D'improvviso, spinto da un ridicolo moto di rivolto, cerchi l'osso dell'uomo che ti sarebbe piaciuto essere. Ma per tua fortuna sei avvolto da un bendaggio di adipe che si è ben assettato intorno a te per proteggerti dagli spigoli, e dalle stronzate che ogni tanto ti racconti.
Guardami, Italia, siediti su questa sedia vuota che ho dentro, e guardami. Davvero sei venuta a riprendermela? Non ti muovere, voglio dirti una cosa. Voglio dirti cosa è stato.
[N]ous sommes deux rescapés. Nous marchons sur le bord d'une blessure, nous devons faire attention à l'endroit où nous posons nos mots.
(pp. 216)
Où est le bruit de tous les cœurs que j'ai aimés ?
(p. 63)
Tu es liée par un sentiment solide à ta mère, parfois impétueux, mais vivant. Moi, j'ai été un costume d'homme suspendu à côté de votre relation. Plus que ma personne, mes absences, mes livres, mon imperméable dans l'entrée ont parlé pour moi. C'est un récit que je ne connais pas, écrit par vous à partir des indices que je vous ai laissés. Comme ta mère, toi aussi tu as préféré sentir ce manque, peut-être parce que m'avoir trop près de toi te coûtait trop d'efforts. Très souvent, le matin, en sortant, j'ai eu la sensation que c'était vous deux, avec votre énergie commune, qui me poussiez vers la porte d'entrée pour vous libérer de mon poids.
(pp. 24-25)
je n'ai pas bien accroché avec ce roman. peut être est-ce dû au fait que je travaille moi même en milieu hospitalier. trop lent, trop long,trop monotone. je n'ai pas accroché plus que cela à l'histoire. Peut être que le moment de lire ce livre n'était t'il pas opportun.
Les amours nouvelles sont pleines de peur, Angela. Elles n'ont pas de place dans le monde et aucun port d'attache. (page 119)
Tu n'as pas respecté le stop. Tu es passée à pleine vitesse, dans ta veste en fausse fourrure, ton baladeur posé sur les oreilles.