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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Je viens de finir de lire " Suite inoubliable " et comme pour " Ame brisée " ce livre m'a transporté et m'a emmené dans un monde merveileux ou tout est possible. Je pense que c'est 2 livres qui vous font découvrir un autre univers tellement ils sont bien écrits, bien conçu et c'est plus fort que moi je pense que ils sont tirés d'une histoire vraie. Ces deux livres touchent mon ame et mon subconscient car à chaque fois en rêve j'ai entendu de la musique, étrange n'est ce pas ?, ils me font des papillons dans le ventre.
Je pense que ce sont deux livres que l'on lit et relit avec plaisir, en les redécouvrant à chaque fois et en les gardant comme livre de chevet car l'histoire, la façon dont elle est racontée avec une écriture si belle, si fluide touche notre âme et notre esprit et même les plus terre à terre ne peuvent pas le nier.
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Pamina, luthière, répare un violoncelle dont l'âme s'est fracturée lors d'un concert. Elle y découvre une lettre datant de 1945 et une photo. Cette découverte va permettre de faire resurgir les fantômes du passé et d'envisager l'avenir.
Très beau livre, lu en une journée. On ne le lâche pas. Je l'ai trouvé meilleur que le précédent, Reine de coeur mais un petit moins bien que le premier Ame brisée. Peut-être une petite lassitude car toujours le même thème. Quelques longueurs par moment.
Ce qui est formidable c'est qu'on entend la musique en lisant le livre. L'écrivain est très fort. Et on a envie de chercher sur Internet pour compléter les éléments du livre. Et on retrouve les personnages des livres précédents. Ils sont évoqués et si on ne les a pas lus, cela ne change rien à la compréhension de l'histoire. A lire absolument.
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Quelle lecture ! Remarquez, ça m'avait déjà fait cet effet-là après Ame Brisée. Là encore, c'est un texte magnifique que nous offre Akira Mizubayashi, plein d'émotion, de sentiments, d'humanité. Dans un Japon en proie à l'obscurantisme et à la guerre, des gens tentent, par la musique, par la lecture, de lutter, de résister. Mais le combat est par trop inégal. À travers les destins croisés d'un jeune virtuose japonais du violoncelle, d'une luthière française et d'un médecin de campagne japonais, Akira Mizubayashi nous plonge dans une fresque magnifique dans laquelle la musique tente de sauver les hommes. À lire absolument!
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J'ai adoré ce roman d'Akira Mizubayashi, suite inoubliable, auteur que je ne connaissais pas.
L'auteur nous fait voyager entre le Japon et la France, de la seconde guerre mondiale à nos jours.
La musique et plus précisément le violoncelle est au coeur de ce roman, mêlant plusieurs histoires pour n'en faire qu'une seule.
L'histoire est passionnante du début à la fin et c'est vraiment très bien écrit.
Une très belle découverte.
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Tout commence avec cette suite inoubliable, le prélude de la première suite de Bach, que joue Ken Mizutani pour Hortense Schmidt sa luthière.

Ne quittant jamais son "Goffriller", violoncelle d'exception, il joue inlassablement, s'imprégnant de la musique, du sol majeur au ré, il en connaît la moindre note, la moindre variation. Une manière d'échapper au réel : son incorporation dans l'armée impériale japonaise afin de lutter dans cette guerre qui s'insinue déjà au coeur de son île.

S'intercale avec cette histoire celle de Guillaume Walter, violoncelliste de renommée, qui doit interpréter cette suite inoubliable lors d'un concert donné à Tokyo au cours de l'année 2017. La fracture de l'âme de son instrument l'amène à consulter, Pamina Schmidt (petite-fille d'Hortense), qui découvre lors de sa réparation une lettre ainsi qu'une photo d'un jeune violoncelliste. le mystère reste entier, pourtant cet instrument lui en rappelle un similaire qu'elle aura vu dans l'atelier de son père et qui contient lui aussi quelques mystères...

