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sur 305 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voilà Une mère  qui n'a pas besoin de moi pour qu'on chante ses louanges.

Personne non plus, et sûrement pas moi,  pour lui faire sa fête.

 Chaleureux, braque, sensible, drôle, bien écrit, bien construit-  l'emballage des flash blacks successifs,  comme de jolis papiers cadeaux  en strates colorées, dévoilant  la surprise finale qui est  bien plus qu'un  cadeau de réveillon:  un vrai don d'amour - rien à voir avec un vulgaire kinder surprise! - .

Oui, vraiment, Une mère,  est un bon livre!

Alors,  pourquoi prendre la plume pour une énième critique qui n'arrivera pas à la cheville de celles d'Iris, de Booky ou de Latina, pour ne citer qu'elles? Pourquoi  rajouter du bon au bon, comme disait ma grand-mère en mettant de la crème sur son paris-brest, au  risque de frôler l'overdose glycémique?

 L'overdose glycémique,  tiens, justement...

J'écris pour faire mon Hugo, pas Victor, non, l'autre, notre pote Simpsono-babeliote, dont je suis une fidèle lectrice et une fervente admiratrice, pour faire mon Hugo, donc, mais sans sa gouaille ni son talent.

La seule ressemblance avec le maître sera d'écrire en faisant un pas de côté.

J'écris juste pour que le trop plein d'émotion ne m'étouffe pas, et pour vous dire,  derrière le masque commode de mon avatar babeliesque, protégée par mon ironie bien connue, que parfois, un livre, quand on le lit avec l'énergie de l'espoir, ça sauve .

Un mois de cauchemar vient de passer, un mois d'angoisse, un mois de surprises  - ni kinder , ni pochette-  plus mauvaises les unes que les autres, hélas, les surprises. Un mois d'épreuves.

 Un mois où j'ai compris comme jamais ce que c'était qu'être ...Une mère.

Oui, je reviens à mes moutons : en toute mère, il y a toujours une bergère qui sommeille...

Le dernier mouton de mon petit troupeau à moi vient d'être méchamment attaqué  par un de ces vilains crustacés à pinces qu'on trouve parfois sur la banquette arrière (Elisabeth Gille en savait quelque chose...). Tellement planqué dans le sable, ce salopard de crustacé,  qu'on n'a, pour l'instant, que son nom de famille et pas son petit nom de baptême- oui, même les f..batards ont des petits noms! Encore une "surprise" en perspective..

Mais pendant tous ces jours d'attente, et tous ceux à venir  où nous serons en ordre de bataille pour lui décortiquer la carapace et lui arracher les pinces, à  ce brachyoure  maudit, l'amour sera notre tour-prends-garde. Frère, soeur, copains, copines, compagne, chiens, père et mère,  tous à leur poste, en sentinelles -comme les foutus ganglions du même nom- pour repousser l'ennemi. Quant à l'assiégé lui-même,   il a revêtu sa cotte de guerrier pour descendre dans l'arène. Le décapode n'a qu'à bien se tenir!

Pour la mère, puisque c'est d'Une mère qu'il s'agit, elle est un peu sur le flanc, parfois, moins de pep ou trop de larmes, mais les livres  et leur chronique sont une merveilleuse façon de recentrer ses forces , de ressourcer son énergie.  Les livres, les chroniques  et ceux qui les lisent. La mère leur dit merci.

Merci, les potos. Voilà que je parle comme Hugo!

Une mère,  après tous ces livres dévorés depuis un mois pour éviter  les creux et surfer sur les vagues, est tombé entre mes mains au plus fort de la tempête,  un jour où une erreur médicale a failli expédier mon petit mouton dans un autre monde... Mais ce mouton-là est un bélier noir : il s' est battu à coup d'insuline,  après  sa toute premiere escarmouche chirurgicale,  contre un abruti qui avait oublié que le glucose c'était pas vraiment bon quand on est diabétique, fût-on attaqué par un vilain crustacé. 

