Albert Oriol a choisi le pseudonyme Maloire (Ma-Loire) en témoignage de fidélité à la terre forézienne. Il a 20 ans, à la déclaration de guerre en septembre 1939. Chef d'un groupe franc, il est grièvement blessé lors de l'offensive du 10 mai 1940. À son réveil après opération, c'est le sourire apaisant d'une infirmière, dans l'hôpital de campagne de Metz. Et ce seront les soins attentifs d'un personnel féminin à Sainte-Marie des Champs (Toulouse) qui assureront son ... >Voir plus