Elle l'embrassa rapidement, puis le repoussa, l'abandonnant dans la présence éthérée de son parfum resté accroché à ses vêtements.
Le diable avait beau être à l'oeuvre cette nuit dans cette maison de l'enfer, le gamion souriait comme un Séraphin céleste touché par la main d'un Dieu scélérat.
Je t'ai regarder évoluer comme un petit voyou, une petite brute sadique. La seule chose qui ait changé pendant toutes ces années, c'est ta taille. Maintenant, tu es un gros voyou et une grosse brute sadique.
Pendant que tu réfléchis, tu pourrais peut-être me remonter le pantalon. Il fait affreusement froid, ici, étendu à poil avec la bite et les couilles à l'air. Sans compter qu'être maté par un mec avec une chaussette sur la tête, ça énerve.