Ce livre est d'une incroyable beauté, tant dans les liens qui unissent nos personnages, que dans ce qui les relient à la musique. Cette musique qui transcende tout, les hommes comme la mort, les langues comme les souvenirs, les frontières comme le temps.

La musique comme lutte à l'assombrissement du monde, une lutte contre les affres de la guerre, une lutte contre l'oubli.

Si certains livres sont visuels, celui-ci l'est assurément, en plus d'être auditif. L'auteur nous fait vibrer de cette musique, à travers les virtuosités de ses personnages, mais aussi dans l'art de la lutherie, un art de minutie.

Il nous rappelle que la musique n'est pas figée, elle n'est pas qu'une partition sur une feuille, elle est avant tout l'interprétation grandiose de celui-ci qui la joue, la force de l'instrument ayant également son mot à dire. Un livre d'une grande poésie, parfois méditatif dans la douceur de ses mots. Encore une merveille de cette rentrée littéraire.
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Après le violon d'âme brisée, l'alto de «Reine de coeur », Akira MIZUBAYASHI nous entraîne dans le troisième volet de cette trilogie, cette fois consacrée au violoncelle avec « suite inoubliable ».

Ken Mizutani est un génie du violoncelle âgé de 19 ans, le jeune homme remporte le premier prix du concours international de Lausanne en 1939. Cette distinction lui vaut le privilège de se voir confier par la fondation suisse Lorenzetti, pour 7 ans, un instrument d'exception « l'Amor », violoncelle fabriqué en 1712 par le célèbre luthier Matteo GOFFRILLER qu'il doit restituer au plus tard avant juin 1946.

A l'aune de la fin de la seconde guerre mondiale, ayant essuyé de nombreuses pertes humaines dans les rangs de son armée dévouée au culte de l'empereur tout puissant, le Japon appelle au combat ses étudiants jusque là épargnés, c'est ainsi que Ken reçoit le petit papier rouge de son incorporation, la mort dans l'âme, il se voit contraint de quitter ses proches et sa luthière bien-aimée, Hortense Schmidt, française vivant dans le hameau de
Shinano-Oïwake, avec laquelle il partage un amour passionné la nuit précédant son départ.

70 ans plus tard à Paris, Guillaume WALTER violoncelliste de renom s'aperçoit durant un concert que son violoncelle d'exception, un GOFFRILLER change de sonorité. Son luthier, Jacques MAILLARD, diagnostique immédiatement une « Fracture d'âme » et confie la réparation à Pamina, son apprentie qui détablant le violoncelle constate la présence d'un trou dans un tasseau contenant une photo et une lettre datée du 2 avril 1945 rédigée par Ken MIZUTANI.

Ce roman est une enquête sur les traces de Ken et de son GOFFRILLER qui conduit le lecteur dans une suite d'événements qui permettront de reconstituer une histoire familiale dans le monde des luthiers, spécialistes minutieux des violoncelles et mélomanes hors pairs.
Ce roman polyphonique construit en 6 parties évoque les thèmes chers à l'auteur : la passion pour la musique, sa transmission intergénérationnelle, le fanatisme impérialiste japonais, les vies brisées par la guerre.
On y retrouve son style si poétique pour évoquer des moments difficiles de la vie des Hommes avec tant de sensibilité que la musique qui en émane nous transporte à leurs côtés.
« La musique véritable recours contre la folie des hommes, unit les générations par-delà la mort »
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Une fois n'est pas coutume, je trouve nécessaire de rendre compte ici non pas d'un roman de cet auteur, mais de quatre d'entre eux qui me semblent étroitement liés.

