Cette nouvelle fait parler Jan Pallach , jeune étudiant tchèque, qui s'est immolé par le feu en 1969 à Prague, après la répression du printemps de Prague par les soviétiques.
Le texte, même s'il est fictif puisque Jan Pallach n'en est pas l'auteur reste très émouvant et reflète ce qu'aurait pu penser l'étudiant avant de commettre son acte.
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Il n’y a pas eu d’été, pas d’automne. Juste un très
long printemps. Et ce 21 août, nous sommes
directement revenus à la froide saison hivernale.
La saison des canons.
La saison des bâillons.
La saison de toutes les répressions.
Le temps du désespoir.