Nëphyr, tome 1 : Ex Tenebris

J'ai sauté sur l'occasion de lire un nouveau Bit-lit hors du commun à la couverture mystérieuse.
Pourtant j'avoue avoir eu du mal à rentrer dans cette histoire, dans cet univers troublant... Je me suis sentie malmenée par l'auteur.

Les points négatifs. Pour ma part on est assez loin de l'ambiance bit-lit habituelle, ça a son côté agréable, l'oeuvre est surprenante et originale, mais cela m'a perturbé. J'ai manqué de repères. Tout est à découvrir. le contexte est déroutant, et il m'a très souvent manqué d'explications plausibles pour comprendre ce nouveau monde séparant les humains des surnaturels. La mythologie des Nephÿrs est certes nouvelle, et bien que l'auteur nous glisse des indices en bas de page pour expliquer les termes, cela ne m'a pas suffit. Je suis un peu "bébête" et j'aime que les choses soient claires et posées dés le départ. Or dés le départ nous découvrons le clan des Nephÿrs, sa hiérarchie et l'intrigue commence sur des chapeaux de roue. On découvre leur fonctionnement au fur et à mesure, et souvent j'ai été un peu agacé de cela.
De plus, cette nouvelle société, les relations entre les humains et les autres surnaturels, entre notre monde et l'enfer, sont à peine évoqués, jamais clairement expliqués. Comment les humains ont fini par accepter l'existence de ces "monstres", comment s'est élaborée leur entente, leurs accords... cela reste trop en arrière plan. Donc en gros on ne sait pas grand chose du contexte, à part que des êtres démoniaques occupent une partie de l'ancienne ville de New-York nommée New-Hell, et ne doivent pas toucher aux humains, ni dépasser leurs frontières.

Second point qui m'a gêné: le côté très obscur du livre. le roman est très sombre. On est très loin du monde de OUI-OUI. Ici les héros sont des monstres, ils ne ressentent aucun sentiment, se nourrissent de chair humaine, se battent, s'arrachent le coeur ou la tête, vivent dans un immeuble à l'abandon, ne font preuve d'aucune compassion, et répondent à des pulsions presque animales...
Leur sang est noir, tout tourne autour de la symbolique du mal. Tout n'est que bestial et "infernal". Les Nephÿrs, chassent, rivalisent, ironisent, cherchent vengeance, s'insultent, couchent ensemble, se torturent, et se tuent... Voilà leur quotidien. Alors nous avons une flopée de scènes sanglantes et explicites, quelques descriptions de repas bien écoeurants avec des gorges déchiquetées...du glauque et du Gore en veux-tu en voilà, servi avec un registre souvent familier. Bref l'auteur n'a pas fait dans la dentelle c'est certain! Et pour ma part il m'a manqué un peu d'humour pour faire passer le tout.

Comme on est dans un genre qui a l'habitude de donner son petit lot de "scènes hots", nous avons droit à quelques brèves scènes de sexe, du sexe pour du sexe, sans sentiment aucun! C'est leur fonctionnement, ne vous attendez pas à de la romance, vous risquez d'être déroutés. L'héroïne répond à ses besoins naturels. Tous la veulent dans son lit, et les répliques équivoques ne manquent pas.

En parlant de l'héroïne, Némésis, elle est à l'image de son peuple. Belle, redoutable et sans pitié. Elle a été transformée et torturée par le plus terrifiant d'entre tous. Inutile de vous dire, qu'elle fait preuve de froideur et d'intransigeance, il n'y a plus en elle une once d'humanité, depuis qu'Ézéchiel son créateur s'est acharné à l'en débarrasser. Elle est devenue reine de son clan et fait peur à son peuple, parfois même à elle-même. j'avoue qu'elle m'a fait froid dans le dos. A vrai dire on est assez peu habitué à ce type d'héroïne.

