Ainsi donc, à ce monument artistique que j’ai voulu élever à la mémoire de Decamps chacun de ses admirateurs aura apporté sa pierre. S’il est, ainsi, vraiment digne de celui dont il voudrait perpétuer à jamais la gloire, je suis heureux d’avance de renvoyer à chacun de mes bienveillants collaborateurs la part d’un succès qu’ils m’auront si bien aidé à atteindre.
Nous avons trop aimé l’homme, nous admirons trop, même dans ses défauts, l’illustre artiste, et le grand peintre, pour n’avoir pas craint que nos préférences personnelles n’enlevassent à nos appréciations quelque chose de cette impartialité qui en est la condition première.