AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,12

sur 391 notes
5
30 avis
4
34 avis
3
12 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est une histoire de famille, le récit fait référence à une scène qui s'est
passée il y a longtemps.
Seule une des soeurs est au courant de ce secret...
Ce mystère emmène le lecteur plusieurs années en arrière et la vie de
Dorothy, leur mère nous est contée.
La guerre... Les bombardements... les années 1941, le lecteur
fait son enquête face à tous ces mystères.
Commenter  J’apprécie          200
1961, Laurel, 16 ans, est témoin malgré elle d'une scène choquante : elle aperçoit sa mère, Dorothy, portant son jeune frère dans les bras, poignarder un homme…

Cette scène, dont elle avait enfoui le souvenir, ressurgira en 2011 comme une nécessité à comprendre le mystère qui entoure ce geste meurtrier lorsqu'une photo de sa mère avec une certaine Vivien, datant de 1941, refait surface…

Dorothy est mourante, délirante et hantée par son passé, semant malgré elle autant d'indices que Laurel s'évertuera à élucider au travers d'une enquête, aidée en cela de son frère Gerry, lui aussi perturbé par ce vague souvenir.

La scène des souvenirs est un roman où s'alternent les points de vue des personnages et les époques. Pour autant, cette alternance ne marque pas de rythme. le style très descriptif et les pages nombreuses (près de 700 !) donnent une impression de lenteur qui personnellement m'a rebutée. Ce n'est qu'au cours des 20-30 dernières pages que les rebondissements s'enchainent… Bien trop tard pour moi.

J'ai lu ce livre sans passion. Il faut dire aussi que la quatrième de couverture m'avait titillée « (…) Laurel vient d'ouvrir la boite de Pandore, libérant les secrets, et les souvenirs. Ceux de Dorothy, qui dorment sous les décombres des bombardements londoniens de 1941, mais aussi les siens – ce terrible et brûlant été de son enfance… ». Et de là j'en avais faussement conclu que le roman se déroulait durant la seconde guerre mondiale (qui est pour moi un thème de prédilection dans mes lectures). Or, la guerre n'apparait qu'en toile de fond, sans plus. Déception donc.

Au final, cette histoire n'est autre qu'un roman à l'eau de rose : la guerre ne jouant qu'un rôle secondaire (et encore !!! presque de figuration !) au profit d'une histoire d'amour aux intrigues assez proches d'un téléfilm de l'après-midi… Les personnages ne m'ont pas parus attachants et n'ont donc pas relevé le niveau, à mes yeux.

Vous l'aurez compris, cette lecture n'est vraiment pas un coup de coeur !
Commenter  J’apprécie          110
Alors qu'elle est encore une toute jeune fille, Laurel est témoin d'un meurtre, celui d'un homme, inconnu, par sa mère. Bien des années plus tard, alors que celle-ci est mourante, Laurel découvre une photo qui pourrait bien être la clé du crime commis quelques 50 ans plus tôt. Elle va donc se plonger dans le passé de sa mère, une jeune femme pleine de rêves pendant le Blitz. Mais à trop fouiller dans le passé, Laurel va exhumer de bien sombres secrets.