Akira Mizubayashi est japonais, mais c'est en français qu'il écrit des romans prenant la musique pour thème central. Cet écrivain est un cas tout à fait exceptionnel, pour au moins quatre raisons :
- primo, parce qu'il n'est pas nativement d'origine franco-japonaise, il a appris la langue française réellement comme une langue étrangère et relativement tardivement ; pour moi qui maîtrise l'allemand couramment, je mesure à quel point je serai bien incapable d'atteindre un tel niveau de jeu littéraire avec cette langue, qui appartient pourtant au fonds des langues européennes, et dont la distance linguistique est minuscule rapportée à celle, abyssale, qui sépare le français du japonais !!!
- secondo parce qu'il se sert de la langue française avec une époustouflante virtuosité et une justesse tout à fait exceptionnelle pour rendre compte d'émotions musicales, ce qui est rarissime comme j'ai pu le constater car, au cours de mes lectures, j'accorde une attention particulière aux écrivains qui tentent de rendre compte d'un autre art, comme par exemple Grainville avec "L'atelier du peintre" (cf recension) ou "Falaise des fous" (cf recension), Proust étant bien le seul à restituer, magistralement, ses perceptions tant de la musique (Vinteuil) que de la peinture (Elstir)...
- tertio parce que l'intrigue de ses romans repose toujours sur une grande rencontre amoureuse narrée avec une remarquable pudeur : pas de scène scabreuse, pas de pornographie graveleuse, c'est là encore tout à fait exceptionnel dans la littérature d'aujourd'hui !!!
- quarto parce que ces romans, écrits et publiés ces dernières années, illustrent comment et combien les conséquences des horreurs commises pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) influent aujourd'hui encore sur le cours de la vie des générations postérieures.

L'auteur recourt à la technique musicale désignée par l'expression "variation sur un thème".
En effet, la trame de ces quatre romans est la même : avant la Seconde Guerre mondiale, un jeune japonais est amené à poursuivre ses études à Paris, où il fait la rencontre – délicatement amoureuse – d'une jeune française. La mobilisation générale contraint le jeune homme à rentrer au Japon, sa compagne devenant la mère d'un enfant conçu juste avant la séparation. Variation propre à chaque roman : deux générations plus tard, les petits-enfants découvrent ce passé...

Ces dernières années, l'auteur a publié une trilogie consacrée aux instruments à cordes (violon, alto, violoncelle) :
- Mizubayashi Akira (1951-) – "Ame brisée" – Gallimard / Folio, 2019 (ISBN 978-2-07-292121-6)
Lecture qui me servit de découverte de cet auteur (cf mention le 24 juin 2021) ; l'instrument de musique central est ici le violon. L'âme en question étant ce minuscule petit cylindre de bois qui instaura la Grande Différence avec la famille des violes de gambe...
- Mizubayashi Akira (1951-) – "Reine de coeur " – Gallimard / Folio, 2022 (ISBN 978-2-07-301739-0)
L'instrument de musique central est ici l'alto, ce grand violon accordé une quinte en dessous du violon, doublant à l'octave les cordes du violoncelle. L'exercice est méritoire, car les pièces originales écrites spécifiquement pour cet instrument sont d'autant plus rare que l'auteur se limite à la période de la musique occidentale depuis l'époque classique (l'alto avait un rôle plus gratifiant jusqu'à l'époque baroque) : j'en sais quelque chose, puisque j'ai moi-même suivi un cursus d'altiste dans ma jeunesse.
- Mizubayashi Akira (1951-) – "Suite inoubliable " – Gallimard NRF, 2023 (ISBN 978-2-07-303211-9)
Ce volume était impatiemment attendu par les violoncellistes (dont je suis dorénavant, en tant qu'humble amateur baroqueux). Non moins évidemment, le répertoire évoqué tourne autour de ces six "suites" de J.S. Bach pour violoncelle seul, écrites pour et retranscrites par Anna-Magdalena, qui vinrent fonder et consacrer l'incontournable ampleur de cet instrument dans cette tessiture (de baryton, grosso modo), pour devenir l'une des oeuvres incontournables de la musique occidentale. Dommage que l'auteur ne connaisse pas mieux l'apport apporté par la ré-étude de cette musique à la lumière de la redécouverte des fondements de la musique baroque. Mais leur exhumation par Pablo Casals (dont est évoqué "le chant des oiseaux" p. 216) constitua un évènement majeur : c'est également par lui que je découvris ces suites il y a maintenant presque soixante ans (!), oeuvres qui ne m'ont plus jamais quitté... et qui furent à l'origine de ma décision de me consacrer dorénavant au violoncelle baroque.

