Il est bien difficile de donner son avis sur un simple poème, si bref qui plus est. Et pourtant, dans ce bref poème de
Marcel Melthérorong, l'on sent toute la tension entre réel et poésie, entre désir de solitude et difficulté de cette solitude, pour justement atteindre cet autre monde qu'est la poésie, ou pour concilier son origine vanuataise, qu'il a choisi de retrouver en s'y réinstallant, et sa naissance calédonienne ?
Poème empli de mystère particulièrement prometteur, qui laisse à voir ce qu'est le bichelamar, langue du Vanuatu, en plus de la traduction française, en un superbe petit objet livre qui va rejoindre les autres petits objets livres poétiques de ma collection.
En espérant pouvoir, un jour, mettre la main sur
Toghan, roman traduit de l'auteur en français, mais malheureusement introuvable. J'ai, en effet, envie d'en découvrir bien davantage.