L'overdose glycémique n'a pas eu lieu.

 Vous voyez qu'elle a encore sa tête, la mère, et qu'elle suit son fil.

Elle tisse son fil de mère,  la mère, son fil obstiné de tendresse et d'espoir.

C'est ça,  finalement, une mère,  ça tisse inlassablement, obstinément  un filet à attraper les crustacés. Les décapodes. Les brachyoures. Les étrilles.
 
Les crabes.

 Je n' ai pas tellement parlé d'Une mère,  c'est un fait, mais je suis restée dans le sujet quand même,  non? 


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Quand j'ai terminé ce roman, j'ai à nouveau regardé la couverture, et je me suis dit que c'était du Amalia tout craché. Ce visage de femme dont les yeux et le haut du crâne sont cachés par une couronne de fleurs flashy, c'est elle, cette mère de famille de 65 ans qui semble vivre dans un monde d'incongruités et d'innocence, indécrottable optimiste voyant la vie à travers un masque de roses et de violettes, comme si derrière ces oeillères elle refusait de voir le monde réel, bien plus dur.
Comme ce soir de 31 décembre, où elle est excitée comme une gamine à l'idée de réunir enfin la famille au complet. A savoir ses trois enfants : Fer (pour Fernando), Silvia (sans son compagnon, mais c'est chaque année pareil) et Emma (avec sa compagne Olga) ; son frère, l'oncle Eduardo (sorte de Don Juan noceur et fort en gueule), et deux chiens improbables : Max, l'énorme dogue allemand de Fer, et Shirley (comme Shirley McLaine), minuscule gremlin sur quatre pattes.
C'est à travers les yeux de Fer qu'on découvre l'histoire et les relations des membres de la famille, et leur façon plus ou moins maladroite de (ne pas) communiquer. On comprend qu'Amalia, divorcée depuis trois ans d'un mari odieux qui prenait son pied en rabaissant sa femme et en escroquant tout le monde, a découvert, à 60 ans passés, la liberté, y compris celle de faire toutes les conneries du dictionnaire, comme souscrire cinq abonnements internet sans avoir d'ordinateur, ou héberger une « mendiante » trouvée en bas de chez elle. Ingénue, gaffeuse, naïve, généreuse, fantaisiste et inconsciente, elle fait tourner ses enfants en bourriques, renversant les rôles et se faisant materner par eux. Surtout par Silvia, auto-promue chef de famille et Madame « je-répare-les-bêtises-de-ma-mère ». Autant dire qu'elle, la maniaque du contrôle et de l'hygiène est (parfois) (légèrement) exaspérée.
Et il n'y a pas de raison pour que ce soit différent ce soir, réveillon ou pas. Chacun arrive à table avec ses secrets, ses souffrances, et la carapace qu'il s'est forgée pour y faire face et éviter la douleur au maximum. Fer le sait bien, et pressent que cette soirée ne sera pas un long fleuve tranquille, n'importe qui pouvant imploser à n'importe quel moment.
Tout cela pourrait n'être qu'une comédie familiale grinçante, mais c'est sans compter la complexité du personnage d'Amalia. Car elle cache bien son jeu, cette candide loufoque. Jusqu'au chapitre 20, où elle se révèle dans son meilleur rôle, celui de mère. Une mère, qui fonctionne aux tripes et à l'instinct, presque animale, qui berce son enfant fragile, le sauve malgré lui et l'aide à guérir. Tout ce qui s'est dit jusque là prend alors une autre dimension et l'histoire gagne en profondeur. On comprend que le vrai, le seul pilier de cette famille, c'est Amalia, malgré ses fragilités et avec son excentricité.

Eclats de rire, larmes, tendresse, ironie, des personnages attachants, un style fluide et agréable et un auteur qui a un sens certain du suspense, « Une mère » est un bouquet de sentiments, coloré et qui fleure bon le plaisir de lire.