Alors effectivement c'est original, mais je n'ai pas retrouvé ce qui me plait dans les séries Bit-lit. Soit, un peu plus d'humanité, un peu plus de romance, un peu plus de "bons sentiments" auxquels je peux m'identifier ou m'attacher. Là il m'a été impossible de m'attacher à Némésis, aussi machiavélique et torturée que ses semblables.

Pourtant je reste persuadée que cette série va plaire, car il y a un certain potentiel. Ce qui m'amène à parler des points positifs. Oui, oui, il y en a...
Dans les points positifs, on ne pourra nier le rythme effréné. Les actions s'enchaînent, et le lecteur n'a pas une minute de répit. Impossible de lâcher le roman, le suspense et le rythme sont au rendez-vous, nous tenant en haleine.

De plus, si les personnages, notamment l'héroïne, sont déroutants, ils en deviennent progressivement assez attachants. Au fil de la lecture, on commence à comprendre leurs fonctionnement, leur code, bref à nous habituer à ces Nephÿrs. Aussi, Némésis est une héroïne charismatique à souhait, qui trouvera ses fans, j'en suis sûre. Cela nous change, c'est certain!

Enfin, la "Fin", avec un grand F, nous laisse dans un magistral combat, un final haut en couleur, les dernières lignes sont époustouflantes. Franchement, je me suis dit, "elle (l'auteur) m'a eue sur sa fin!"
Ainsi, tout ce que j'ai pu reprocher précédemment au récit , se retrouve inversé par une fin étonnante et inattendue. J'y ai tout à coup trouvé de l'émotion, de la surprise, un poil de romance, une héroïne enfin plus humaine... Bref une fin qui promet une suite certainement moins déroutante.

Mais surtout, il est indéniable que l'auteur a fait preuve d'une grande imagination, mêlant des éléments connus, à une mythologie très originale. Nous retrouvons les mythes habituels, l'enfer, Satan, l'immortalité, les vampires et lycanthropes... Mais à cela, l'auteur crée une langue, une culture propre aux Nephÿrs, une hiérarchie, des noms, des liens de sang...et autres choses jamais vues ni jamais lues.

Ainsi, dans l'ensemble je ne regrette en rien ma lecture, j'y ai découvert un nouvel univers, j'ai été embarquée par la fin, mais je reste peut être un peu trop "sensible" (je lis beaucoup trop de jeunesses) pour ce genre de lecture "choc".
J'y attendais un peu plus d'humour et de légèreté, j'ai plongé dans le noir et le sang...sans y être préparée.
Amateurs du genre, vous ne serez pas déçus!

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Quand j'ai commencé ce livre, c'était ma pause du midi et j'ai réussi à lire une vingtaine de pages et j'étais déjà bien dans l'ambiance du livre. Dès le début l'action est présente, les doutes, les conflits, les traîtrises, bref, ça commence sur les chapeaux de roue.
J'ai ensuite pris le livre avec moi en repartant travailler en me disant « tu n'auras sans doute pas le temps de le lire mais tant pis, tente ». Au final, arrivé 18h et fin de la journée, j'avais lu quasiment la moitié sans m'en rendre compte !

Alors là, je peux vous dire que oui, j'ai aimé cette lecture même adoré ! C'est vrai que ces temps-ci je faisais une overdose sur les vampires mais quand j'ai vu la couverture, j'ai de suite aimé et le jour de sa sortie je n'ai pas su résister (faible que je suis). Mais vraiment, c'est un achat que je ne regrette en rien !

J'ai dévoré (sans jeu de mots lol) ce livre du début à la fin ne voyant ni les pages, ni les chapitres défiler. Les 380 pages sont passées comme ça, en un claquement de doigts. 100 pages de plus ne m'aurais pas dérangée, au contraire !

