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3,72

sur 305 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Le repas de réveillon est l'occasion pour un Fer fraîchement quitté par son compagnon Andrés de raconter sa famille, sa mère larguée par son crétin de mari, l'imbuvable oncle Eduardo, les lesbiennes Emma et Olga et la soeur ainée et bien coincée Silvia.

Ecrit d'une manière qui se veut rigolote, avec presqu'aussi peu d'âme qu'un téléfilm américain du dimanche après midi , on est loin de la sensibilité et de la profondeur qu'Almodovar a su donner à une brillante Victoria Abril.
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Honte à moi de ne pas avoir accroché à ce roman plébiscité par mes amis babeliots (aie aie !). J'aurai tellement voulu mais j'ai pas pu... Je me suis pourtant bien concentrée pour comprendre cette famille qui gravite autour de la Mama et qui plonge et replonge dans les profondeurs du passé. Et le repas c'est pour quand ? Désolée belle Iris, le chapitre 21 est tellement long lorsqu'on plane dans un vide au-dessus du livre depuis 3h.
A ceux qui doutent, retournez sur les magnifiques critiques qui couronnent ce roman. Ce n'était pas mon jour pour que je t'aime Alejandro, un jour qui sait, je te retrouverai et saurai t'entendre.
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L'histoire commence à Barcelone un soir de 31 décembre et s'achève au petit matin du 1er janvier. le narrateur est Fernando « Fer » qui passera cette soirée avec sa mère, ses deux soeurs, la compagne de l'une d'elle et son oncle. Par de nombreux flash-backs, Fer nous racontera le passé douloureux, voire très douloureux de tous les membres de la famille. Au cours de cette soirée, les vieux non-dits éclateront.
Au bout de 100 pages, il ne s'est toujours rien passé. Je n'accroche pas du tout et hésite à continuer. Je n'aime pas abandonner, on n'est jamais à l'abri d'une belle surprise un peu plus loin dans l'histoire. Il a fallu attendre la page 231 pour qu'elle arrive. Enfin !
A partir de cette page, il y a des passages très forts et très émouvants. Mais ce n'est que dans le dernier quart du livre. Avant cela, il a fallu endurer de l'ennui, beaucoup d'ennui.
On nous annonce « une comédie familiale déjantée et touchante, digne d'Almodovar ». Mouais …
J'aime beaucoup Almodovar, mais là, rien à voir. Palomas n'a sans doute pas osé donner le titre de « Tout sur ma mère » à son livre, mais son deuxième livre qui est la suite s'appelle « Tout sur mon chien ».
La mère est déjantée, c'est sûr. Déjantée, naïve, inconsciente ou un peu sénile ? C'est ce qu'on se demande presque jusqu'au bout. Jusqu'à cette fameuse page où on découvre qu'elle est autre chose. Une mère là pour ses enfants, vraiment là, une mère avec un grand M.
Les discours délirants de la mère ne m'ont pas fait rire, presque jamais sourire. Certains personnages sont trop caricaturaux. Olga, la compagne d'Emma, a des propos et une façon de s'exprimer qui ne sont pas crédibles. Même chose pour Ingrid, l'amie de la mère (qu'on ne voit pas mais dont on parle plusieurs fois) très caricaturale elle-aussi.
Alors je comprends la référence à Almodovar (la mère, l'homosexualité) mais c'est encore une de ces annonces racoleuses et mensongères. Je peux aimer les histoires déjantées et adhérer même si ce n'est pas crédible, mais là ça n'a absolument pas fonctionné pour moi. Beaucoup trop d'ennui et même s'il y a de très beaux moments à la fin, ça arrive trop tard
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