Un mot pour résumer ce livre: long! Il m'as fallu plus de 150 pages pour vraiment accrocher au récit avant que celui-ci ne perde de son intérêt face à l'abondance de détails et de digressions qui n'apportent rien au récit (l'enfance de Vivien par exemple!). Un peu plus de concision aurait sans doute alléger le roman. Aucun des personnages ne m'as vraiment éblouie. J'ai même trouvé le personnage de Dolly très antipathique, et quand je n'aime pas le personnage principal, ça part mal pour la suite. J'ai nettement préféré Laurel, sa fille, même si elle n'arrive pas à sauver ce roman très inégal dans l'ensemble. Plutôt déçue par ce roman dont le résumé était pourtant très alléchant.
Commenter  J’apprécie          90
Je me suis lancée dans cette lecture après avoir visionné une vidéo Booktube jugeant ce titre comme le meilleur de l'auteur. Il se trouvait qu'il était dans ma PAL depuis un bon moment. Je me suis dit : "il serait peut-être temps de le sortir pour le rendre à ta tante!". J'ai donc attaqué ce gros pavé en me disant que j'allais me régaler...
Eh bien, cela n'a pas été tout à fait le cas. L'histoire en elle-même m'a plu, le contexte de la seconde guerre mondiale en Angleterre également mais je pense qu'il y aurait besoin de l'écourter un peu... En effet, je trouve que les premières révélations arrivent très, voire trop, tardivement. Selon moi, il est nécessaire de lâcher des petites miettes bien avant les cent dernières pages d'un livre qui en fait 715! D'autant plus, qu'à ce moment-là, il y a un certain nombre d'éléments que l'on devine avant d'arriver au terme, qui ne fait que confirmer nos doutes... Je suis donc un peu déçue de ce traitement narratif.
En revanche, les personnages sont très intéressants et bien approfondis! On a donc la possibilité de les comprendre, de s'attacher à certains (même si nos avis évoluent en cours de récit!).
Commenter  J’apprécie          80
Loin de son niveau habituel, K. Morton déçoit avec son nouveau roman.

La Scéne des souvenirs ne m'a pas séduite de maniére inconditionnelle.

L'intrigue est paresseuse, les longueurs abondent (descriptions en veux-tu en voilà, l'une des mauvaises habitudes de l'auteure, surabondance de dialogues parfois sans impact réel sur l'intrigue, passages creux (la partie sur l'enfance de Vivien notamment)) même l'écriture est moins soignée et les raccourcis narratifs plus grossiers que d'habitude.

Reste les beaux personnages de Jimmy et Vivien.

Comme souvent, chez l'écrivaine l'intrigue avance sur la base d'une succession de quiproquos et rien n'est ce qu'il semble être.

Hélas, il fut frustrant pour moi de deviner le pot-aux-roses assez tôt dans le roman. Environ à 250 pages du dénouement.

K. Morton lasse la fidéle lectrice que je suis en utilisant toujours le même canevas narratif et les mêmes ingrédients romanesques.

Bien que le roman ait du charme et que le plaisir soit au rendez-vous (par intermittence) grâce au cadre historique qui est trés bien planté et à l'atmosphére de la fin de la guerre 39/45 trés bien restituée, il me semble que les romans de K. Morton se déroulant vers la fin du 19ieme siécle et le début du 20 iéme aient davantage de puissance romanesque.
Lien : http://ladelyrante.wordpress..
Commenter  J’apprécie          60
Laurel, fille adulte d'une famille de cinq enfants dont la mère est en fin de vie à l'hôpital. En feuilletant un album de famille, Laurel va trouver une photographie de sa mère, qui ne lui est pas familière, dont la jeune personne avec laquelle elle a été prise en photo lui est inconnue. Ce document va l'interpeller quant à la vie antérieure de sa mère et éveiller en elle divers questionnements auxquels elle va tenter de répondre en ayant recours à de la documentation, à certains contacts encore en vie puisque sa mère a vécu pendant la seconde guerre mondiale. Elle va mener sa propre enquête afin de lever le voile sur la véritable histoire de sa mère.
Dans ce livre, le lecteur retrouve tous les ingrédients chers à l'autrice Kate Morton que sont l'Angleterre aristocrate, les diverses énigmes, l'installation du contexte, l'enquête menée par le personnage principal. Mais c'est toujours très efficace car le lecteur a beau faire des suppositions quant au dénouement, ce n'est vraiment que dans les toutes dernières pages que le voile est levé et que le lecteur obtient toutes les réponses aux questions que le personnage principal s'est posé en le suivant.
L'autrice Kate Morton alterne les deux époques de l'histoire c'est-à-dire les années 1940, pendant la seconde guerre mondiale, alors que la mère de la narratrice n'a qu'une vingtaine d'années et l'année 2011 époque à laquelle ce même personnage est en fin de vie. Cette alternance des deux époques permet entre autre chose de maintenir le lecteur en haleine.
Ce n'est pas le meilleur titre de Kate Morton que j'ai lu car je trouve qu'elle met plus de temps à installer le "décor" de l'histoire et que les questions que se posent le personnage principal tardent à venir mais le dénouement surprend toujours le lecteur car il est différent des hypothèses émises par ce denier.
Commenter  J’apprécie          20
Mon avis :

Pourquoi ce livre ?