Merci aux éditions du Cherche Midi et à Masse Critique de Babelio pour cette jolie découverte.
Lien : https://voyagesaufildespages..
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Si l'idée de vous retrouver bientôt attablé avec toute votre famille pour les fêtes de fin d'année, vous stresse, vous désespère, vous file le bourdon, Une mère est fait pour vous ! Ce livre va vous réconcilier avec ces longs repas où chacun des convives n'attend qu'une seule chose : la fin de la soirée pour retourner chez soi…

Fer appréhende ce moment ; il se doute qu'il en est de même pour ses deux soeurs, Silvia et Emma, surtout depuis que leur mère, Amalia, a divorcé de leur escroc de père. Depuis, cette femme de plus de soixante ans, s'est métamorphosée. Comme une môme, elle croque la vie à pleines dents, profite de cette toute nouvelle liberté en y laissant pas mal de plumes. Elle se fourvoie en amitiés, tombe dans les pires arnaques, mais rien n'y fait : elle garde le sourire et continue à tendre la main au premier venu… au grand dam de ses enfants.

« Elle a dit cela d'une voix de vieille femme qui ne sait pas se défendre des attaques de ceux qu'elle aime parce qu'elle a toujours préféré souffrir que faire du mal. »

Ce repas de nouvel an va être l'occasion pour tous de poser le masque et parler vrai, enfin, des autres, de soi et de ses sentiments…

Il commence doucement ce livre, petit à petit Alejandro Palomas nous ouvre la porte sur ses personnages. Les uns après les autres, par la voix de son narrateur, Fernando, des morceaux de vie de chacun nous sont présentés. L'intérêt s'aiguise et va croissant jusqu'à ne plus pouvoir le lâcher. Certaines scènes sont bourrées d'humour, d'autres sont vraiment émouvantes et la réelle stupéfaction vient d'Amalia, comme une apothéose au tombé du rideau. Cette mère tellement fantasque, qu'on la trouve bien souvent inconsistante, s'avère être une louve redoutable prête à tout pour ses enfants.

« Mais moi je suis là, (...). Et nous allons nous balancer ensemble tout le temps qu'il faudra. Et si je dois couler pour que tu restes à flot, je coulerai. Et si je dois t'arracher des eaux pour que tu vives, je le ferai, quoi qu'il en coûte. Parce que je n'ai rien de mieux à faire dans la vie, ma fille chérie. »

Je souhaite à tout le monde un tel témoignage d'amour.
Lien : https://page39web.wordpress...
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Le roman se passe en Espagne, la veille de l'An Neuf.
Amalia , la maman de plus de soixante ans, prépare les fameux grains de raisins de minuit.
Elle espère que cette fois, la soirée sera réussie car il n'y a pas que chez elle que les réveillons de famille comportent des couacs, des sous-entendus ou des non-dits et c'est bien là la richesse du récit. Je pense que chacun peut se reconnaître dans un ou l'autre personnage.
Amalia va se retrouver entourée de ses trois enfants, de son frère Eduardo.
Au cours de la soirée, le narrateur, Fer ( Fernando )va nous faire découvrir les joies et les souffrances des différents personnages avec beaucoup d'humour.
Un livre très riche, amusant, craquant, triste parfois.
J'ai un faible pour Amalia, la maman qui tente des diversions aux moments les plus difficiles mais n'ignore rien des situations de chacun de ses enfants. Elle souffre physiquement et ses enfants l'entourent d'une belle affection. Il faut dire qu'elle les aime ses enfants.
Ah! J'oubliais, son mari, un petit escroc qui s'est fait la belle.
Elle arrive encore à en parler gentiment, à lui trouver des excuses. Ouh là !
A certains moments, le style et l'écriture du livre ont eu un peu de mal à me couler dans l'oreille. C'est pour cette raison que j'ai attribué un 4 étoiles et non 5.
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Une mère qui a longtemps vécu dans l'ombre d'un 'mauvais' mari, récemment divorcée, un peu à côté de la plaque, bigleuse, volubile, maladroite, gaffeuse, naïve, sans doute un chouia menteuse (il faut dire que sa fille aînée est tellement rigide), agaçante, horripilante même.
Mais une maman formidablement aimante, généreuse, douée pour remettre les gens debout grâce à une douceur et une énergie inattendues chez une personne a priori si frivole.

