Le dernier jour de ma vie

C'est un livre qui au début est agaçant à cause de la protagoniste. Elle est égoïste, méchante, arrogante… Un peu p***asse. Je dois dire que j'ai eu du mal à m'attacher à ce personnage. Cependant, au fil du même jour qui se répète, son comportement évolue d'abord en encore plus p**asse (si c'est possible) puis… Je ne vais quand même pas vous dire tout le déroulement du livre, ce serait du spoil. Voyons !!! Tout ce que je peux vous dire c'est que son évolution est intéressante. Les choix qu'elle fait nous font voir les millions de possibilités, que nous offre l'avenir. Elles sont plutôt bien exploitées dans ce livre.

Mais je trouve qu'à part elle seuls trois personnages sont vraiment travaillés : Lindsay, Kent et Juliet Sykes. Les autres apparaissent et disparaissent. Cela m'a un peu perturbée. de plus, il y a pas mal de cliché sur adolescent qui m'ont agacée voir énervée : ils boivent, ils fument, ils sèchent les cours, ils sont insolents. Alors c'est vrai, cela existe, mais s'il vous plait arrêter d'en faire une généralité… Heureusement, cela passe vite au second plan. Sinon avouons-le, j'aurais abandonné !

Je ne sais pas en lisant ce livre, j'avais l'impression étrange d'être proche et pas. Je ne suis pas sure d'être très claire. Mais j'avais l'impression malaise à certain passage voir un peu de voyeurisme.

Cependant, malgré tout, j'ai aimé ce livre grâce à sa morale : « Vous faites une petite chose, aussi insignifiante soit-elle, et l'avenir peut changer du tout au tout ». le style de l'auteur m'a bien plu. Sa plume est plutôt simple, mais agréable à lire.

Donc c'est un bon livre.

En résumé : c'est un bon livre, intéressant, mais un peu dérangeant.
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J'ai eu énormément de mal à me mettre dans le livre. J'ai aimé le film, mais je ne sais pas, la présentation du livre ne m'a pas enthousiasmé… Malgré que j'ai aimé l'histoire, l'aspect du livre m'a fais prendre du temps à lire et je trouve cela dommage…

Dieu que cette Samantha est superficielle !
Le récit de sa dernière journée est un ramassis de gloussements, de méchancetés envers ses camarades et d'imbécilités. 
"Before I Fall" offre une image d'adolescents américains décérébrés tellement vue et revue qu'on fini par se demander si elle ne serait pas un peu vraie. C'est probablement ce qui m'agace le plus souvent dans la littérature young adult. 

Heureusement, revivre la dernière journée de sa vie à la manière d'"Un jour jour dans fin" va peu à peu lui faire prendre conscience de l'importance de chaque (bonne) action sur son entourage. Et c'est plutôt bien fait, à tel point qu'on se demande comment elle peut supporter ses "amies" restées sur le schéma de départ. 

Aux ados qui se croient immortels, "Before I Fall" rappelle le prix de la vie et le risque de monter dans la voiture d'un conducteur alcoolisé. Ce n'est déjà pas si mal !

