Puis j'ai été frappée par la certitude que le bonheur, c'était d'avoir la certitude qu'il allait toujours y avoir un lendemain.
C'était une chance inouïe que de pouvoir vivre chaque gour sans y penser. Le bonheur, c'était de couler des jours ordinaires, à se plaindre juste un peu, sans se rendre compte que l'on était heureux.
Puis j'ai été frappée par la pensée que le bonheur, c'était d'avoir la certitude qu'il allait toujours y avoir un lendemain. C'était une chance inouïe que de pouvoir vivre chojour sans y penser. Le bonheur, c'était de couler des jours ordinaires, à se plaindre juste un peu, sans se rendre compte que l'on était heureux.
C'était une chance inouïe que de pouvoir vivre chaque jour sans y penser. Le bonheur, c'était juste de couler des jours ordinaires, à se plaindre juste un peu, sans se rendre compte que l'on était heureux
Écouter de la musique, pelotonnée dans un lit confortable, en contemplant la mer sous les premiers rayons du soleil. Il n'y a avait pas de bonheur plus parfait.
c'était ainsi que débutaient mes journées à la Maison du Lion.
Bien dormir, beaucoup sourire, un corps et un coeur bien au chaud sont les clés d'une vie heureuse. Souriez Shizuku, souriez. N'arrêtez jamais de sourire.
Le ciel s´assombrissait et la nuit commençait à planer sur le monde.
C’est une chance inouïe que de pouvoir vivre chaque jour sans y penser ; le bonheur c était de couler des jours ordinaires à se plaindre juste un peu sans se rendre compte qu’on était heureux
Le papier à lettres blanc et ligné était rempli de caractères chaleureux, au tracé arrondi, comme s'ils courbaient légèrement le dos. Ils avaient le pouvoir d'absorber mon agitation, mes émotions aux couleurs aussi changeantes qu'une aurore boréale, à la manière d'un coton.
17.- la vie et la mort, en un sens, sont les deux faces du même pièce, a répondu Madonna.
Elle s'est arrêtée puis a ajouté :
-la seule différence, c'est le côté depuis lequel on ouvre la porte.
- le bonheur d'une personne dépend de sa capacité à faire sourire les gens autour d'elle.
- Nous avons toujours une chance de changer, tant que nous sommes en vie.
- Ce n'était pas si facile de changer la façon dont on gouvernait sa vie. Le plus important était d'essayer, sans jamais baisser les bras, jusqu'à la fin. Car ces efforts avaient un sens. La possibilité de changer nous était donnée jusqu'au seuil de notre mort.
- Vivre, c'est être la lumière de quelqu'un d'autre. User sa propre vie en offrant sa lumière à l'autre. Et de cette façon, s'éclairer l'un l'autre. C'est ainsi que, vous et votre père, l'homme qui vous a élevée, avez vécu.