Vous le savez peut-être, j'adore les romans traitant de la Seconde Guerre Mondiale, et lorsqu'il met des femmes en valeur ça m'intéresse encore plus. de plus Kate Morton est une auteure dont j'ai entendu beaucoup de bien.

Qu'en ai-je pensais ?

L'auteure nous parle de deux époques :
- 1941, elle nous fait faire la connaissance de Dorothy Smitham, mais pas que, de Vivien Jenkins également. Deux femmes qui vont être liées en Angleterre lors de la Seconde Guerre Mondiale. Elles sont totalement différentes. L'une est femme de chambre, l'autre est la femme d'un élu politique, mais leur destin va se croiser.
- 2011, nous retrouvons Dorothy mourante, mais surtout Laurel l'aînée de ses 5 enfants, qui va découvrir une photo de sa mère, photo qu'elle n'a jamais vue, et qui va l'intriguer.
Nous allons découvrir alors cette histoire, que Dorothy a tout fait pour la dissimuler.

Je suis ressortie assez stupéfaite de ma lecture ! La fin m'a vraiment surprise. Et je dois dire que j'ai bien fait de m'accrocher, car dès le début cela a été assez difficile à suivre. Kate Morton introduit dans son récit pas mal de fait qui n'ont pas l'air franchement utile lorsque l'on commence l'histoire. Beaucoup de descriptions qui ont fait que parfois je me suis ennuyé (et sauté quelques pages ... )
J'ai eu l'impression que l'auteure s'amuse avec ces lecteurs et au final ça m'a plutôt bien plu.

Autant les passages de 1941 m'ont bien plu, autant je me suis vraiment ennuyé en 2011. Certes l'auteure y a introduit un événement clé qui se produit pendant la jeunesse de Laurel et qui va faire qu'elle va s'intéresser à cette photo, mais j'ai trouvais vraiment ces passages pour le coup inutile. Laurel ne découvre rien de plus que nous et nous découvrons toute l'histoire de sa mère avant elle. Cela ne m'a rien apporté.

Le mot de la fin :

Je suis un peu mitigé, mais la fin selon moi vaut vraiment le coup et a su me toucher avec la dernière page ! Je suis contente d'avoir pu découvrir la plume de Kate Morton, je pense réitérer l'expérience avec cette auteure !

Ma note : 3/5
Lien : http://livresdefilles.blogsp..
Commenter  J’apprécie          20
4ème opus de Kate Morton qui reste fidèle à ses recettes. Et si on aime on peut prendre ce roman sans hésiter.
Les descriptions sont toujours aussi précises, les personnages aussi attachants, les méchants vraiment méchant.
C'est un roman efficace et il ne faut surtout pas trop en dire pour maintenir les surprises que l'auteur nous réserve tout au long des chapitres avec les histoires qui s'emmêlent et se démêlent.
Commenter  J’apprécie          20
Comme c'était long, mais long pour arriver jusqu'à la fin de ce roman. L'histoire est très intéressante pourtant, tout comme les personnages, le contexte de la Seconde Guerre Mondiale et ce fameux secret de famille, mais ça traîne tellement en longueurs, certains passages durent une éternité. En plus, plus de 200 pages avant le dénouement j'ai saisi où l'auteure voulait en venir. Dommage...
Commenter  J’apprécie          10
Une belle écriture, un secret de famille bien mystérieux et dramatique, des allers-retours entre le Londres de 1941 et la campagne anglaise en 2011 nous permettent de passer un moment plutôt agréable. Il manque juste un petit quelque chose pour ne pas vite oublier ce mélo un peu trop lisse.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (1061) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3192 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}