Je dois avouer que le concept de faire revivre la même journée, durant sept jours, à l'héroïne principale, ça m'a fait un peu peur. Mais Lauren Oliver s'y prend très bien ! Chaque jour, un détail change, ce qui fait que les journées ne se ressemblent pas toutes à 100 %. Les conversations ne sont pas non plus identiques d'un jour à l'autre.
Au début, je n'accrochais pas trop à l'histoire. Un peu comme pour « 13 minutes », ce monde féminin est très différent du mien. Sam se comporte méchamment avec tout le monde, et dans ses explications, on sent bien qu'elle est méchante sans vraiment le vouloir. Elle est tiraillée entre le fait de suivre le mouvement, et avoir un peu conscience de mal agir. C'est à force de revivre la même journée en boucle qu'elle se pose des questions : pourquoi ses amies et elle détestent-elles Juliet Sykes ? Pourquoi Rob a-t-il voulu sortir avec elle ? A l'époque, elle n'était pas « assez cool » pour lui.
Le début est aussi assez pénible à lire parce qu'il faut le temps que Sam comprenne qu'elle revit sans cesse la même journée, mais surtout qu'elle l'accepte, et qu'elle comprenne qu'elle doit faire quelque chose pour que ça s'arrête.
Petit à petit, Sam réalise que sa meilleure amie ne lui raconte pas tout, qu'elle n'éprouve plus rien pour Rob depuis longtemps, qu'elle n'est pas une si bonne personne.
Une fois que Sam a tout compris et qu'elle veut faire bouger les choses, l'histoire devient plus intéressante à lire, ça devient aussi plus entraînant.
Les sujets abordés m'ont énormément touchées et fait réfléchir. Lauren Oliver aborde le harcèlement scolaire, sous le regard des harceleuses qui ne comprennent pas vraiment qu'elles font du mal. Et surtout : à force de revivre cette même journée, Sam prend conscience des petits détails. Ses gestes peuvent avoir des conséquences sur la vie des autres, elle n'a pas assez profité de sa famille. Seules ses copines et sa popularité comptaient, elle ne faisait plus attention au reste.
Le roman se lit vite parce que même si l'univers ne nous correspond pas, on a envie de savoir comment Sam va venir à bout de cette maudite journée. Et la morale de l'histoire est une belle leçon de vie !
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QOTD : Si vous deviez revivre votre journée, qu'aimeriez-vous changer ?
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Hello les bookivores ! Comment allez-vous ? Que lisez-vous en ce moment ? 📖
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Voici ma nouvelle chronique d'un livre fantastique et émouvant. Before I Fall, est un livre jeunesse,mais qui peut être lu à tout âge. Écrit en 2011 par Lauren Oliver et édité chez Hachette (j'ai, pour ma part, l'édition Livre de Poche.), il a même eu droit à son film Netflix ! L'ouvrage a obtenu le prix de l'imaginaire jeunesse en 2012. le nombre de pages s'élève à 450.
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Sam, populaire, respectée, crainte, aguicheuse a une vie parfaite. Sauf qu'il y a un souci. Cette journée, qui commençait pourtant si bien, est la dernière. Terminés, la jeunesse insouciante, les fêtes, les potins devant le miroir des toilettes pendant les sessions remaquillage. Terminée, la vie. À moins que ? Et si tout recommençait ?
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Au début, les personnages peuvent paraître assez détestables et d'ailleurs insupportables par la même occasion. Mais cela semble évident, car l'héroïne du roman fait partie du groupe populaire de son lycée. Malgré ça le lecteur va découvrir que chaque personne peut changer si une deuxième chance s'offre à elle. On se prend rapidement d'attachement pour Sam, cette fille qui croit si bien se connaître, mais est loin de la vérité. On découvre des facettes inattendues des autres personnages. Il y a de la romance, mais pas trop, on ne se retrouve donc pas avec un livre “gnangnan”.
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Contrairement à ce que je pensais, il n'y a pas le côté répétitif, malgré que Samantha revit sept fois la même journée, il y a toujours de nouveaux détails et de chouettes passages. Mais il y a aussi un peu de négatif : même si c'était voulu, il y a évidemment tous ces clichés sur la popularité (le beau-gosse qui ne pense qu'à coucher, les tenues sexy, les potins,..) mais c'est justement ce que l'auteur dénonce, le masque qu'on porte tous, plus ou moins épais. Pour ce qui est de la fin et de l'épilogue, ils se devinent assez facilement, mais n'en restent pas moins, parfaitement rédigés !
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Belle histoire, j'ai préféré le livre au film malgré certains passages que j'ai trouvé un peu long à mon goût.