Nous suivons donc Némésis, la reine des Nëphyr, une race de vampires, mais pas commune aux buveurs de sang. Ici, certes ils se nourrissent du sang humain, mais un traité crée avec la race humaine les empêche de s'attaquer à n'importe qui. J'ai aimé ce côté « le gouvernement humain sait que nous existons mais dans un sens il ne nous accepte pas quand même ». Certes, dans ce tome 1, les humains ne sont pas trop présents, ils ne souffrent pas, etc mais ça change des vampires qui se cachent le jour pour vivre la nuit. Ici, pas de risque de cramer en plein soleil mais seulement un produit qui peut autant les faire souffrir que les rayons.

Dès le prologue, la race des Nëphyr est envahie. Par qui ? Par quoi ? Pourquoi ? Comment ? C'est toutes les questions qu'on se pose dès les premières lignes. J'aime rentrer dans le vif du sujet ainsi, me poser des questions dès le début, ce qui permet de vraiment rentrer dans l'ambiance du texte.
Ici, tous les coups bas sont permis, Némésis est appréciée de peu de monde mais cela est expliqué par la suite. D'ailleurs, ces retours en arrière sont particulièrement intéressants et nous permet de nous familiariser encore plus avec cette reine bien différente des autres.
En effet, plus on avance dans l'histoire, plus on comprend que Némésis a souffert et souffre toujours. Elle cache tout ce sentiment derrière un masque fermé, craintif, fort. Son passé avec Ézéchiel ne l'a pas vraiment aidée à avoir un coeur et on le ressent souvent. C'est ça qui m'a fait l'aimer de suite. Ce petit côté fragile qu'elle cache aux autres ainsi qu'à elle-même, alors que nous, lecteurs, on sent qu'elle va mal mais qu'elle ne veut pas se l'avouer.
J'ai adoré tous les personnages crées par l'auteure. Ils sont tous très intéressants à suivre, drôles pour certains, remplis de sarcasme pour d'autres ou encore de la pire espèce mais qu'on arrive à « apprécier ». Aimer un méchant est assez rare pour moi, mais là, j'y suis parvenue, preuve que Cindy Mezni a su travailler chacun de ses personnages pour que l'on puisse les apprécier chacun à leur manière.

Un autre gros point fort de l'histoire, hormis l'action présente tout du long : l'invention d'une langue. En effet, les Nëphyr ont leur propre langage que eux seuls peuvent comprendre. Elle nous offre ainsi quelque chose d'inédit et de plaisant à découvrir. Évidemment, la traduction est citée dans le bas de la page, mais j'ai apprécié cette invention qui la détache des romans traitant des vampires.

Il y a quand même une chose qui m'a agacée à certains moments. On sait – et on le comprend vite – que Némésis a un véritable penchant pour les hommes blonds. Mais le répéter à chaque fois qu'un nouveau personnage mâle apparaît, devient vite lassant. À la fin, on croirait presque qu'il n'y a que des blonds alors que non. Plusieurs fois j'ai tiqué et ça m'a un peu froissée.

Et la fin ! Mon dieu. le dernier chapitre est certes le plus long mais rempli d'action, de vérité, de dilemme, de rancoeur, de vengeance, de révélations. Mais les 4-5 dernières pages sont les pires pour moi. L'auteure aime jouer avec nos nerfs et ça se voit ! Je ne m'attendais pas à ce genre de chute, bien que les explications d'avant coulent de source une fois que l'on comprend ce qu'il se passe. En bref, j'attends le tome 2 avec grande impatience et je serais l'une des premières à me le procurer à sa sortie !

En résumé, un premier tome haut en couleur qui nous fait entrer directement dans le monde de Némésis qui est intéressant et bien développé. Une histoire très bien décrite et parfaitement maîtrisée de la part son auteure. Jamais pendant ma lecture je ne me suis sentie perdue ou gênée par une révélation, tout coulait de source, comme si je connaissais le déroulement des événements par coeur.
Des personnages que j'ai réussi à tous apprécier, des actions perpétuelles, des trahisons, des rancoeurs, des retours en arrière bien maîtrisés, une écriture fluide, une belle plume agréable à lire. Bref un presque coup de coeur pour ce premier tome de cette trilogie. Vraiment hâte que le second opus sorte ! Je vous conseille vraiment cette lecture qui change des vampires que l'on croise habituellement.

