Grand insomniaque depuis bientôt deux décennies, même si mes heures perdues me servent à lire je désespère d'un jour retrouver un rythme de sommeil normal. DREEM j'en ai entendu parler lors de son financement et de son lancement. Je n'ai pas testé le bandeau, attendant des retours, également à cause du prix.
Le livre raconte le parcours de ce jeune entrepreneur, ce que vraiment aimé c'est la façon dont il mélange sa vie et fait le rapprochement avec son entreprise. D'habitude dans les (auto)biographies que je lis, les chapitres passent l'enfance à l'adolescence etc jusqu'à arriver à l'entreprise et honnêtement j'en lis rarement en entier, feuilletant quelques pages par ci par là pour aller rapidement ce qui m'intéresse, la création. Cette construction est donc bien trouvée et garde la lisibilité.
Bien sûr il y a des points incontournables comme les influences, comment s'est concrétisé l'idée et son après. C'est plutôt ce qui m'intéressait en choisissant ce livre lors de la Masse Critique de février. Au passage j'en profite pour remercier Babelio et les éditions Stock de me l'avoir offert, ça me fait toujours plaisir de découvrir. A la toute fin du livre il y a quelques pistes pour aller plus loin dans cette thématique, livres, études et également un lien pour trouver une clinique du sommeil, suivi de plusieurs conseils pour favoriser le sommeil, un plus bienvenu.
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Un ouvrage étonnant. Je pensais en apprendre davantage sur le sommeil, et c'est bien le cas, mais aussi l'histoire d'une startup assez incroyable (mais elle existe, j'ai vérifié), qui prend le pari fou de créer un objet qui permet à chacun, chez soi, d'observer sa qualité de sommeil et de l'améliorer. A la fin du livre est recensée une foule de conseils et d'observations sur le sommeil, mais j'ai encore une question : pourquoi, alors que je suis assez présente sur les réseaux et intéressée par les nouveautés geek, pourquoi n'ai-je jamais entendu parler de cet objet ?
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Si l’histoire de l’Homo sapiens devait être résumée dans un livre de cinq cents pages, nos quatre dernières décennies n’occuperaient que les cinq dernières lignes de la cinq centième page.
je réalise que le
pire handicap est sans doute celui de perdre l’esprit
Hugo Mercier, Chercheur en sciences cognitives | Etienne Klein, Directeur de recherche au CEA | Catherine Hill, Epidémiologiste à l'Institut Gustave Roussy | Lionel Naccache, Neurologue, chercheur en neurosciences cognitives
Modération : Caroline Broué