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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Cette bande dessinée pleine de légèreté et de nostalgie nous replonge dans les années 1970, dans l'adolescence d'un François Morel éperdu d'amour pour Isabelle Samain. C'est amusant et touchant de voir le tout jeune homme, timide et maladroit, gérant difficilement ses premiers émois amoureux.

Les dessins restituent très bien l'atmosphère des années 1970 avec les couleurs, la déco des maisons, la mode (les sous-pulls !), etc. Représenter la conscience ou les émotions du héros par des personnages colorés transparents, un peu comme des anges gardiens toujours dans les parages, est une bonne idée pour illustrer le tumulte de ce qui peut se passer dans la tête d'un adolescent amoureux.

J'ai ainsi passé un bon moment avec ce récit où l'on retrouve l'humour empreint de tendresse de François Morel.
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François Morel est un des invités de la Fête du Livre de Bron qui battra son plein tout le weekend ( voir notre entretien avec le directeur de la manifestation) et sera l'acteur principal d'un grand entretien, à l 'occasion de mettre en avant son album, " c'est aujourdhui que je vous aime" récemment édité aux Arènes avec l'aide ô combien précieuse de l'illustrateur Pascal Rabaté.



C'est aujourd'hui que je vous aime”est paru le 30 janvier, publiée aux Éditions Les Arènes.

À 12 ans, François découvre l'amour, les premiers émois. Elle s'appelle Isabelle Samain. Elle est belle et elle est inaccessible. Et les hormones qui s'en mêlent. Qui devient-on quand on grandit ? Un chic type ou un sale gosse ? Ces questions donnent lieu à un roman, un spectacle, et aujourd'hui à un album de Bande Dessinée… “

A Baz'art on a dit depuis longtemps à quel point on est sacrément touché par sa petite musique singulière et le regard tendre qu'il portait sur l'humanité et sur les gens, pas du genre , comme d'autres pourraient le faire( pas besoin de donner des noms) à tirer sur les ambulances et à lyncher ceux qui sont déjà à terre.

Pascal Rabaté, bien illustrateur reconnu dans le milieu de la BD avec notamment une adaptation en bande dessinée du roman d'Alexis Tolstoï Ibicus qui lui valu un succès critique et public notable, et même quelques jolies incursions dans le cinéma, adapte très joliment le roman de François Morel publié aux Éditions du Sonneur),

Excellent auteur de chroniques, on aime le plume savoureuse de François Morel , lestée d'un humour tendre et personnel

Il a redoublé d'ingéniosité pour matérialiser les mots afutés du comédien et romancier qui évoquent les premiers émois amoureux en toute simplicité. pétillant, sans prétention et souvent drôle. le thème du premier amour est abordé avec la singularité qui le caractérise.

