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Finalement, après avoir lu « La dame aux dragons » et la petite nouvelle « Au-delà de l'Interstice », j'ai enchaîné avec « L'histoire de Nerilka ». le roman fait moins de 200 pages, je l'ai lu d'une traite.

Nerilka est la fille aînée du méprisable Seigneur Tolocamp que l'on croise dans « La dame aux dragons ». Cette histoire, racontée à la première personne est son point de vue sur tous les événements du tome précédent.

J'avais été un peu surprise à la fin de « La dame aux dragons » que

Les deux histoires sont donc imbriquées l'une dans l'autre et donne une relecture intéressante de certains passages.

Nerilka était la meilleure amie de l'épouse d'Alessan, Suriana. Celle-ci lui avait promis de la faire venir à Fort Ruatha pour lui épargner une vie misérable au Fort de Fort. Malheureusement, Suriana a succombé à une chute de cheval et Nerilka s'est retrouvée piégée chez son père.

L'épidémie a été pour elle une opportunité pour fuir incognito et mettre à profit ses dons de guérisseuse. Elle va réaliser son rêve, aller à Fort Ruatha, mais ce qui l'y attend est très loin de ce qu'elle a pu imaginer.

Une belle histoire aussi. Avec ces trois fins poignantes, j'ai fini la soirée avec les yeux rouges.

Après toutes les épreuves de ce 6e passage, j'étais bien contente que

Comme j'ai déjà lu "L'Aube des dragons", mon prochain tome sera "Les renégats de Pern" mais ce sera pour 2021.




Challenge cycles/séries 2020
Challenge mauvais genres 2020
Challenge multi-auteures SFFF 2020
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Une novella très forte émotionnellement, j'en ai pleuré, j'ai adoré.

Elle ne peux pas se lire sans le tome précédent dont elle n'est que le complément, le même passage de l'histoire vue par une autre personne.
C'est vraiment un texte court, on voit ce qu'il se passe au Fort de Fort pendant que Moreta entreprend de sauver le monde de son coté.

Nerilka a honte de la réaction de son père pendant l'épidémie, il néglige ces devoirs et parait extrêmement égoïste, en ne pensant qu'a son propre intérêt. du coup quand l'occasion de présente elle décide de sauter le pas et de s'en aller. Elle veut compenser les actions de son père et faire le double pour essayer d'aider la ou elle peut.

Je résume grossièrement pour que ça ne spoil pas le tome précédent.
Le tome précédent était lui aussi très émotionnel, triste, surtout à la fin, et on ressent doublement cette tristesse ici. D'un part parce qu'on sait déjà ce qui va arriver et d'autre part parce que ce qui arrive touche énormément les autres personnages, chose qu'on n'avait pas du tout vue à la fin de la Dame aux Dragons.

Nerilka est un bon personnage. Elle est suffisamment obstinée pour arriver à prendre sa décision tout en n'étant pas non plus trop fonce dedans. Elle a aussi un petit coté naïf qui la rend touchante, surtout quand elle veut vraiment aider tout le monde. C'est un peu le chat noir de sa famille, les autres ne semblent pas la remarquer ni l'apprécier, surtout pas à sa juste valeur.
On ne voit quasiment pas Moreta en fait dans ce tome, mais on ressent tout le bien qu'en pense Nerilka et comme elle est dévasté par ce qui se passe. Elle est vraiment la personne qui permet que tout arrive à lui survivre malgré toutes les épreuves.
J'ai aussi adoré l'évolution de Alessan, c'est un personnage pour lequel j'ai énormément d'affection et je suis vraiment satisfaite de la fin le concernant.

Bref, une petite lecture, mais que je trouve essentielle pour vraiment comprendre les tenants et les aboutissants de l'histoire de l'épidémie !


17.5/20
Lien : http://delivreenlivres.blogs..
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Cette histoire est (presque !) la même que celle de la Dame aux Dragons... Enfin pas tout à fait. Si les événements et leur chronologie sont identiques, c'est le point de vue qui diffère totalement. Là, l'histoire n'est pas racontée à la troisième personne, et le focus n'est pas fait sur les dirigeants de Pern, Moretta, Capiam et les différents seigneurs. Là, l'histoire est racontée à la première personne du point de vue de Nerilka, fille du Seigneur Tolocamp, qui fait une brève - et remarquée ! - apparition dans le récit de la Dame aux dragons à deux reprises : quand elle quitte le château familial déguisée en servante, emportant avec elle pour Capiam et la population les remèdes que son père, le Seigneur Tolocamp, refuse de céder, car, selon elle, comme elle en fabriqué la plupart, elle a bien le droit de faire ce qu'elle veut de sa part ! Et puis à la fin, lors de l'éclosion, on la retrouve épouse du Seigneur Alessan sans qu'on n'ait plus d'informations sur le comment cela s'est-il passé, entiché qu'il était de la belle Moretta !