On découvre les multiples facettes de la personnalité d'Amalia en cette soirée de St-Sylvestre. Cette 'madre' a rassemblé pour l'occasion son frère, ses trois enfants adultes et la compagne de la cadette, et tous craignent le pire, notamment le narrateur Fernando, petit dernier de la fratrie. Les réunions de famille, c'est souvent explosif, en particulier chez eux.

L'ambiance rappelle celle des romans de Jonathan Tropper.
Moins de rebondissements ici, cependant, moins de situations burlesques.
Malgré les appréhensions de chacun, il ne va finalement pas se passer grand-chose ce soir-là, à part quelques scoops lâchés par les uns et les autres, qui vont éveiller des souvenirs et susciter des émotions diverses.

Les dialogues et monologues sont pleins d'humour, tristes à pleurer aussi, parfois. L'auteur est très doué pour décrire les attitudes, réactions et postures des protagonistes, et nous renvoyer à des situations vécues, des sentiments qui font écho - dans le pire comme dans le meilleur.
J'aimerais voir ce texte adapté en pièce, à la manière du tandem Bacri-Jaoui 'd'avant', celui des années 90.

Un joli roman qui nous parle de solitude, de deuil, d'amour (maternel/filial/conjugal), de vie à oser vivre ou revivre en dépit des échecs et des drames.
A partager, avec nos enfants, parents. Pour tous les sexes.

Aussi beau, triste et optimiste que cette chanson de Luz Casal, 'Piensa en mi' (BO du film 'Talons aiguilles', Pedro Almodovar, 1991) ♪♫
https://www.youtube.com/watch?v=IUHlDNmkads

• Merci, Iris, pour l'idée ! 😘
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Amalia attend avec fébrilité et angoisse ses enfants pour le repas de nouvel an,en espérant que cette fois, tout va bien se passer . Chacun arrive à son rythme,Fernando déjà présent avant les autres, Silvia, Emma et sa pièce rapportée Olga,puis l'oncle Eduardo. Si la personnalité caricaturale de tous ces convives et tout particulièrement de la Mère donne à ce roman une allure de comédie musicale, la parole qui se libère progressivement y apporte une réelle profondeur. Se construit le portrait d'une famille unie autour de la Mère qu'on protège depuis " l'abandon" du père, mais qui excède aussi par sa naïveté et son don pour se fourrer dans des histoires impossibles. Puis,on découvre progressivement que la réalité est plus complexe que cela. Les codes familiaux implicites fonctionnent comme un ciment pour maintenir l'équilibre et la fragilité n'est pas toujours où on l'attendait. S'il y a certaines longueurs et un côté feel good auquel je n'adhère pas toujours, j'ai tout de même passé un beau repas de famille avec ce petit monde. Amelia est tout particulièrement craquante.
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Je n'ai eu aucun mal à me plonger dans ce récit d'un repas de famille le 31 décembre. Même si au début j'ai imaginé que les personnages seraient plus déjantés les uns que les autres.
Finalement, c'est plutôt une tranche de vie de gens tout à fait normaux qui font fassent aux difficultés comme ils peuvent. Et ils en sont tous très attendrissants.
Et c'est peut-être un peu nous même que l'on observe au travers de ce récit.
Et les blessures de chacun, ne sont données au lecteur que petit à petit au cours du roman. C'est distillé, tout doucement le temps de digérer chaque info importante et de comprendre toutes les répercutions que cela peut avoir.
Un bon moment de lecture, à ne pas avaler en une seule fois... il faut laisser le temps.
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Une fresque familiale complétement disjonctée. Très rafraîchissant !!! Une mère, divorcée, veut réunir, enfin, tous ses enfants et son frère pour fêter la nouvelle année. Une belle grande fête... mais voila, tout ne se déroulera pas comme prévu ! Parce que dans cette famille, les secrets, les non-dits, les détournements de conversation sont légion. Personne ne parle, ou alors si... beaucoup parle, mais pas des vraies choses. Les situations sont comiques, même si la trame de fond est sérieuse : une famille qui tente de renouer le dialogue. J'ai rit, beaucoup.. Les personnages sont juste incroyables, et la plume est très fluide et facile a lire. Une bonne lecture divertissante, qui m'a fait passer un bon moment !
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Amalia prépare le traditionnel repas du nouvel an qu'elle va partager avec ses trois enfants et quelques conjoint(e)s, dans son petit appartement de Barcelone. Elle a aussi convié son frère, l'incontournable oncle Eduardo, qui continue à faire office de figure paternelle pour Silvia, Emma et Fernando.

