Avis mitigé pour ce roman au titre aguicheur qui, dans sa langue d'origine, s'intitulait tout simplement "El Anillo" et ne portait aucune référence aux Templiers.
Bon, p'têt bien que l'éditeur voulait en vendre plus en titillant la curiosité avide de certaines lectrices passionnées par les Templiers comme votre serviteur...
Le roman est "pas mal" mais sans plus. Ne pas le lire n'aurait rien changé dans ma vie.
Écrit à la première personne du singulier, il nous plonge dans l'intimité de l'héroïne, malheureusement, au détriment d'autres faits dont nous aurions eu connaissance en mode "narrateur".
Autre problème : l'héroïne ne m'a pas fait un effet boeuf et je n'en garde pas un souvenir impérissable.
De plus, un autre truc m'a fait "tiquer" : l'histoire commence à NewYork. Non, ce n'est pas là le problème. Notre héroïne palôte nous expliquer qu'elle habite devant les Twin Towers... Pendant que la télé montrait les gens en direct se jeter par les fenêtres, et bien, elle préférait s'envoyait en l'air avec son mec, qui, deux pages plus tôt, la demandait en mariage...
Heu ? D'accord...
Tout le reste, c'est "pas mal", avec une tendance de "pouvait mieux faire" et l'héroïne reste plus plate que le plat pays chanté par l'ami
Jacques Brel. Là, il y avait au moins les dunes pour donner du relief. Dans le roman, pas.
On le lit sans le lire... parce qu'il faut bien savoir comment ça va se terminer.
Tous les ingrédients étaient réunis pour faire un chouette roman, mais pas de chance, il n'est pas emballant.
Vous en mourrez pas si vous passez votre chemin.
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