D'abord, merci à
Yves Montmartin de m'avoir adressé son livre, et il est difficile d'écrire une critique négative d'une oeuvre que l'auteur vous a offerte, surtout quand la majorité des avis sont très positifs.
Néanmoins, ce serait mentir qu'ajouter ma plume à ces louanges car je n'ai pas apprécié cette lecture. Même si la première de couverture et le prologue me semblaient prometteurs, je me suis rapidement senti étouffé par cet ensemble de courtes phrases, volontaires de la part de l'auteur sans doute, mais, pour ma part, je suis amateur de développements plus alambiqués.
Ensuite, l'histoire, bien que malheureusement réaliste, m'a paru très naïve, l'ensemble des faits relatés par l'héroïne, souvent avec une tonalité d'enseignement par rapport aux coutumes algériennes, au Coran, aux différentes fêtes religieuses, ne m'ont pas atteint autrement que par une accumulation sociologique.
J'ai quand même ressenti beaucoup d'empathie pour Amira, brillante, sensible, émouvante et de côté-là
Yves Montmartin a réussi à faire passer l'émotion.
Donc, désolé, Yves, de n'avoir pas éprouvé les mêmes sentiments que les autres lecteurs et merci encore d'avoir pensé à moi.