Le roman est une version adolescente du film « un jour sans fin » avec Bill Murray. Dans le film, comme dans le roman, le personnage principal est insupportable et revit la même journée en boucle jusqu'à ce qu'il change d'attitude.
Je ne me souviens plus de ce qui provoque la boucle temporelle dans le film, mais, dans le roman, il s'agit d'un accident de voiture dans lequel Sam, le personnage principal, va mourir.
Sam et ses copines sont le type même des filles que je détestais au lycée (et que je ne supporte toujours pas d'ailleurs) : de sales pestes qui n'utilisent leur popularité pour torturer les autres, les humilier et ainsi se donner l'impression d'avoir une existence fabuleuse (Vous remarquerez qu'il est assez rare dans les films que les filles populaires soient amicales, ouvertes et traitent bien l'ensemble de leurs camarades…).

J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à Sam car, même quand elle comprend qu'elle doit s'améliorer, elle se cherche toujours des excuses pour justifier son comportement. A l'entendre la faute vient forcément des autres. Cette fille est un vrai mouton qui suit aveuglément l'alpha de sa meute : Lindsay.
Au fil des jours que revit Sam, j'ai appris à connaitre Lindsay et j'ai fini par avoir de la compassion pour elle car toute son attitude semble être dictée par la peur du rejet. Ca ne l'excuse pas de tout, mais ça permet de comprendre pourquoi elle est devenue comme ça.
En revanche, Sam n'a aucune excuse. D'ailleurs elle ne modifie son attitude, au début, que par intérêt.
Sans que ce soit trop répétitif, car chaque infime détail changé par Sam modifie le déroulement de la journée de manière assez radicale, j'ai trouvé que les états d'âmes de Sam étaient parfois longs et mal placés.
Au final, il y a une chose qui a « sauvé » ma lecture : le dernier jour (et la fin).
D'une part, c'est le seul jour où Sam est sincère dans les changements qu'elle opère, ensuite, quand on lit le roman, on n'imagine absolument pas une fin de ce style et l'auteur nous prend complètement au dépourvu en « changeant les règles » dans un certain sens.

Je ne peux pas expliquer mon point de vue sur la fin plus en détail sans spoiler donc je me contenterai de dire que j'ai adoré cette fin qui casse les codes de ce type d'histoire pour adolescents. A présent, je suis curieuse de voir le film !

Sam a tout pour elle. Elle est populaire, a de super copines, et un mec canon.
Pourtant le soir du 14 février, sa vie bascule. La voiture qui la ramène d'une fête fait une sortie de route, et elle meurt.
Pour se réveiller le lendemain, le matin de ce même 14 février. Et elle va revivre cette journée sept fois de suite. À elle de comprendre pourquoi, et de changer en conséquence.
« Un jour sans fin », version ado si vous voulez.
Alors, je ressors très mitigée de cette lecture. Il a des passages très bien, d'autres moyens, et d'autres terriblement ennuyeux.
Trois problèmes ont gêné ma lecture :
- C'est trop long et trop court à la fois. C'est trop long car les sept jours sont décrits en entier, et que c'est franchement redondant. C'est trop court car on ne change pas en sept jours, ça, je refuse d'y croire. Souvenez-vous du personnage de Bill Murray dans le film, qui revit des CENTAINES de fois la même journée, pour enfin arriver à évoluer et à sortir de sa boucle temporelle.
- L'héroïne. C'est typiquement le genre de fille que je détestais fréquenter au collège/lycée (et même maintenant encore!), alors, je n'ai eu aucune empathie pour elle.
- La fin. Attention Spoil ! Je ne vois pas en quoi sauver Juliet marque l'étape de la rédemption de Sam, et de l'acceptation de sa mort. Ce n'est pas elle directement qui avait mis cette pauvre fille dans cet état -le suicide-, mais son amie Lindsay, et j'estime donc que c'est elle qui aurait dû « payer » de sa vie, et non Sam.
J'ai néanmoins passée un bon moment de lecture, surtout grâce aux jours six et sept, qui sont bien mieux écrits que les cinq premiers.

Un livre qui m'avait été offert par ma meilleure amie en cadeau d'anniversaire (et de réconciliation aussi ^^) dans lequel j'avais eu dû mal à me mettre dedans au départ mais après au fil des pages je n'arrivais plus à le lâcher car je voulais savoir comment ça allait se terminer

Une lecture plaisante mais sans plus. Je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage principal.
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