AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,29

sur 128 notes
5
70 avis
4
37 avis
3
10 avis
2
3 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Amira vit en Algérie, entre son père et sa mère, Salim et Hadjiba, sous le regard bienveillant de sa tante Nour qui a tout fait pour ne pas être mariée et rester libre. Elle grandit en compagnie de Loubna, une voisine du même âge ; les deux filles sont inséparables.
À l'adolescente, Loubna tombe amoureuse de Driss, un cousin d'Amira qui vit avec sa famille en France, à Lyon. le jeune homme l'épouse et ils s'installent à Lyon, près, trop près, de la famille de Driss.
Amira poursuit ses études et sa recherche de liberté et devient professeur de français dans un des meilleurs lycées d'Alger.

Dans ce roman, plutôt court, j'ai apprécié :
- la qualité de l'écriture, simple et directe, sans fioritures inutiles ou recherche d'effets de style. le roman se lit facilement ;
- la description de la vie d'une fille, puis d'une femme, dans l'Algérie d'aujourd'hui, où les traditions culturelles et religieuses semblent encore bien ancrées. le roman se lit avec intérêt.
J'ai moins apprécié la dernière partie, la décision d'Amira d'accepter un mariage puis sa vie en France, qui mériteraient d'être plus développées. Je trouve que le texte ne décrit pas assez les ressorts psychologiques, culturels et religieux qui transforment profondément la vie de la jeune femme. J'en retire le sentiment que tout cela est un peu parachuté (par exemple l'hostilité de la belle famille) et que la narration du dénouement est un peu bâclée.
Dommage...
Lien : http://michelgiraud.fr/2021/..
Commenter  J’apprécie          600
Lorsque Yves Montmartin m'a proposé de me confier son roman, je n'ai pas hésité longtemps, attirée par le côté psychologique annoncé en 4ème de couverture.
J'ai apprécié découvrir l'histoire d'Amira, cette jeune Algérienne qui grandit entourée de ses parents aimants et attentionnés. Elle est intelligente, cultivée, à une certaine soif d'indépendance. Elle évolue dans un pays où la religion, les traditions sont encore bien ancrées, où il est difficile pour une femme de faire sa place.
L'écriture est plaisante, sans fioritures. le roman se lit facilement, avec intérêt.
Nous ressentons très fortement que l'auteur y a mis tout son coeur et son énergie.
Il nous explique qu'il y a une part de réel, de témoignage, dans cette fiction. C'est ce qui en fait toute sa force !
Malgré cela, je dois avouer qu'il m'a manqué un ingrédient (principal) pour m'attacher à Amira, à sa vie, à son histoire...
Toute la psychologie des personnages, des situations, est trop sommairement développée pour moi.
Les événements s'enchainent trop hâtivement, sans être approfondis.
On survole beaucoup trop !
La descente en enfer de la jeune femme, toute la tragédie de l'histoire en deviennent incompréhensibles. Ses décisions, ses actes, nous interrogent.
Comment en est-elle arrivée là ? C'est impensable... Parce que selon moi, nous n'avons pas toutes les clés... Les détails du long et lent cheminement vers la destruction...
En parallèle, toutes les parties qui touchent aux traditions et à la culture algériennes sont très documentées. Peut-être trop didactiques, d'ailleurs, par moment, venant "casser" la narration, le rythme. Mais c'est toujours sympa de s'instruire au cours d'une lecture.
Ce n'était pas une mauvaise lecture, loin de là, mais pour la lectrice de thrillers psychologiques que je suis, ça m'a semblé trop léger, surtout quand on connait le dénouement qui lui, m'a choquée.
Merci beaucoup Montmartin pour cette lecture, votre confiance et aussi pour ce petit clin d'oeil à notre jolie communauté, avec Scriberio.
Commenter  J’apprécie          500
Je n'ai que trop tardé à écrire ce billet. C'est qu'il est difficile dans un concert de louanges de mettre pesamment son bémol. Et encore plus difficile de critiquer un livre envoyé si gentiment par un ami babeliote qui vous a fait confiance.

