Une traduction clairement désuète, avec toujours cet aspect d'échantillons non représentatifs, comme pour les cas, flagrants, de
Gib I. Mihaescu ou
Jean Bart, dont le roman
Europolis, paru par la suite, en 1933, ne semble pas avoir pris une seule ride.
La traductrice reconnaît une certaine forme d'injustice à l'égard de ceux pour qui il lui semble manquer de place : "cette anthologie des contes roumains d'aujourd'hui a été conçue pour le public français; il serait en effet difficile d'imaginer pour la Roumanie un semblable recueil où seraient omis des écrivains tels que
Ion Agârbiceanu,
Carol Ardeleanu, Emanoil Bucuța, Dongorozzi, Lucia Mantu, Ticu Arhip, Tudor Mușatescu, Cazaban, etc. Mais nous ne disposons que d'un nombre limité de pages et nous avons dû tenir compte également de l'esprit de la collection qui accueille cet ouvrage."