Comme chaque année, Amalia est stressée. Elle n'est d'ailleurs pas la seule à s'inquiéter, car tous ont en mémoire les calamiteux réveillons précédents ! Cette année, chacun(e) vient avec son petit secret, sa bonne ou sa mauvaise nouvelle (question de point de vue parfois), qu'elle/il veut cacher ou clamer haut et fort.
Fernando nous raconte ce repas, avec son florilège de bons mots, de gaffes, et de confrontations plus ou moins directes. Décodant les propos et comportements, non-dits compris, Fernando nous explique comment chacun en est arrivé là, et lui-même ne pourra passer son tour...

L'ambiance et la construction de cette tragi-comédie évoquent 'Un air de famille' (film de Cédric Klapisch, avec Bacri, Jaoui et Daroussin - 1996), mais certaines thématiques font plutôt penser à des films d'Almodovar (relations familiales, homosexualité...).
Ici aussi, la gravité des propos est émaillée de touches d'humour, les excentricités d'Amalia prêtant souvent à sourire. Les portraits des personnages sont particulièrement bien dressés. Mais quelques passages m'ont paru assez longs, probablement à cause de la manière répétitive dont l'auteur présente chacun (l'image des faces A et B d'une personnalité a par exemple été trop souvent reprise).

C'est bien en tant que mère qu'Amalia montre le meilleur d'elle-même, et sa finesse dans ce rôle tranche de manière surprenante avec sa maladresse outrancière (illustrée par le nombre d'objets renversés). Le contraste entre sa bienveillance et l'égoïsme de son ex-époux accentue l'aura d'Amalia, tandis que le portrait de la grand-mère Ester renforce l'hommage aux mères - un bel hommage, émouvant.

Dans le genre portrait de famille, j'ai cependant préféré 'C'est ici que l'on se quitte', roman de Jonathan Tropper, légèrement moins centré sur les analyses psychologiques et plus habile à instiller des touches d'humour.
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Une mère, c'est un roman frais et pétillant. C'est l'histoire de plusieurs membres d'une même famille flottant autour d'un personnage : une mère.

Une mère, c'est une dame qui profite de la vie et prend des décisions non réfléchies. C'est une femme qui nous fait rire et nous attendrit. Une personne qui ne dit peut être pas toujours les bons mots mais qui est là, et ça c'est important !

Une mère, c'est de la vie. Mais c'est aussi des réflexions sur les rêves et la réalité qui les rattrape, sur le temps qui passe, sur l'amour quel qu'il soit et sur la mort…

Une mère, c'est un roman vivant et doux qui se lit naturellement et qui nous emmène tout droit en Espagne, au sein de cette famille quelque peu originale !

Une roman que je vous conseille donc si vous voulez passer un agréable moment de lecture.
Lien : https://lecturesgourmandeswe..
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