La mauvaise herbe est un livre courageux, par ces temps d'integrisme et de menace faite aux femmes qui revendiquent égalité, autonomie et respect. Il est plutôt bien écrit, très simplement, sans coquetteries stylistiques ou narratives, et déroule son histoire linéairement avec une grande clarté. Il est plein d'enseignements sur la culture et la vie algeriennes.

C'est justement là que, pour moi, le bât blesse.

Ces enseignements ne se fondent pas au récit, l'eclairant subtilement de l'intérieur. Ils sont souvent dispensés de façon très didactique, créant des pauses narratives qui deconnectent le lecteur et font de lui un "apprenant" (pour reprendre les vilains mots de la didactique) faisant des personnages des cas d'école, exemplaires mais sans vitalité romanesque.

J'ai lu le livre d'une traite et sans déplaisir mais je ne me suis pas attachée à une héroïne qui pourtant avait tout pour me plaire.

Je n'ai pas compris non plus comment une jeune fille déterminée, éduquée, forte et lucide pouvait s'engager aussi aveuglément dans un mariage calamiteux et subir de telles pressions sans trouver les moyens d'y répondre, dans la ville française où elle réside. On vole vers la catastrophe comme si la première partie du livre, attentive et patiente, et aussi plus attachante et vraisemblable, n'avait pas existé.

Un livre courageux, donc, mais où le souci documentaire nuit à l'émotion et à l'identification du lecteur. et dont la conclusion dramatique semble forcée par une volonté démonstrative.
Commenter  J’apprécie          409
Je remercie l'auteur, Yves Montmartin, pour sa confiance en me proposant la lecture de son roman qui semble avoir trouvé ses lecteurs.

J'ai tout de suite ressenti de l'empathie pour Amira, l'héroïne de ce roman qui se passe entre Algérie et France, un roman qui décrit la condition de la femme musulmane prisonnière des traditions et du pouvoir des hommes. Pourtant, cela n'empêche pas amour et amitié.
Dans cette Algérie qui a gagné son indépendance, l'enfance d'Amira est heureuse. Tout en respectant les us et coutumes, elle rêve d'indépendance et veut faire des études, avoir un métier.
A travers le destin de son amie Loubna, on découvre les rituels du mariage arrangé par les familles.
Le personnage de la tante Nour interpelle le lecteur, elle est la seule à ne pas s'être pliée aux injonctions familiales et à avoir refusé le mariage. Elle vit seule avec son chat et ne dépend de personne grâce à son métier d'infirmière.
On découvre aussi la réalité de l'émigration en France, et les traditions qui perdurent de l'autre côté de la méditerranée où les femmes, sous le regard inquisiteur de la famille, ont d'énormes difficultés à s'émanciper.
Le combat d'Amira contre la violence conjugale et familiale et pour son indépendance est touchant et j'ai regretté que cette partie ne soit pas plus développée.
Le thème de ce roman est passionnant, il fallait de l'audace pour l'aborder, néanmoins, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. C'est très bien documenté mais j'ai été très vite submergée par cette surabondance documentaire qui ralentit l'histoire. (N'eut-il pas été plus judicieux de placer en annexe ces informations ?)
Une lecture qui me laisse sur ma faim.

Commenter  J’apprécie          350
***

Amira est algérienne. Elle vit dans un village, heureuse, entourée d'une famille aimante et d'une amie précieuse. Elle grandit, s'instruit, et devient professeur de français dans un lycée renommé. Mais arrive l'âge où il faut penser au mariage et à cet enfant dont Amira rêve en secret. Et la vie chavire...

Je tiens à remercier Yves Montmartin qui m'a gentiment proposé de lire son roman.

Faits réels, fiction, tout se mélange un peu. Amira est une jeune fille qui avait tout pour être heureuse. Aimée, instruite, elle vit de sa passion : la lecture, les livres, le français et l'enseignement. Mais à 26 ans, elle doit penser à fonder sa propre famille. Elle épouse alors un homme qu'elle n'aime pas mais qu'elle connaît. Ce qui la rassure. C'est peut-être ce qui m'a le plus touché dans ce roman : cette innocence face au monde...

