Je l’entends déchirer un emballage de préservatif. Puis, très vite, il enfonce sa queue au plus profond dans ma chatte. J’ai le sentiment qu’elle est faite pour moi, il me pilonne, il gonfle, il grogne. Il est violent, mais c’est ce que j’aime. Je ne résiste pas longtemps. Il plonge si profondément que je hurle très vite mon plaisir.
Il me plait de plus en plus, il m’attire. J’aimerai peut-être aller plus loin avec lui, je me laisserai bien tenter. Mais ce qui me gêne, c’est ce qu’il veut : me baiser, comme toutes les autres. Et je ne suis pas comme les autres. Il ne me connait pas. Ce sera moi qui le baiserai.
Je sens sa bite dure au fond de moi. Il donne des coups de rein puissants. Il me transperce à chaque fois et me chauffe mais je ne dois pas perdre le contrôle. J’accélère. Il jouit très vite, j’ai un peu de plaisir, mais ce n’était pas le but recherché. Je voulais juste lui prouver qu’il peut aussi se faire baiser par une femme. Ce n’est pas le dieu du sexe.
Ce sont des aristos, des gens au-dessus de nous, comme il aime à nous le rappeler… il m’agace : il est peut-être un pédiatre reconnu mais il devait être nul en histoire car il ne se souvient plus qu’il n’y a plus de privilèges depuis que le peuple de Paris a fait la révolution.
Un petit enfant n’a pas encore la volonté ni la ténacité pour supporter ce type de douleur. Ils ne savent pas en faire abstraction…