reste une image iconique, reprise comme affiche du film Bohemian Rhapsody. Neal dira après le concert : « Parfois, on fait bien les choses et tout se met parfaitement en place. C'était la troisième image que j'ai prise ce jour-là. J'aurais pu me satisfaire de cela et prendre le reste de la journée. »
Réunissant plus de 200 images, en grande partie inédites, ce livre officiel est une célébration des années Queen un demi-siècle après la fondation du groupe et les pages vibrent d'une énergie palpable. Pour la première fois, Neal Preston et Queen rassemblent cette oeuvre dans une impressionnante monographie : la vie dans les coulisses, les performances live, les séances studio, les moments post-performance ou offstage, le tout émaillé d'anecdotes et de souvenirs du groupe et du photographe.
Disponible en librairie !
https://www.glenat.com/musique/queen-les-photographies-de-neal-preston-9782344045084
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Brian MayDenis PellerinPaula Richardson-Fleming/5
4 notes
Résumé :
Nous sommes en France, vers 1860. S'inscrivant dans la lignée de l'engouement national pour tout ce qui a trait au diable, une oeuvre révolutionnaire vient de naître : des dioramas d'argile décrivant la vie quotidienne dans un monde parallèle nommé «Enfer». Photographiées pour le stéréoscope et diffusées sous forme d'épreuves en relief - très populaires à cette époque précédant le cinéma et la télévision -, ces saynètes vont fasciner plusieurs générations pendant pr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Recueil très intéressant de vues stéréoscopiques accompagné de son stéréoscope. le livre est très riche, très complet, et chacune des nombreuses vues est accompagnée d'un texte explicatif.
J'ai énormément de mal à voir les images en 3D, j'ai une bonne dizaine ou quinzaine de minutes pour les deux que j'ai réussi à voir en ayant passé une bonne heure là dessus. Au final j'ai arrêté: les efforts ont fait que de la buée floutait mes lunettes et le stéréoscope et un mal de tête s'est fait sentir. Je reste avec une certaine déception, mais qui ne me semble pas due au livre, mais plutôt au fait que mon cerveau ait beaucoup de mal à créer ces images.
Dans les deux que j'ai réussi à voir il y en a une simple d'entrainement et une du début du livre qui est effectivement très saisissante en 3D.
Je pense que c'est un livre sur lequel il faut revenir de temps en temps et peut être plutôt pour les personnes qui n'ont pas trop de mal avec ce types d'images en 3D.
J'ai énormément de mal à voir les images en 3D, j'ai une bonne dizaine ou quinzaine de minutes pour les deux que j'ai réussi à voir en ayant passé une bonne heure là dessus. Au final j'ai arrêté: les efforts ont fait que de la buée floutait mes lunettes et le stéréoscope et un mal de tête s'est fait sentir. Je reste avec une certaine déception, mais qui ne me semble pas due au livre, mais plutôt au fait que mon cerveau ait beaucoup de mal à créer ces images.
Dans les deux que j'ai réussi à voir il y en a une simple d'entrainement et une du début du livre qui est effectivement très saisissante en 3D.
Je pense que c'est un livre sur lequel il faut revenir de temps en temps et peut être plutôt pour les personnes qui n'ont pas trop de mal avec ce types d'images en 3D.
Ma 666ème critique pour Babelio méritait bien un livre démoniaque ! Voici un ouvrage vers lequel je reviens régulièrement sans avoir jamais pris le temps de rédiger quoi que ce soit à son sujet. Les diableries incarnent une tradition française et ont gagné en popularité entre les années 1860 et 1900. Elles sont très recherchées par les collectionneurs américains et anglais et il a fallu un sacré travail pour regrouper et numériser les pièces incroyables dénichées par les auteurs de cet ouvrage devenu la référence en la matière. Elles incarnaient alors l'équivalent du cinéma et de la télévision, qui n'existaient pas encore. Bien avant les cartes Crados ou Pokemon les amateurs les collectionnaient, les échangeaient, pour pouvoir ensuite profiter du spectacle en famille.
Ce procédé à la fois artisanal et ingénieux, à base de sculptures en argile, est destiné à créer des saynètes qui s'animent à la grâce du stéréoscope, la couleur est même de mise, permise par de nouveaux procédés. Ces images sont composées de squelettes inspirés des danses macabres, qui forment dans le royaume des morts un reflet acide des moeurs contemporaines de l'époque. Sous un aspect grotesque elles dressent un panorama critique et dissimulent des satires sociales et politiques virulentes, qui auraient été interdites si elles avaient été identifiées comme telles par le pouvoir en place.
Ce procédé à la fois artisanal et ingénieux, à base de sculptures en argile, est destiné à créer des saynètes qui s'animent à la grâce du stéréoscope, la couleur est même de mise, permise par de nouveaux procédés. Ces images sont composées de squelettes inspirés des danses macabres, qui forment dans le royaume des morts un reflet acide des moeurs contemporaines de l'époque. Sous un aspect grotesque elles dressent un panorama critique et dissimulent des satires sociales et politiques virulentes, qui auraient été interdites si elles avaient été identifiées comme telles par le pouvoir en place.
Citations et extraits (4)
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Il se peut qu'une théorie plus simple explique tous ces éléments, mais comprendre les Diableries, c'est un peu comme rouvrir une enquête policière cent cinquante ans après les faits. La plupart des indices - clefs de lecture nécessaires à la compréhension - sont perdus depuis longtemps. Ni Hennetier ni Habert n'ayant laissé d'écrits relatifs à leur travail, nous ne pouvons souvent qu'émettre des hypothèses sur certaines de leurs intentions et, faute de preuves, nous contenter de faisceaux de présomptions. Tout comme les dessins d'actualité publiés dans la presse perdent leur saveur quand les faits ont été oubliés, de nombreux points qui devaient être limpides aux yeux des contemporains se sont obscurcis au fil des années. (p. 43)
Dès la fin des années 1850, la crinoline était responsable de la mort par brûlures de centaines de femmes qui s'étaient trop approchées de la cheminée, mais on l'accusait également de provoquer la ruine des ménages. Si les maris n'hésitaient pas à affirmer qu'elle était l'invention du diable, certains industriels tiraient de cette mode d'énormes bénéfices. (p. 60)
Le paradis selon Hennetier ressemble étrangement à un café ouvrier où il ne serait plus question de travailler ni de payer l'addiction. (p. 22)
L'un des squelettes est en train de graver sur le fût d'un canon - modèle d'un nouveau genre - les mots "Brevetés S.G.D.G." (Sans garantie du gouvernement). (p. 40)
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