C'est fou comme
Katherine Pancol avait le physique pour écrire
La valse lente des tortues (je croyais que
Les yeux jaunes des crocodiles était une heureuse erreur), et comme elle ne l'a pas du tout pour
Un homme à distance. La malheureuse erreur était peut-être
La valse lente des tortues finalement? Comment ça je juge sur le physique? Bref... J'ai du mal à trouver mes mots. La quatrième de couverture décrit parfaitement l'histoire de toutes façons. Elle raconte que sous les cicatrisations du temps gisent des sentiments équivoques qui se débattent pour trouver une issue, et que cette issue se trouve parfois dans l'affrontement des douleurs passées. Alleluia. J'ai beaucoup aimé (Katherine je vais finir par croire que tu n'as pas la tête de l'emploi).
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