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sur 2245 notes
Un jour, en rentrant du travail, Rinco constate que son petit ami indien a vidé les lieux. Disparus les couteaux, les casseroles, les ustensiles qu'elle avait soigneusement choisis. Hors de vue les meubles, la télévision, les rideaux, le paillasson. Envolés les millions de yens prévus pour ouvrir leur propre restaurant. Parti le gentil fiancé indien qui partageait son futon et sa vie. Seule rescapée, la jarre à saumure rangée près du compteur à gaz, dernier souvenir de sa grand-mère adorée...Sous le choc de cette sordide rupture, Rinco perd sa voix, incapable désormais de prononcer le moindre mot. Elle décide alors de retourner dans son village natal, auprès de la mère qu'elle avait quittée sans regret dix ans plus tôt. Celle-ci l'héberge à condition qu'elle accepte de s'occuper d'Hermès, sa truie apprivoisée. Tous les jours donc, Ringo prépare la pitance de l'animal, tout en aménageant le local où elle souhaite ouvrir son restaurant. Et bientôt, L'Escargot ouvre ses portes; un endroit cosy où elle prépare une cuisine raffinée et personnalisée. Très vite les villageois se bousculent pour s'assoir à l'unique table du restaurant où paraît-il on peut trouver l'amour, résoudre ses problèmes, réaliser ses voeux.

Ito OGAWA est un peu la Audur Ava Olafsdottir japonaise. On retrouve dans ses livres la même douceur, la même naïveté que dans ceux de l'islandaise. Ce restaurant de l'amour retrouvé est une parenthèse de tendresse que l'on déguste d'autant plus qu'il s'agit ici de gastronomie. Des recettes cuisinées avec amour pour oublier un chagrin d'amour. Une cuisine qui évoque les souvenirs d'enfance, la transmission et le partage. Rinco, personnage en plein doute, va se reconstruire en donnant du plaisir aux autres. Ce retour aux sources sera aussi l'occasion de se rapprocher d'une mère qu'elle jugeait sans la connaître. Sans voix, Rinco s'exprime au travers de ses plats et trouve une consolation dans le bonheur de ses convives.
Un roman tout en émotions, mais aussi en retenue, en pudeur qui raconte les choses de la vie avec simplicité et candeur. Un conte de fée réconfortant, plein de bons sentiments qui fait autant de bien qu'un repas bien préparé. A savourer.
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Si j'apprécie toujours autant la plume de l'auteure, mise en valeur par sa traductrice Myriam Dartois-Ako, je suis moins sensible à l'art culinaire qu'à celui des lettres. En effet, j'avais fait sa connaissance dans « La papeterie Tsubaki » qui m'avait enchantée.

J'ai retrouvé une ambiance intimiste, des sentiments bien exprimés, une fine analyse des liens du sang et des secrets de famille, mais je me suis perdue dans les longues descriptions de préparations de mets aussi variés qu'appétissants pourtant. Elle consacre des pages entières à cela, et même si le message reste lié à l'amour, au don de soi, et si la poésie est omniprésente, je me suis un peu lassée par moment.

Par contre l'histoire de cette jeune femme de vingt-cinq ans qui rebondit après une rupture des moins élégantes, qui revient dans le giron maternel malgré des relations plus que distendues, qui se bat pour vivre de sa passion en montant un mini restaurant très original, est très plaisante. Des messages positifs sont distillés régulièrement, et concevoir un repas pour l'autre est envisagé ici comme un acte de bienveillance quasi mystique.
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Bienvenue à l'Escargot, le restaurant des voeux réalisés et des amours comblées!

Quand son petit ami la quitte, en vidant leur appartement, Rinco en perd la voix... Démunie de tout, sa seule option est le retour au village natal où une mère peu aimante cohabite avec Hermès, le cochon.
Le projet de l'ouverture d'un petit restaurant serait-il la chance de retrouver le langage et le bonheur?

Élégance de l'écriture, simplicité du style, légèreté de la narration, pudeur des sentiments... C'est sans conteste un livre à l'ambiance très japonaise, pimentée d'un humour décalé et d'une construction littéraire un brin surréaliste.

Il y règne une belle sérénité dans l'observation de la nature et des petites choses du quotidien.
Il y flotte des fumets exotiques, des mets insolites, et un curieux menu végétarien français.
Le descriptif précis du savoir-faire parlera sans doute à ceux qui adorent cuisiner. J'en ai apprécié la jolie et naïve philosophie de partage tout en la trouvant quand même un petit peu prévisible.