Un roman antérieur :
- Mizubayashi Akira (1951-) – "Un amour de Mille-Ans " – Gallimard / Folio, 2017 (ISBN 978-2-07-278229-9)
Toujours sur la même trame, l'auteur évoque ici la rencontre d'une cantatrice, ou plutôt de sa voix de soprano. J'adhère volontiers au postulat énoncé ici par l'auteur : une belle voix féminine exerce (sur la plupart des hommes ?) un pouvoir quasi ensorcelant (p. 153-155). le roman tourne principalement autour des "Noces de Figaro" (Mozart), l'un des sommets de la musique occidentale. Les perspectives ouvertes par les remarques formulées pp. 87-88 sont d'une extrême justesse. Plus rigolo (pour moi), l'auteur évoque (pp. 162) un Lied de Schubert (Gute Nacht) que je suis précisément en train de travailler.

Par ailleurs, sans y insister, l'auteur révèle un peu de sa façon de travailler pour obtenir cette maîtrise ahurissante de la langue française : il rend hommage (p. 73) au "Petit Robert" puis explicite plus longuement (pp. 156-157) pourquoi et comment il se mit à l'apprentissage du français.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur ces romans, mais le plus simple, c'est encore de les lire, puis de les offrir autour de soi, à toute personne sensible de près ou de loin à la musique...

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Sublime !!! Voilà le mot me vient à l'esprit immédiatement à la fin de cette lecture. Je n'y connais rien en musique classique, et pourtant, j'ai écouté cette "suite inoubliable", j'ai lu la mélodie des mots et apprécié ces morceaux au violoncelle. Je découvre cet auteur, et ne manquerai pas de lire ses autres livres. Cerise sur le gâteau, j'ai découvert "Le chant des oiseaux" de Pablo Casals, j'en ai eu les larmes aux yeux et des frissons, tant ce morceau est merveilleux. J'ai cheminé de découvertes en découvertes et d'émotions en émotions ...que demander de plus :-)
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Dans ce roman rythmé par Bach ou Pablo Casals, nous suivons les destins entrecroisés de plusieurs musiciens et luthiers passionnés et virtuoses , de 1945 à nos jours, dont le fil conducteur est un magnifique violoncelle : le Goffriller, du nom du prestigieux luthier italien du XVIIᵉ siècle qui l'a créé. La jeune luthière qui a pour mission de le restaurer va découvrir qu'il cache bien des secrets et a été témoin de pages d'histoire bien tourmentées.

Mais il y a hélas un second fil conducteur, tragique cette fois, la seconde guerre mondiale et ses ravages au Japon. C'est une page de l'histoire que je connais mal et ce roman en offre une approche intéressante et très touchante.

Les liens vont peu à peu se révéler entre les différents personnages autour de cet instrument.

A conseiller tout particulièrement aux amateurs de musique pour les descriptions des programmes des concerts et des nombreuses pièces de violoncelle jouées !
Lien : https://toursetculture.com/2..
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C'est le titre et le résumé qui m'ont tout de suite attirée lorsque j'ai vu ce livre. En plus, l'image d'un instrument à cordes apposé sur la couverture m'a tout de suite donné un indice sur le sujet. J'aime les romans se passant dans l'univers de la musique et des musiciens. Une de mes filles a joué du violon, une autre joue encore du piano, et ma dernière joue du violoncelle. Je disais toujours que j'aurais pu faire un orchestre avec elles. Donc j'ai une affection pour la musique et les musiciens. En plus, l'auteur est japonais, et je connais leur sensibilité qui donne toujours des histoires très délicates.