Du coup, là, c'est plus court - moins de deux cents pages, et on revit les évènements tels que Nerilka, qui n'avait pas eu le droit de venir à la fête d'Alessan, les a vécus. La quarantaine, la mort de sa mère et de ses soeurs, le retour de son père, la découverte des camps de rétention et l'arrivée de sa jeune belle-mère, en pleine quarantaine et quelques jours à peine après l'annonce du décès de sa mère. Sa décision de fuir, son voyage et son arrivée à Rualta, et, bien sûr, son mariage avec le très convoité Alessan.

C'était la même histoire, et pourtant, c'était très différent, et je comprends qu'Anne McCaffrey ait voulu donner la parole à Nerilka car c'est vraiment une très belle héroïne, je trouve, loin de l'éclat des chevaliers-dragons, son dévouement et son humilité ont réellement forcé mon admiration.

J'ai adoré cette histoire dans l'histoire, et ce changement de point de vue.
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Deuxième tome de la duologie concernant l'Epidémie, l'Histoire de Nerilka est un roman particulier, qui détone un peu au sein de la Ballade de Pern. Car pour la première fois, nous avons un narrateur interne; c'est Nerilka qui écrit son histoire, à la première personne.

Nous la découvrons jeune fille, aux premières heures de l'Epidémie, honteuse de sa superficialité affichée dans les moments qui ont précédé l'explosion de la maladie. Par ses mots, nous revivons les événements de la dame aux dragons, avec un autre éclairage.

Je ne sais pas si c'est dû à cette narration à la première personne, ou juste au personnage, mais je dois dire que je me suis bien plus attachée à Nerilka qu'à Moreta dans le tome précédent. Les deux personnages sont tout autant admirables dans leurs réactions face au malheur qui frappe leurs concitoyens, mais sur un plan personnel, le caractère et les actions de Nerilka m'ont bien plus touchée. Son évolution, ses décisions et ses réactions, en font un personnage très attachant.

Le roman est très court, à peine la moitié du précédent, et le style plus simple que dans d'autres tomes; je l'ai lu très vite.

J'ai beaucoup apprécié qu'il éclaire un point qui m'avait manqué dans le tome précédent, à savoir la réaction d'Alessan aux événements survenus avant l'éclosion des oeufs (pour ne spoiler personne....) Ce passage m'avait déjà énormément touché dans le tome précédent et ici à nouveau, j'ai été très émue; mais quelque part, j'aurais aimé avoir cet éclairage à ce moment là de la Dame aux dragons.

Je vais à présent faire une petite pause dans la série, histoire de ne pas reproduire l'erreur faite à la fin des Origines, d'enchainer trop de tomes, et dont je regrette qu'elle m'ait fait passer à côté du début de la dame aux dragons.
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Un tome un peu différent des autres, dans la mesure où il est écrit à la première personne. Il est également particulier car il raconte exactement la même histoire que le tome précédent, "La dame aux dragons", mais d'un autre point de vue.
La série de romans qui constituent la Ballade de Pern contient souvent des redondances où l'auteur recoupe différentes histoires ou superpose des moments vus de points de vue différents. Ca fait partie, je pense, du génie de cette série. C'est pourtant la première fois que l'auteur raconte exactement deux fois la même histoire et c'était, selon moi, une prise de risques assez considérable.

Le résultat est assez bon et pas du tout lassant, curieusement. J'en tiens pour preuve que je l'ai dévoré en quelques heures, juste après avoir refermé l'autre tome qui raconte la même histoire... Néanmoins, celui-ci tient plus de l'anecdote et du fan-service que de l'émouvante aventure, et la petite larme que j'ai versé sur le dernier chapitre n'a rien à voir avec ma tristesse éprouvée à la fin de "La dame aux dragons".
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La même histoire que dans La dame au dragon, mais cette fois-ci vue sous un angle différent.
De cet exercice qui aurait pu se révéler périlleux, Anne McCaffrey se sort très bien avec de nouveaux personnages très attachants, et d'anciens sur qui l'on en apprend un peu plus.
Un seul reproche, c'est encore une fois bien court.
Lien : http://www.amazon.fr/review/..
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Le tome que j'ai le moins aimé de toute la balade de Pern. Un personnage intéressant mais une histoire plus sombre que les autres tomes.
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..
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Là par contre, j'avoue que je n'ai pas bien vu l'intérêt ! On nous ressort l'histoire de l'épidémie agrémentée d'une nouvelle sauce, c'est-à-dire vue par un personnage différent ! C'eut été intéressant si au moins ce volume avait davantage poussé l'histoire dans le temps, nous présentant plus en détails la vie future de Nerilka, mais ce livre et le précédent s'arrêtent quasiment au même moment ! Et l'histoire de Moreta est pour moi nettement plus intéressante que celle de Nerilka, y'a pas photo. Franchement, va falloir qu'on m'explique, là ! Heureusement, c'est court, ça se lit vite et bien, mais bon...
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