Un livre généreux, plein de bons sentiments et qui excite les papilles!
L'Art culinaire en thérapie, jolie formule...
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« Chaque gorgée faisait s'épanouir une prairie fleurie dans mon corps. Je ne m'imaginais pas encore très bien ce qu'était le paradis, mais si, à ses portes, on m'offrait ne serait-ce qu'une gorgée de ce champagne, j'y resterais sûrement pour l'éternité. »

Jamais un roman ni un livre de recette digne d'un grand chef étoilé n'avait autant excité mes papilles gustatives. Un florilège d'arômes vous enivre durant la lecture, vous met en appétit et embaume votre coeur. Les descriptions culinaires y sont si bien décrites que chaque page vous met l'eau à la bouche.

Ce roman ne parle pas de cuisine à proprement parlé mais d'une histoire d'amour entre Rinco, une japonaise de 25 ans, et sa passion pour l'art culinaire qui guérit de tout. A la suite d'une déception amoureuse Rinco perd sa voix.

« … Ma voix était devenu transparente... Elle avait purement et simplement disparu de mon organisme. Comme quand on baisse le volume de la radio à zéro. La musique et les voix vibraient en moi, mais rien ne sortait. J'avais perdu ma voix. Ca ne me manquait pas. J'avais l'impression que mon corps s'était allégé.»

C'est avec une jarre de saumure héritée de sa grand-mère, comme seule compagne de voyage, qu'elle quitte tout pour retrouver son village, sa terre natale qu'elle n'a pas revue depuis 10 ans. Un retour en arrière qui la replonge dans un passé douloureux, vers un avenir incertain et une mère dépourvue de tout sentiment.

« Ma mésentente avec ma mère était précisément cette boue en moi, mais si je demeurais sereine, elle ne salirait pas tout mon coeur. Donc, je faisais en sorte d'éviter ma mère le plus possible. En un sens, je m'appliquais à ignorer sa présence. J'étais convaincue que c'était là le seul moyen de garder le coeur pur. »

Pourtant ce retour aux sources sera le début d'une rencontre, d'une thérapie, d'une douce vérité qu'elle était loin d'imaginer. Rinco sera bercée par le souvenir bienveillant d'une grand-mère qui lui a transmis l'amour d'une cuisine chaleureuse et salvatrice. de l'autre subsiste le regard amer d'une mère froide et frivole qui a bien des égards la conduira au sommet de son art.

Un premier roman prometteur devenu un best-seller au Japon. C'est toujours avec surprise et émotion que je découvre la littérature et la culture japonaise. Il en découle toujours une humilité et une sagesse qui me fait du bien. L‘écriture d'Ito OGAWA est lyrique et enchanteresse. Quand elle décrit les mets sur la table dressée, c'est un pur moment de poésie me faisant monter les larmes aux yeux. On y découvre la place prépondérante de la gastronomie dans la culture japonaise, un lien important dans la tradition nippone et un trait d'union entre les hommes et les femmes. Un bon plat mitonné avec amour sauve de tout.

Le restaurant de l'amour retrouvé, une pincée de sincérité, un zest de passion, une bonne dose d'amour et de désir pour un livre qui se savoure et vous laisse une douce et délicate saveur sur le palais !

Mot de faim :

« Un repas, c'est parce que quelqu'un d'autre le prépare pour vous avec amour
qu'il nourrit l'âme et le corps »

Lien : http://marque-pages-buvard-p..
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Suite à une rupture amoureuse, Rinco perd en plus de son petit copain indien l'usage de la parole. Les mots ne sortent plus, les sons non plus. Silence, seul le bruit du tofu s'élevant de la marmite bouillonnante se fit entendre.

Piteuse, un sentiment d'échec, elle retourne dans son village natal, sans un sou, auprès d'une mère qui l'a souvent ignorée au cours de ces années d'enfance vécues ensemble. Il ne lui reste que cette jarre contenant la saumure de sa grand-mère, jetez un petit navet nouveau dedans et quelques jours après il fondra tout seul dans votre bouche, ses saveurs explosant votre palais.

Un roman à la japonaise, tout en pudeur et en altruisme, dont celle de cuisiner pour les autres avec juste une touche d'amour pour pimenter et relever n'importe quel plat. Je ne te raconte pas ce premier curry que la petite a mijoté. Toutes mes papilles étaient en éveil. Des odeurs divines s'échappaient de chaque page tournée. Un roman qui vaut un aussi bon repas dans une petite auberge de campagne, l'addition pourra bien attendre, je fais ma digestion en regardant le clair de lune. Prendre son temps à la dégustation de chaque bouchée, entre chaque plat, c'est comme vivre des moments intenses de vie et de bonheur.


