Le dressage de Jane et sa suite-préquelle Les souffrances de Jane constituent une version longue et revisitée de "
La Thèse" du même dessinateur. Ici, Jenny s'appelle Jane, n'est pas étudiante mais soubrette et passe du brun au blond. On retrouve ses deux profs sous les traits de “gentlemen” membres d'un club privé. À signaler l'arrivée d'un personnage supplémentaire en la personne d'une dominatrice obèse. Beaucoup de dialogues sont les mêmes que dans "
La Thèse" au mot près. Même chose pour la mise en scène qui reprend des planches redessinées à l'identique avec pour seuls changements le visage des personnages et le style du trait. le sexe est ici un poil plus hard et plus cru que dans l'opus thésard, avec davantage de contraintes, de fouet et de cuir, plus une touche lesbienne en bonus.
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