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2,65

sur 222 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Déjanté, loufoque, barré....
Que dire d'autre? Juste que le buzz fait autour de ce livre (soit disant un des meilleurs de la rentrée littéraire) est incompréhensible pour moi.
Une pseudo histoire de braquage à Hong Kong de la cave à vin la plus sécurisée du monde, un affrontement entre femmes (les voleuses et la chef de brigade) sans grand intérêt, une fin incompréhensible, le tout sans réel humour....
À oublier.... vite

Petit extrait :
« N'hésitez pas capitaine, vous en mourez d'envie, donnez l'ordre, déployez vos hommes, balancez les roquettes, faites-nous sauter la pelouse pour qu'on en finisse, que ça pète, craque, pisse, baigne, que ça déchire, que la beauté nous accompagne »
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Céline Minard, née à Rouen en 1969, est un écrivain français. Après avoir étudié la philosophie elle se lance dans l'écriture. On lui doit déjà plusieurs romans comme le très remarqué Faillir être flingué (2013) ou encore ce roman qui date de 2019.
Hong-Kong. La cave à vins hypersécurisée d'Ethan Coetzer, où sont précieusement conservés pour de richissimes propriétaires des milliers de bouteilles de vin millésimés dans des bunkers souterrains de l'armée britannique fait l'objet d'un braquage. Jackie Thran et sa brigade policière ont encerclé les lieux et tente de nouer un dialogue avec les braqueurs. A leurs côtés, Coetzer est effondré car il est en passe de voir disparaitre des années de travail, et Marwan Cherry son consultant stratégique.
Un roman qui démarre en fanfare mais qui va ne pas faillir d'être flingué finalement !
Le roman est tellement court qu'on peut le qualifier de novella. Et il est vachement bien. Tous les poncifs du genre des romans de braquages de banques sont réunis mais on y voit bien l'humour, le pastiche et c'est vraiment très réussi. Ici pas de lingots d'or ou de piles de biftons mais des bouteilles de pinard hors de prix, c'est original. Originale aussi, la personnalités des braqueurs, en fait trois nanas dont la tête pensante dépasse la soixantaine acoquinée avec deux délurées excentriques et last but not least, un rat ! Enfin, dernier détail, un typhon est à l'approche et dans quelques heures à peine ça va barder… C'est à peu près tout mais ça me plaisait bien ce truc-là, enlevé et plaisant à lire.
Les pages défilent, je commence à m'inquiéter car il ne reste que quelques pages à lire et je ne comprends toujours pas les motivations des nanas, comment Minard va-t-elle conclure son histoire de pinards ?
Je ne risque pas de vous divulgâcher la fin car je n'ai rien compris ! Rien de rien ! En faisant de très, très gros efforts, peut-être – je dis bien peut-être – que les trois femmes avaient décidé d'en finir avec la vie en beauté, partir sur un coup d'éclat, une apothéose finale ? Et si j'ai bien vu, peut-être qu'il faut y voir une portée philosophique ?
N'hésitez pas à m'expliquer le sens du roman, comme si j'étais un petit enfant, je ne suis pas susceptible de nature…
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L'histoire se déroule de nos jours à Hong Kong alors qu'un typhon menace la baie dans les prochaines heures. L'ancien diplomate sud-africain Coetzer a aménagé l'ECWC, la cave la plus sécurisée du monde, installée dans les anciens bunkers de l'armée anglaise. Là, sont stockées cent mille bouteilles de crus prestigieux pour une valeur de trois cent cinquante millions de dollars, c'est le moyen que les milliardaires ont trouvé pour mettre à l'abri leurs richesses et échapper au fisc de leur pays.

Alors que les services de sécurité sont en alerte face à la menace de typhon et que l'ordre de confinement est imminent, Jackie Tyran et ses équipes sont mobilisées par une histoire de braquage qui sort de l'ordinaire. En effet, trois femmes, Jelena drogan dite la Bombe, Bizzie la Clown, Silly la Brune ont braqué la cave de Coetzer. Ce trio de braqueuses à talons aiguille a un comportement pour le moins excentrique puisqu'une de leur première revendication est qu'on leur fournisse un nécessaire à maquillage... En attendant elles boivent des coups et jouent aux quilles avec les bouteilles...