Le roman commence par une longue lettre d'Hortense Schmidt. Elle date de 1945, elle est Française et vit au Japon où elle est luthière. Elle parle de son métier et de sa rencontre avec un musicien brillant, Ken Mizutani, dont elle a eu la chance de réparer son violoncelle. La chance car l'instrument est ancien et fabriqué par un luthier renommé, Goffriller en 1712. Il aime jouer les Suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach. Mais la guerre fait rage, et Ken doit partir se battre. L'histoire fait ensuite un bond en 2017, où on va suivre un autre musicien, Guillaume Walter, violoncelliste lui aussi, qui s'est vu confié l'instrument de Goffriller. Il contacte Jacques-Rei Mizusawa, luthier, pour réparer son instrument qui a une fracture d'âme. Pamina Schmidt travaille avec lui, et va s'occuper du violoncelle. En le démontant, elle découvre dans le tasseau une lettre et une vieille photo d'un jeune homme jouant du violoncelle. Elle reconnaît celui-ci comme celui qui se trouve dans le magasin de musique de son père. Il ressemble comme deux gouttes d'eau à celui de Goffriller, le même rouge sombre cerise. Pamina va rechercher et trouver d'autres inscriptions, des initiales, une formule latine. Aidé de Guillaume, elle va partir à la recherche de ses racines. 

Je me suis très vite attachée aux personnages, que ce soit ceux du passé ou du présent. Ils sont tellement sensibles, beaux dans leurs façons d'être. Je me doutais bien de ce qui allait arriver à Hortense et Ken, vu les années qui les séparent de Pamina et Guillaume. Mais les suivre dans leur propre histoire a été très émouvant. Les fantômes du passé viennent hanter le présent, toujours en lien avec la musique et les suites de Bach. D'ailleurs, l'auteur a construit son livre comme l'a fait Bach pour ses suites, en six parties, le Prélude, l'Allemande, la Courante, la Sarabande, les Menuet I et II, et la Gigue. Cette partition est le fils rouge qui relie tout ce petit monde. 

J'ai beaucoup aimé ce livre, je dirais même que c'est un très beau coup de coeur. J'étais bien dedans, je n'avais pas envie de le quitter. Il s'est lu rapidement, l'envie de savoir était tellement forte, et en même temps j'avais envie de ralentir ma lecture pour rester le plus longtemps possible avec les personnages. L'auteur les a bien travaillés. Il parle de sujets variés, d'amour filial, de transmission entre un père et un fils, entre une grand-mère et sa petite-fille, des désastres qu'une guerre peut faire, de l'amour de la musique.. Plein de thèmes très inspirants. La lecture est rythmée par les évènements, par la construction des suites, et par des chapitres parfois courts. 

Je découvre l'auteur avec ce roman. J'ai vu dans sa biographie qu'il en avait écrit deux autres avant, sur le thème de la musique aussi, avec d'autres instruments comme le violon et l'alto, "Âme brisée" et "Reine de coeur". Vu comme j'ai aimé celui-ci, j'ai déjà noté dans ma wishlist les deux autres. J'ai très envie de le lire à nouveau, d'être embarquée une nouvelle fois dans le style très musical et poétique de l'auteur. J'ai beaucoup aimé son style, la fluidité des phrases, la poésie des mots. J'ai de nouveau écouté les suites pour violoncelle de Bach, chaque mouvement accompagne très bien le rythme du livre. Un autre musicien est évoqué, Casals et son Chant des oiseaux...., je ne connaissais pas et suis très contente de l'avoir découvert. 

C'est une lecture personnelle, j'ai emprunté ce livre à ma médiathèque, mais je pense que je vais l'acheter pour l'avoir dans ma bibliothèque. Et ainsi pouvoir le relire quand j'en ai envie. 

Je ne peux que vous conseiller ce roman, il est très beau, lumineux, porteur de beaux messages et d'une très belle sensibilité. À lire !

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