Malheureusement, une fois loin de sa famille, de son pays, le visage de son époux change. Envolées les promesses de liberté, de joies et de rires. Effacé le rêve d'une famille unie et chaleureuse. Enfermée, coupée de ses rares amies, Amira prend conscience de sa condition. C'est une épouse écrasée par le poids des traditions, soumise et violentée...

J'ai été bousculée par le rythme du roman. Les derniers chapitres arrivent abruptement, les coups nous surprennent, la méchanceté nous cueille sans prévenir. Et puis cette fin...

Un roman tout aussi lumineux que sombre, entre amour et haine, rêves et prison. Une histoire bien triste qui nous fait chérir un peu plus notre confort, nos proches et les liens qui nous unissent.
Lien : https://lire-et-vous.fr/2021..
Commenter  J’apprécie          290
Un roman sensible qui nous livre, au travers du parcours de vie de la jeune Amira un témoignage du peu de considération faite aux femmes par la gent masculine, en général, et en particulier là où la religion et les traditions sont fortes et incontournables. Et pourtant, la vie d'Amira enfant et adolescente a été heureuse, avec des parents attentionnés
,une solide amitié nouée avec Loubna et quelques années de professeure célibataire . N'aurait-elle pas dû suivre l'exemple de la tante Nour ? Malgré les réelles qualités de témoignage de ce roman récit, il manque toutefois un souffle littéraire et l'écriture un peu lourde et heurtée n'en favorise pas la lecture. Néanmoins, merci à l'auteur de son souci de partage de ce roman avec les Babelionautes gourmands d'écrit.
Commenter  J’apprécie          150
J'étais parti très enthousiaste sur le sujet, jusqu'à reporter mes lectures actuelles, mais je doit dire au fur et à mesure.... Quand le sujet va vraiment être abordé!
Tout commence il faut le dire très bien, une petite fille qui se sent un mauvaise herbe rebelle.... Et on s'attend d'une page à l'autre à voir le sujet tant promis..... Mais pendant 180 pages on voit surtout un enfermement de la femme occidentale dans l'attente, par de veine promesse que les rêves de petite fille de son amie se réalise.... On attend on attend, son amis meurt de leucémie au cours d'une grossesse, bizarre!.... Pourtant cela démarrait bien, et l'on se dit cette petite fille devenu femme ne va pas se marier!
On ne comprend pas bien, très rapidement suite à son diplôme elle trouve un emploi.... Pourquoi alors les Algériens viennent- en France, si c'est si facile d'avoir du travail.... le vrai point positif, c'est si vous voulez apprendre beaucoup de chose sur la culture algérienne vous apprenez beaucoup.... Sauf une chose.... le gavage de la fiancée que mon père a observé hélas, par tout l'entourage.... et qui pourtant, n'a rien à voir avec le Coran.... ON dit juste qu'ils aiment les femmes rondes, mais absolument pas ce gavage systématique de la fiancée passé sous silence! le FLN vient comme un cheveux sur la soupe sans raison.... Pour pleurer sur deux femmes terroristes sauvé par le Fameux Verges, dont les plaidoirie on fini par faire de la justice française un simulacre au non des droits de l'accusé! Verges l'homme au passé trouble (disparue un moment dans les méandres des sociétés très obscures islamiste, un héro, Verges qui a exigé le paiement de ses honoraires d'avocat alors que devait soit disant une