Ne nous faut-il pas, avant tout, rencontrer cette « humanité intérieure » ? Générer pour soi de l’amitié ? Ainsi, tout en prenant ma respiration, je la charge d’un amour réfléchi. Et puis, je souffle ; doucement. J’accueille cette fraîcheur sur mon bras. Chaque cellule s’ouvre, se dilate, se détend. Je constate l’action conjointe de la présence et de l’amour