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Quand deux artistes de talent s'associent, cela donne un ouvrage sensible, génial et intemporel sur l'adolescence et ses premiers émois amoureux.
Le p'tit gars de chez nous, Francois Morel, se souvient de l'adolescence, cette période toute de fougue rentrée, de lyrisme exacerbé par la frustration.
Forcément autobiographiques, ces souvenirs sur cet âge ingrat où l'on est entourė mais solitaire, pas encore grand mais plus tout à fait petit, poète mais pas que, obsessionnel et lunatique, sont touchants et drôles à la fois. Les copains d'école plus expérimentés ou simplement plus menteurs, les parents qui ne comprennent rien, les Isabelle Samain (aaah ! Isabelle Samain, Isabelle Samain, Isabelle Samain.... !) ou les Eric Tartenpion, les " je te raccompagne et puis après tu me raccompagnes" sans fin, on a tous connu ça.
Pas un autre que François Morel ne pouvait mieux en parler. Alors quand un des meilleurs de la bd met en image la poésie de Morel, c'est juste délicieux. Les dessins clairs, colorés, poétiques et réalistes de Pascal Rabaté sont un vrai plaisir pour les yeux.
Alors je ne sais si c'est la plume de Morel qui s'accorde bien avec les crayons de Rabaté, ou le contraire, le résultat est que l'addition des deux est parfaite. Ces deux-là se connaissent bien, s'estiment et s'aiment et cela se voit.
Aaah ! Francois Morel, Francois Morel, François Morel, François Morel... (ad. libitum) pourrais-je dire moi aussi ; quel bonheur que cet artiste que j'ai eu récemment la joie de voir sur scène (et d'avoir pu parler un petit peu avec lui, et, tac !! ).
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J'ai l'habitude du style de François Morel au théâtre, ses one man shows, dans ses rubrique radio ou dans ses livres. Ici, sa prose disparaît au profit du dessin, celui de Pascal Rabaté, simple et léger. Même avec une économie de Mots, François Morel reste François Morel. le récit raconte les émois amoureux d'un collégien, timide, qui rêve d'une aventure avec Isabelle Samain. On retrouve bien son personnage, rêveur, naïf, ancré dans son époque, Pascal Rabaté accentue la nostalgie du début des années 70 en semant quelques indices, objets, nom des magasins... François Morel regarde sa timidité d'alors avec cette tendresse et cette pointe d'humour qui font sa particularité, son talent que j'apprécie toujours. C'est drôle, léger et fin, comme d'habitude.
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BD empruntée par ma fille à la médiathèque de sa ville, et que j'ai que j'ai eu tout juste le temps de lire pendant les siestes de sa fille ! 

Une BD qui raconte les premiers émois amoureux de François Morel.

Un texte qu'il me semble déjà avoir entendu pendant la retransmission d'un de ses spectacles et qui a été superbement mis en images par Pascal Rabaté, le dessinateur déjà découvert dans La déconfiture. 

Une histoire très douce dont jeune garçon dont les engouements sportifs sont aucci variables que ceux de celle qu'il convoite, au désespoir des parents qui achètent le matériels successifs. 

Son prénom écrit à longueur de lignes du papier quadrillé Seyès, le désespoir de la voir prendre la main d'un autre qui s'avère être son cousin, ouf ... 

Le désespoir de ne savoir comment s'y prendre, la virée dans une rue chaude, le désespoir ... 

Bref comment dire qu'on aime quand on a qUINZE ANS § 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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Pour commencer, il faut que je vous dise un secret .... Christine Beausson est mon surnom sur Babelio mais en vérité je m'appelle isabelle Samain.... alors vous comprendrez mon trouble en découvrant cette BD .... que des garçons comme Francois Morel ou Pascal Rabaté aient pu un jour louer ma grâce, ma beauté, mon intelligence, rêver devant mes seins, mes yeux, ma bouche .... je suis estomaquée !
Je comprends enfin où étaient passés mon vieux peigne, ma socquette blanche, mon crayon que j'aimais tant mordillé... j'ai tant cherché toutes ces petites choses ... voilà pourquoi toutes mes recherches sont restées vaines !
Que vous dire ou écrire de plus ... j'ai souri ... je me suis rappelé mes quinze ans...

Revenons sur terre, je vous l'avoue, j'ai souhaité vous faire une petite blagounette, je m'appelle Christine et le temps de cette BD j'ai changé de nom, je me suis souvenue de mes propres premiers émois amoureux, ceux où un simple regard, une main frôlée me transportait moi aussi dans un état second.
Un scénario qui nous projette au temps de Dgéneraldegoal et de Tchalaznavor. Un temps que les plus jeunes ne peuvent pas connaître !
Le croquis est simple,
Le recours à la couleur et la multiplication du personnage pour montrer la précipitation, l'enthousiasme sont très belles trouvailles qui accompagnent la réflexion tout au long des pages.

Je vous abandonnerais à la saine lecture de cette bd, car c'est l'heure de réciter ma prière favorite ... notre père qui êtes aux cieux, faites que je baise, que je tire, que je nique, que je culbute ...
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