L'histoire est réduite à sa simplicité extrême comme un bouillon que l'on réduit également pour en faire ressortir une multitude de saveurs. Chaque plat concocté, mijoté ou rôti est un assemblage divin de parfums qui transporte le corps et l'âme entre ces deux montagnes, deux mamelles enneigées où se déverse un nuage de lait empli de bonheur et de passion. Sensualité, sexualité même, là-bas, on mange pour se souvenir, pour se trouver ou même se retrouver, pour câliner ou pour mettre la main dans la culotte de la fille d'à-côté, celle qui te fait fantasmer depuis la plus tendre des enfances lorsqu'elle te suçote goulûment les doigts. Il faut bien que je rajoute une poudre d'épices romantiques dans le bouillon, une pincée de sel aphrodisiaque et quelques gouttes de jus du bonheur dans la marmite. Surtout dans un roman où les sentiments sont si beaux et si purs, et son écriture presque trop féminine.

« L'amour n'a pas besoin d'artifices, alors j'ai simplement ajouté une pincée de sel. »

« le Restaurant de l'Amour Retrouvé », le shabu-shabu de l'amour.
Lien : http://leranchsansnom.free.f..
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Que peut-on ressentir en rentrant chez soi, après une dure journée de travail et en retrouvant l'appartement complètement vide ? C'est ce qui arrive à Rinco, jeune Japonaise, qui a travaillé dur pour économiser (l'argent étant bien sûr caché sous le matelas) : son petit ami indien avec qui elle projetait d'ouvrir un restaurant est parti en emmenant absolument tout : les ustensiles de cuisine qu'elle avait dû tant peiner pour acheter, les meubles, il n'a rien laissé, à part les yeux pour pleurer et la jarre de saumure de la grand-mère qui était à l'entrée…

Sous le choc, elle a perdu la voix et ne s'exprime plus que par l'écriture.

Rinco quitte la ville et retourne dans le village de son enfance dont elle est partie dix ans plus tôt sans se retourner et après un long périple elle n'est pas forcément bien accueillie par sa mère qui accepte de lui laisser la remise à condition qu'elle s'occupe d'Hermès, la truie, ce qui donne des descriptions savoureuses sur la relation qui s'installe entre elle et l'animal…

Peu à peu, le restaurant prend forme, Rinco le personnalise et l'appelle « L'escargot ». Elle décide de cuisiner et de confectionner les repas en fonction de ce que lui inspire le client, idée qui m'a bien plu…

Ito Ogawa aborde les relations mère-fille, l'amour impossible, l'incompréhension entre Rinco et sa mère dont les vies sont aux antipodes.

Elle nous entraîne, à travers les saveurs, les odeurs, les couleurs des aliments vers un retour aux vraies valeurs, c'est une longue méditation, l'esprit étant fixé sur ici et maintenant, sur l'acte en lui-même, laissant les pensées pour ce qu'elles sont.

C'est une jolie petite histoire, bien racontée, pleine d'émotion et de poésie qui fait beaucoup de bien au lecteur, même quand on n'est pas fine cuisinière comme moi.

Il s'agit d'une auteure que je voulais découvrir et c'est ce roman qui a été choisi dans le cadre de la lecture commune du Blogoclub; même si ce n'est pas un coup de coeur, j'ai passé un bon moment et je ne regarderai plus la nourriture de la même manière.
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Malgré un titre un peu trop "fleur bleue" à mon goût et une histoire peut-être un poil trop caricaturale, ce roman m'a fait passer un bon moment.
Il s'apparente d'avantage à une fable asiatique, tout en douceur, en poésie et en délicatesse. Dès le début nous faisons connaissance avec une jeune femme qui vient de découvrir son appartement complètement vide, il ne reste rien, son petit ami l'a entièrement vidé et s'est éclipsé dans la foulée. La jeune fille va donc en désespoir de cause retourner vivre chez sa mère, avec laquelle elle n'a pas de bonnes relations. Comme elle cuisine à merveille, elle va rapidement ouvrir un restaurant et son don pour la cuisine va éveiller chez ses clients des tas de belles choses.