croix dessus si son client était condamné à mort! j'ai vu cela dans un documentaire.... Et la l'héroïne comble du comble, épouse le veuf de sa meilleure amie, celui pour lequel elle s''est privé de tout ses rêves;... Et la vient enfin les réprimandes les insultes.... à la femme qui après quelques légères protestations, c'est marié.... et enfin à 60 pages de la fin on lit vraiment ce qui se passe en France les insultes... La femme était mieux traité en Algérie seule, étudiant, refusant le mariage, qu'en France.... On ne comprend pas bien.... Et on n'a pus vraiment envi de lire la fin.... Parce que le sujet véritable du livre ne vient qu'à la fin, avec une femme supposée rebelle qui ne veux pas se marié mais se marie quand même! Dommage, cela commençait si bien... Et pourtant, si son amie avait vécu (au lieu de mourir d'une leucémie), si l'héroïne n'avait pas autant de facilité à trouver un travail, finissait par avoir les confidences de sa meilleure amie!!!! Si on avait parler des femmes qui avaient trahis le FLN choquées d'être obligées de poser des bombes pour tuer des civils dont des femmes et des enfants, si on avait dès le début une thèse / antithèse sur l'interprétation du coran montrant, que non ce n''est pas la religion musulmane qui enferme la femme, ce n'est qu'un prétexte... Et bien là cela aurait fait un très bon livre... Dommage 180 pages où l'on apprend surtout la culture algérienne, c'est très intéressant. Mais ce n'est hélas pas ce qu'on nous avait promis! On s''attendait à une femme révolté guerrière, comme sa tante Nour...célibataire et infirmière, mais qui on ne comprend pas bien pourquoi fait partit du complot du mariage.... Dommage, c'était prometteur... A lire surtout pour la culture algérienne, mais pour le droit des femmes, c'est hélas très léger.... Et pourtant, je me réjouissais de le lire.... Alors merci de ce livre gratuit à l'auteur, mais franchement moi, française 51 ans bac +4 au chômage, depuis la fac je ne vois pas comment je peux mettre une bonne critique à un livre qui montre tant de facilité pour trouver du travail.... même en France, ce n'est pas le cas.... The Tenth Kingdom, pourtant un livre fantasy est plus réaliste qui montre Virginia au chômage... Car oui, ce n'est pas si simple, on a un diplôme on trouve du travail, et bien non en France ce n'est pas la situation actuelle... Et certainement pas aussi en Algérie ....
Commenter  J’apprécie          111
Comme je l'ai déjà indiqué dans un autre contexte, donner son sentiment sur un texte qu'on nous a gentiment proposé par voie numérique, soit dans le cadre d'une masse critique, soit plus directement, relève de l'exercice acrobatique. Il s'agit en effet de cheminer sur une ligne de crête entre expression d'un ressenti sincère sur un texte littéraire qu'on n'a pas vraiment choisi et crainte d'être taxée d'ingratitude par l'auteur (ou l'éditeur) qui cherche légitimement à créer une activité critique positive autour de son roman.
Comme l'auteur de "La mauvaise herbe" me l'a écrit, « toute lecture est une rencontre entre un livre et son lecteur », et il est vrai que la réaction chimique ou alchimique née de cette rencontre est rarement prévisible et d'ailleurs pas toujours reconductible. Trêve de préliminaire, je crains que la rencontre n'ai pas provoqué le feu d'artifice attendu.