L'idée de départ de ce drôle de roman est séduisante mais pour moi ce livre est plus une longue nouvelle qu'un roman, l'histoire manque de détails, les personnages manquent de profondeur et sont caricaturaux, on ne sait pas comment les braqueuses se sont introduites dans le bunker ni l'objectif de ce braquage. J'ai cherché vainement l'humour annoncé dans la quatrième de couverture dans ce récit qui est pour moi du grand Guignol. Je m'interroge sur les intentions de l'auteure et je n'ai terminé ma lecture que parce que le texte est très court. Bref, une lecture à oublier très vite...
Lien : http://leslivresdejoelle.blo..
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Alors je vais faire court, comme ce livre finalement.
Une étoile pour le papier et l'encre....
Si quelqu'un a compris la fin, j'aimerai bien qu'il me l'explique....
Déçue. Heureusement qu'il était ultra court....
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Aucun intérêt. Et si vous comprenez la fin, faites moi signe. C'est quoi ce brouillon de roman avec des moitiés de personnages, un bon début et puis plus rien... Ça doit être un teaser !!!
On le sait pourtant quand c'est encensé par la presse parisienne : il faut se méfier !
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Mouais pas exceptionnel rapide à lire, un résumé de ce qui aurais pu être un livre sympa
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J'ai été très déçue par le dernier roman de Céline Minard, Bacchantes. Les critiques de la presse étaient bonnes, voire dithyrambiques. Matériellement, c'est un roman très court (106 pages), avec une police d'écriture grosse, un format étroit (le texte sur une page tient sur un espace de 8,5 cm sur 14 cm), des mini chapitres (d'où pas mal d'espaces blancs).
Il est question d'un braquage d'une réserve de vins prestigieux et coûteux sous fond de menace de typhon à Hong Kong. J'ai vécu l'arrivée d'un typhon à Hong Kong, il y a quelques années, je pensais que l'auteur développerait cet aspect (notamment la vie qui s'arrête dans la ville...) mais non, Céline Minard néglige cet aspect. On se demande même ce que vient faire ce typhon.
La fin, arrive brutalement, comme une autre personne, je n'ai rien compris. Je n'ai pas compris non plus ce que voulaient les braqueuses, comment elles étaient entrées.
Le sujet et le lieu étaient originaux, mais je pense que Céline Minard est passée à côté. Une impression aussi que les critiques étaient bonnes au vu de ses romans précédents.
Le seul avantage est qu'il se lit très vite. Mais est-ce cela que l'on recherche dans un roman ?
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Aucune intensité, pas de suspens, aucun personnage travaillé en profondeur que l'on aurait envie de comprendre, de suivre...
un récit non abouti et une sensation - certainement fausse - d'un texte insuffisamment travaillé et exigeant.

Céline Minard ne nous embarque pas, ni par les tripes, ni par la tête...

En tous cas, en ce qui me concerne elle ne m'a emmenée nulle part.
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Je crois que j'aimerai beaucoup le roman qui sera écrit à partir de cette note d'intention de Céline Minard. le lieu est intéressant ces temps-ci : Hong-Kong ; ce sera l'histoire d'un braquage dans une cave à vins pour richissimes amateurs et d'un braquage mené par un groupe de femmes, ce qui n'est pas courant...Il y aura des flics, des privés, une victime, le propriétaire du chai, peut-être pas aussi innocente qu'il y paraît, des rivalités, de l'action, de la psychologie, de la technologie, des sarcasmes, de l'ironie, un cyclone qui approche et fait peser sur la ville une menace sourde et croissante, et des surprises à la fin. Ce sera un super roman, j'ai presque hâte !

Mince. On me dit dans l'oreillette qu'il ne s'agit pas d'une note d'intention mais bien d'un roman, certes bref, à peine une centaine de pages, mais complet, achevé, terminé, il n'y a rien à developper ou à peaufiner. J'en reste baba.

Alors voilà, je dois bien l'avouer : je n'ai rien compris à ce roman, mais rien de rien. Ni le titre « Bacchantes », ni le dénouement que je ne risque pas de révéler puisqu'il m'échappe complètement, ni le nom des personnages.

Rien. Ce doit être truffé de références qui m'échappent complètement, en tous cas je l'espère parce que je me suis rarement senti aussi idiot devant un texte qui m'a totalement échappé. Surtout que ce bref roman se lit bien, l'écriture est fluide, elle coule agréablement, les personnages sont bien caractérisés, bel exploit dans aussi peu de place, les dialogues sont nerveux , incisifs, l'intrigue est bien menée même si j'ai espéré à chaque paragraphe comprendre de quoi il retourne vraiment. Il n'empêche : j'ai tourné vite les pages.

Trop vite peut-être, qui sait. J'étais moi aussi très pressé de ressortir à l'air libre, de quitter ces galeries dans lesquelles j'avais été entrainé par Céline Minard et de retrouver le monde certes malmené par l'approche du cyclone mais avec moins de questions sans réponses.
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