L'écriture est assez concise, les phrases ne se perdent pas dans des descriptions à n'en plus finir. Les émotions sont brutes, ce qui évite un peu le larmoiement mais bon, l'histoire est quand même assez prévisible. J'ai toutefois aimé ce petit roman qui véhicule de jolies valeurs comme le pardon, l'entraide, l'envie de partager et bien sûr l'amour sous toutes ses formes. Les passages sur la préparation des plats, sur l'utilisation des ingrédients et les cuissons sont de toute beauté, on a l'impression de sentir l'odeur fraîche des herbes qui viennent juste d'être coupées, celle du porc qui grésille et caramélise, le fumet d'une soupe de légumes en train de cuire doucement ou d'un plat de viande en sauce relevé d'épices.
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C'est l'histoire d'une fée protégée par les divinités de la cuisine.
Un prestigieux pouvoir que Rinco découvre après bien des malheurs : la trahison de l'être aimé, un avenir radieux qui tourne le dos à cette jeune fille fragile, et cet immense chagrin qui emprisonne sa voix fluette.
Comme la plupart des êtres vaincus par la vie, Rinco éprouve ce besoin impérieux de retourner vers les lieux de son enfance. Sans trop d'illusions ! Elle sait qu'elle retrouvera Ruriko, sa mère, qu'elle n'a jamais vraiment aimé.
Deux femmes du même sang et pourtant si dissemblables. Ruriko est aussi charnue que Rinco est maigre, aussi goulue qu'elle est frugale, aussi trépidante qu'elle est paisible.
C'est pourtant au milieu de ce désert affectif que Rinco, aidé par le fidèle Kuma, monte le restaurant de ses rêves qu'elle nommera « L'escargot ». Elle veut en faire « un lieu à part, comme un lieu déjà croisé, mais jamais exploré. Comme une grotte secrète où les gens, rassérénés, renoueraient avec leur vrai moi ».
Un restaurant pas comme les autres !
C'est sa vie entière, sa raison de vivre que jette sans retenue Rinco dans « L'escargot ». C'est tout son amour, toute sa tendresse, toute sa sensibilité à fleur de peau qu'elle épand sans parcimonie dans les mets savoureux qu'elle offre aux convives.
Peut-être pour faire la nique à la détresse et au désarroi qui l'accable !
En tous les cas, sa cuisine rend les gens heureux. Elle devient très vite une petite légende dans son village perché à flanc de montagne. Une faiseuse de rêves ! Combien de passions se sont révélées en humant la senteur douce et pénétrante de sa « soupe d'amour » ? Combien de voeux se sont exaucés autour de l'unique table de « L'escargot » ?
Et même l'irréductible Ruriko, la mère distante et incomprise, finit par tendre les bras vers Rinco. En apparence rude et dédaigneuse, elle agit en sous-main dans le seul but d'aider sa fille sans rien demander en retour que de la voir enfin heureuse et apaisée.
Que j'ai aimé ce comte onirique !
Les mots simples, sans fioriture, de Ito Ogawa se sont adressés à mon coeur et à mon ventre. Je me suis laissé doucement embarqué par la triste histoire de la fée Rinco qui donne élégance, pureté et charme à tout ce qu'elle effleure du regard ou du bout des doigts.
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Attention coup de coeur ! J'ai ce livre depuis très longtemps dans ma PAL et je regrette vraiment de ne pas l'avoir lu avant.

On rencontre Rinco, qui rentre chez elle un beau jour, et son compagnon et parti avec la totalité de leur appartement. Il ne lui reste plus rien ou presque. Elle décide donc de retourner chez sa mère et d'ouvrir un restaurant dans la grange. La cuisine est sa grande passion et elle cuisine pour rendre les gent heureux :
"Si tu cuisines en étant triste ou énervée, le goût ou la présentation en pâtissent forcément. Quand tu prépares à manger, pense toujours à quelque chose d'agréable, il faut cuisiner dans la joie et la sérénité."

C'est avec plaisir que l'on découvre au fil du livres, les petits plats que mijotent Rinco :
"J'ai fait mon choix dans les légumes que j'avais à la cuisine, je les ai taillés en julienne et fait revenir dans du beurre, en commençant par ceux qui mettent le plus longtemps à cuire. du potiron, pour l'écharpe de Satoru, d'un beau jaune moutarde vif, car elle était jolie. Des carottes aux couleurs du soleil couchant qui emplissaient le ciel de l'autre côté de la fenêtre. Et pour finir, des pommes, parce que c'est ce que m'évoquaient les mignonnes joues rouges de Momo.
Dans la cocotte, un tas d'images se superposaient, fusionnaient au fur et à mesure. On aurait dit un peintre qui choisit d'instinct ses couleurs. Je cuisinais sur le vif, en me fiant uniquement à mon intuition."

L'écriture d'Ito Ogawa m'a beaucoup plu, et j'ai hâte d'en découvrir plus. C'est une jolie histoire avec une petite pointe de magie qui fait forcement rêver le lecteur. On passe par tous les sentiments, j'ai ris, j'ai été touché, triste, en colère. Bref c'est une réussite.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Ce livre coup de coeur m'a profondément émue, en particulier les dernières pages.
Après une rupture, une jeune cuisinière japonaise revient, à son corps défendant, vivre chez sa mère dans le village de laquelle elle ouvre un restaurant.
Sa cuisine est faite avec tant d'amour qu'elle répare les âmes meurtries, de qui que se soit, femme, homme, enfant ou animal et sa réputation s'étend, quitte à susciter quelques jalousies.
L'histoire se dévoile peu à peu, les description de paysages ou de préparations culinaires sont minutieuses.
Ce livre est d'une rare humanité.
Un bémol, je ne vais pas le conseiller à mes végétariennes de filles !
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