Justine P.
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Ce roman comporte tous les ingrédients nécessaire à un bon roman du genre, à commencer par une héroïne au fort caractère, sur laquelle je reviendrai plus tard. Ce roman apporte également son lot de créatures surnaturelles inédites et nous plonge au sein d'un univers sombre et assez violent. L'action est menée tambour battant, avec des « pauses » constituées de scènes sensuelles assez réussies avec des mâles qui font plutôt envie. L'intrigue a également une dimension politique puisque le personnage principal est une reine qui rencontre des difficultés à gérer son clan et qui doit débusquer un certain nombre de traîtres. Un mot sur l'épilogue, qui m'a prise par surprise et qui est juste insoutenable de suspense !

Mon principal regret avec ce roman concerne l'univers, qui n'est pas aussi développé que je l'aurais souhaité. Une des choses faisant que j'adore les « Chroniques de MacKayla Lane », c'est l'incroyable complexité de l'univers. Ici, on devine seulement que les créatures surnaturelles se sont révélées au monde et vivent au côté des humains, en essayant de préserver la paix à défaut de pouvoir les anéantir. Nous croisons un certain nombre de créatures surnaturelles, mais dont les origines ou les buts ne sont pas développés. J'ai eu du mal à me repérer parmi ces créatures et à maîtriser le vocabulaire spécifique à cet univers. En somme, il mériterait d'être approfondi et un peu mieux expliqué ce qui, je le concède, ralentirait quelque peu l'action.

Comme je le disais un peu plus haut, Némésis est une femme forte, au caractère bien trempée. Elle assume sa nature de Nëphyr et la violence qui l'accompagne. Elle est sujette à bien des sautes d'humeur et ne fait pas dans la dentelle. Mais elle finit par montrer des failles qui permettent de s'attacher un peu à elle, ce qui n'était pas évident au départ. Autour d'elle gravitent un certain nombre d'individus masculins non dénués de séduction, notamment le solide Nathanaël et Xander, à la fois drôle et impitoyable dans son rôle de bureau. Ezéchiel remplit bien son rôle d'ennemi impitoyable et cruel. Un personnage m'intrigue (sans vous en dire trop il s'agit d'un humain devenant Nëphyr au cours du roman), j'espère que nous le découvrirons mieux dans le second tome.

L'écriture est Cindy Mezni est simple et directe, spontanée dirais-je. Elle donne une certaine vie à son personnage qui s'exprime à la première personne du singulier. Némésis s'exprime parfois de manière un brin familière, mais cela correspond à son personnage. Ajoutons que l'auteure s'est appliquée à créer un véritable langage pour les Nëphyr, avec des termes spécifique. Cela nous plonge un peu plus dans l'univers, mais cela n'est pas non plus fréquent, ne rendant pas la lecture trop ardue.