L'histoire d'une jeune fille née en Algérie qui va chercher à s'émanciper en s'appuyant sur l'école et l'amour de la littérature, et vouloir sortir de sa condition de femme soumise vouée à entretenir le linge, la vaisselle, les enfants, la maison et les parents d'un homme qu'on aura choisi pour elle, est en soi un thème porteur et intéressant. Amira a de bons atouts pour devenir une héroïne attachante. Cependant, le récit très linéaire, qui s'étire chronologiquement de l'enfance à l'âge adulte, sans grand relief ni événement particulier, hormis l'amitié grandissante avec la fille des voisins et l'accession d'Amira à la carrière de professeure de français, est plus souvent prétexte à une description des traditions islamiques un peu scolaire et artificielle qu'à une identification du lecteur au personnage de cette jeune femme. J'ai espéré que l'intrigue romanesque décolle mais l'histoire est restée descriptive, les frères très absents, le père et la mère peu explorés, l'amie trop conventionnelle. J'aurais aimé que le personnage de la tante Nour, un peu hors norme et décomplexée soit plus présent et sulfureux. Quelques mots sur le style: la syntaxe des phrases souvent très courtes ou alors faites de propositions juxtaposées manquant de fluidité ne m'a pas convaincue.

Moi qui aime les personnages psychologiquement fouillés, n'ai donc pas vraiment « rencontré » Amira, une « mauvaise herbe » bien peu rebelle, surtout lorsqu'elle sera mariée à Driss, choisissant finalement une option de reddition sans réel combat, une attitude difficilement compréhensible pour une femme beaucoup plus instruite et cultivée que ses tortionnaires, une femme qu'on nous décrit comme autonome et indépendante dans son pays natal. L'option d'Amira qui se coupe de sa famille aimante, de sa voisine aidante, de son adorable amie portugaise pourvoyeuse de livres numériques, préférant subir sans un mot la violence du mari, la malveillance gratuite et pas très compréhensible de sa belle-famille, je ne l'ai pas vraiment comprise. Ce renoncement m'a laissée dubitative jusqu'à l'inattendu point d'orgue, assez abrupte.

Je suis bien consciente de faire partie des trois ou quatre lecteurs les moins enthousiastes de la page mais la flatterie et l'insincérité ne font pas partie de mon code génétique "encore"intact.

Ce livre, que j'ai lu pour autant sans déplaisir, n'a pas coché pour moi toutes les cases mais je ne doute pas, malgré ce commentaire mitigé, qu'il les cochera pour d'autres et trouvera ses lecteurs.
Commenter  J’apprécie          86
Merci à Yves Montmartin de m'avoir permis de découvrir son roman La mauvaise herbe.
L'histoire a déjà été très bien résumée par d'autres lecteurs.trices , je vais donc essayer de vous dire ce que j'ai aimé et moins aimé dans ce roman.
Ce roman est plutôt bien écrit, même si j'aurais aimé plus de nuances dans les portraits des personnages.
J'ai aimé l'idée de suivre l'histoire de toute la vie de cette jeune Algérienne, de condition modeste, mais qui grâce à son travail et sa personnalité, réussit à accomplir son rêve d'être professeure de français. Cependant, les sentiments et personnages sont décrits extrêmement brièvement, sans introspection ni suspense. Au point que je me suis dit que le roman pouvait être destiné à de grands enfants ou jeunes adolescent.es (9-14 ans).
Par ailleurs, la dernière partie de l'ouvrage est totalement en rupture avec les trois premières. Amira accepte un mariage arrangé avec le veuf de sa meilleure amie, décédée quelques années auparavant. La raison? Elle e envie d'avoir un enfant. Bien, mais ne pouvait-elle fréquenter un jeune homme près de chez elle? Ensuite, toute l'histoire est caricaturale: le déracinement en banlieue lyonnaise, la méchante belle-famille, le mari de plus en plus désagréable et violent, et enfin le divorce, qui semble tellement insupportable à Amira qu'elle met fin à ses jours et à ceux de son fils.
Cette dernière partie m'a déplu, car on ne retrouve pas du tout la jeune fille volontaire et énergique du début du livre. de plus, il me semble qu'en Europe elle aurait pu mieux défendre ses droits de femme battue, séquestrée et obtenir la garde de son fils si divorce il devait y avoir.
Finalement, la fin est tellement violente et inattendue que je ne suis pas certaine que ce roman convienne à des lecteurs.trices de 9 à 14 ans.
Commenter  J’apprécie          41
Un livre qui commence avec une seule voix celle de Amira.
A travers sa vision, on découvre l'Algérie moderne.
Certes l'auteur c'est bien documenté, il nous décrit l'implantation du premier supermarché du quartier. Je me dis qu'il va faire partie de l'histoire pour être tellement mis en avant. Puis non, c'est pour planter un décors.
Du côté écriture, il n'y a rien à dire, je le félicite même d'avoir corriger à la main plusieurs coquilles, ça à dû lui prendre du temps.
L'histoire est belle.
J'ai juste un regret avec la fin, pourquoi nous parler de tous ces gens qu'on ne connait pas et qui ne vont pas faire partie de l'histoire.
C'est le genre de fin qu'on a beaucoup vu dans des biographies et ça me chagrine qu'on ne trouve jamais des histoires qui finissent bien.
Commenter  J’apprécie          30


Lecteurs (190) Voir plus



Quiz Voir plus

Jésus qui est-il ?

Jésus était-il vraiment Juif ?

Oui
Non
Plutôt Zen
Catholique

10 questions
1836 lecteurs ont répondu
Thèmes : christianisme , religion , bibleCréer un quiz sur ce livre

{* *}