Michaël, je le connais. On s'est croisé par chez moi sur un salon du polar, avant qu'on doive se reconnaitre à la forme du masque de Batman qu'on porte tous aujourd'hui. Et puis sur son conseil, j'avais fait l'acquisition et je m'étais régalé, vraiment, avec «
Bienvenue à Cotton's Warwick ». J'en causais là :
https://leslivresdelie.net/bienvenue-a-cottons-warwick-michael-mention/, va voir.
Ça te fera une lecture à envisager…
Les ouaistairnes, j'aime vraiment bien. Mais attention, je suis resté bloqué à « Il était une fois dans l'ouest », et à quelques films récents avec Tommy
Lee Jones et autre Django.
Je sais, c'est du lourd, et c'est aussi le moyen de te mettre ce morceau d'harmonica au fond de la tête de ton cerveau, sur le côté droit.
D'aucuns ont déjà causé sur ce roman, parce que d'aucuns l'ont reçu en service de presse. La difficulté, et j'en avais parlé, il y a quelques jours/semaines/mois, je sais plus, c'est que les d'aucuns dont il est question ont tendance à dire du bien des livres pour que leur bibliothèque continue à s'agrandir. Pour se rajouter des Billy en quelque sorte…
Certains d'aucuns, pas tous.
Pour ce ouaistairne-là, je suis peinard, je l'ai acheté avec mes sous, donc je dis ce que je veux.
Pour commencer, je ne veux même pas imaginer la quantité de documentation que Michaël a dû avaler pour écrire ce roman. C'est monumental. Parce que si tu me demandes de te parler de l'Ouest américain dans les années 1860, c'est pas gagné. Je sais pertinemment qu'il y avait des cow-boys et des indiens, que les indiens avaient déjà commencé à se faire massacrer (on peut dire massacre génocidaire, c'est couramment admis), que les mecs étaient de vrais durs à cuire, et que les gonzesses aussi, et que si t'avais pas de colt, t'avais rien.
Tu vois, je sais des trucs, comme tout le monde.
Sauf qu'écrire un roman tout en entier avec aussi peu de choses, c'était pas gagné, donc il a fallu de la documentation. Plein.
Tu te souviens de cette expression appelée « le rêve américain » ?
C'était avant le drame.
Quand les seuls habitants de ce continent étaient ceux qui vivaient avec la nature et la respectait, quand personne ne massacrait des bisons pour que les amérindiens n'aient plus rien à bouffer, ni ne leur offraient des couvertures avec de la variole dessus. le bon temps.
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