Ainsi, c'est un premier tome plutôt convaincant pour cette trilogie, avec tous les ingrédients essentiels à un roman du genre, notamment une héroïne forte, une atmosphère sombre et des créatures originales. La fin donne forcément envie de découvrir la suite. J'espère simplement que le second tome approfondira un peu mieux l'univers dans lequel évoluent les Nëphyrs et les différents personnages.
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L'oeuvre est surprenante et originale, mais il m'a manqué quelque chose. Voici quelques éléments du contexte: Les Nëphyrs sont des créatures monstrueuses, issues de l'enfer, qui occupent une partie de l'ancienne ville de New-York nommée New-Hell, et ne doivent pas toucher aux humains, ni dépasser leurs frontières. Certains peuvent les confondre avec des vampires mais, bien qu'il existe de nombreuses similitudes, leur régime alimentaire diffère quelque peu. En effet, le goût du sang est bel et bien présent mais ils mangent également la chair de leurs victimes! Appétissant n'est-ce pas? lol
Nous n'échappons pas aux scènes de sexe, bien entendu. Mais dans ce cas là, ne vous attendez pas à de la romance, c'est du sexe pour du sexe, sans sentiment, car n'oublions pas qu'ils gardent certaines pulsions "animales"!
le problème, c'est qu'il m'a manqué quelques explications pour comprendre ce nouveau monde. En effet, l'auteure n'évoque pas vraiment l'émergence de cette nouvelle société, les relations entre les différents êtres surnaturels et les humains, les décors dans lesquels ils évoluent, ou encore comment les humains ont fini par accepter l'existence de ces "monstres" en élaborant une entente... Tout cela reste un peu trop en arrière plan, même si je pense que c'est volontaire de la part de Cindy Mezni qui a préféré se concentrer uniquement sur le personnage de Némésis.
Cette dernière, l'héroïne, est à l'image de son peuple. Belle, redoutable et sans pitié. Elle a été transformée et torturée par le plus terrifiant d'entre tous. Inutile de préciser, qu'elle est froide (mais bouillonnante à l'intérieur) et dure, et qu'il n'y a plus une once d'humanité en elle, depuis qu'Ézéchiel son créateur s'est acharné à l'en débarrasser. J'avoue qu'elle fait froid dans le dos parfois. A vrai dire, c'est la première fois que je croise ce type d'héroïne. Franchement, à certains moments, elle m'a fortement agacé car en tant que reine, elle a beaucoup de mal a garder son sang froid, et fait même, parfois, preuve d'immaturité voir d'égoïsme. Elle arrive tant bien que mal à maîtriser ses envies destructrices et malgré tout, j'ai bien aimé le fait qu'on assiste a un vrai combat intérieur où elle ne cesse de lutter contre elle-même. Heureusement, plus le livre avance plus elle nous parait "humaine" autant qu'il est possible de l'être pour une Nëphyr…
Pour conclure, je pense qu'il m'a manqué un peu plus d'humanité et de sentiments positifs, ce qui m'aurait permis de plus m'attacher aux personnages. le roman est très sombre et même un peu gore! J'ai surtout aimé les derniers chapitres. Et mon dieu quelle fin, il me faut la suite!!! J'ai, tout de même, été assez mitigé par cette lecture.
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Finalement je ne sais pas trop que penser de ce livre...
Pour commencer, je trouve que cette race n'est pas clairement définie. Soit, on connait les vampires et les garous, donc quand on lit de la bit-lit, on n'a besoin que de quelques précisions sur eux afin de savoir quel folklore est adopté par l'auteur. Mais quand une nouvelle espèce est crée, je pense qu'il faut poser les faits le plus clairement possible ( cf la série des psychangelings ). Là, on n'a le droit qu'à quelques morceaux d'informations disséminés au gré du roman.
Le monde en lui même est bien créé dans le sens où on a plusieurs espèces, une pseudo cohabitation après une grande guerre et tout un tas de monstres innovants. Mais Cindy Mezni n'a pas justifié l'époque présente. Pourquoi les Nephyrs se sont révélés au grand jour par exemple ? Pourquoi est-ce qu'ils ne s'entendent pas avec les vampires ? Pourquoi les traitres ont choisi ce camps ? Quels est leurs lien ?
Tout n'est cependant pas noir dans ce livre ( quoique le terme est mal choisi, comprendront ceux ayant lu xD ). Scènes de combat dynamiques, intrigue qui tient jusqu'au bout et romance assez complexe. La reine est un personnage complexe qui doit laisser le peu de sentiments qu'elle pourrait avoir de côté pour assurer la survie de son clan.
La fin est absoluement délicieuse et frustrante en même temps ! Je n'en dis pas plus.